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Actualité 28/11/24
Fêtes de fin d'année : des animations sur toute la ligne
La Ville et ses partenaires s’associent pour offrir aux familles et aux habitants un peu de magie lors des festivités.
Village de Noël et animations de Vos Belles Boutiques Dieppe (dès le 14 décembre), marchés de Noël d’octobre Rose (7 et 8 décembre) et du Rex (14 et 15 décembre), boutique éphémère de créateurs (du 10 au 27 décembre), spectacles dans les bib'-ludos, au Musée ou avec le Festival “En attendant Noël” (Slatimbanques de l'impossible et MJP)… Il y en aura pour tous les goûts.
•Lire/télécharger le livret qui recense les animations qui vont rythmer le dernier mois de l’année : https://www.calameo.com/dieppe/read/001445925767d36b74985
© Conception graphique : Ludwig Malbranque – Ville de Dieppe
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Actualité 19/11/24
Novembre : Mois des droits, pas des droites !
La Ville de Dieppe s’est emparée, de longue date, des questions liées au sexisme, au harcèlement dont sont victimes les femmes. La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, les 25 novembre – autour de laquelle est construit le Mois des droits, pas des droites – est un temps fort de sensibilisation et de mobilisation, corganisé avec un grand nombre de partenaires. Des actions concrètes sont conduites pour sensibiliser le plus grand nombre sur les questions de genre, d’égalité et de respect, mais aussi pour apporter des pistes de réflexion et des clés pour ne pas subir.
Du lundi 18 au samedi 30 novembre dans le hall de la mairie, venez découvrir l’exposition de Fanny Vella, jeune illustratrice qui a conçu un kit de 22 affiches, au style moderne, illustrant les thèmes du harcèlement de rue, des violences conjugales, des violences physiques, psychologiques, économiques, numériques, le viol conjugal, le contrôle coercitif, le cycle de la violence, l’importance de l’aide extérieure ainsi que le sujet des victimes collatérales.
Le samedi 23 novembre, l’association Nous toutes organise une marche, départ du parvis de la mairie à 15 heures, suivie, à 18 heures, d’une conférence de Fanny Gallot Une histoire féministe des contestations populaires au centre social L’Archipel.
Le lundi 25 novembre, dans le cadre de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, un ciné-débat sur Le harcèlement au travail : le quotidien des femmes, en lien avec la CGT, est organisé salle Paul-Éluard, de 18 heures à 20 heures. Gratuit.
Et aussi, du lundi 25 au vendredi 29 novembre, la compagnie M42 produit des saynètes sur le harcèlement de rue et la technique des 5D (distraire, déléguer, documenter, diriger, dialoguer) pour sensibiliser nos élèves et apprenants à réagir. Saynètes présentées dans les établissements avec un bus itinérant de Deep Mob.
• Télécharger/lire le programme 2024.
© Visuel : Samuel Gros - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 14/11/24
Pont Colbert, le point sur les travaux de restauration #5
Ports de Normandie, gestionnaire des infrastructures portuaires et maître d'ouvrage sur les travaux de restauration du pont Colbert a publié, jeudi 7 novembre 2024, un communiqué de presse.
Depuis le 13 septembre dernier, les travaux de restauration de la structure du Pont Colbert ont été interrompus en raison d’une présence de plomb. Des tests complémentaires ont été réalisés pour mesurer l’ampleur de cette pollution et déterminer les mesures à mettre en oeuvre pour que les opérateurs puissent reprendre leur travail en toute sécurité.
Ces tests ont confirmé qu’il n’y avait pas d’amiante mais que la présence de plomb nécessitait de mettre en oeuvre les mesures de nettoyage suivantes :
- Le cocon va être remis en place et 4 zones étanches vont être établies,
- Dans les SAS 0, 1 et 2, là où la présence de plomb est la plus élevée, il sera aspiré,
- Quant au SAS 3, il fera l’objet d’un nettoyage haute pression,
- Enfin, une bâche de rétention sera installée sous le pont de manière à récupérer les eaux polluées, les traiter puis les filtrer avant de les rejeter dans le réseau.
Les 4 SAS seront nettoyés puis libérés successivement et les travaux de réparation de la structure du pont pourront reprendre au fur et à mesure de la libération des SAS.
L’impact sur le planning global du chantier est en train d’être estimé et nous étudions toutes les hypothèses (équipes renforcées, amplitude de travail augmentée…) afin de le limiter au maximum. Il sera communiqué dans les semaines qui viennent.
Pour ce qui est des autres chantiers de restauration, ils se poursuivent conformément au planning prévu. Ainsi, la fabrication des entretoises est en cours.
Quant au chevêtre (sorte de grosse « caisse » située sous le pont et qui répartit les charges entre le tablier et le pivot), il est en cours de sablage, remise en peinture et remplacement des rivets et autres éléments corrodés.
Les organes de rotation du pont
Les travaux de restauration des organes de manoeuvre se terminent dans les ateliers Regnier.
La zone de rotation du pont
Le mur circulaire en brique est en cours de réparation. Toutes les briques jaunes et poreuses (environ un tiers), seront remplacées par des briques les plus ressemblantes possibles à celles d’origine et le rejointoiement des briques « saines » se poursuit.
La semelle de fondation du rail de rotation a été coulée.
La cabine de manoeuvre Prouvé (1946)
Son sablage par les Ateliers Chauvet, situés près de Poitiers, est achevé. Elle a été réassemblée avant une remise en peinture courant novembre.
Par ailleurs, la dalle de sous-bassement du local technique qui sera situé à côté de la cabine de manoeuvre a été coulée.
Enfin, les organes de commande sont toujours en cours de restauration par la société Hyd&o
Enfin, en accord avec la DRAC, un système d’évacuation des eaux est en train d’être mis en place sur cette zone afin de limiter la corrosion.
La salle des machines
Un appel d’offres va être lancé en novembre.
Le choix de la couleur du pont et de la cabine de manoeuvre
Lors du décapage du pont et de la cabine de manoeuvre, plusieurs couleurs ont été retrouvées. Elles ont été soumises à l’arbitrage de la DRAC qui a choisi :
- Pour le Pont : RAL 7011 (Gris fer),
- Pour la cabine de manoeuvre : RAL 7015 (Gris ardoise).
Photo : L’une des 10 entretoises en cours de fabrication ®Eiffage Métal
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Actualité 13/11/24
Harengs et coquilles Saint-Jacques, passionnément !
Toutes et tous à la 54e Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques, ces 16 et 17 novembre !
On le sait, la notoriété de la fête dieppoise a, depuis très longtemps, dépassé les frontières de la cité aux quatre ports. Entre 80 000 et 100 000 visiteurs se pressent chaque année dans les allées de la foire, mais également sur les quais ou en centre-ville. Dieppois et Dieppoises, mais également habitants des communes de l'agglomération, touristes français et étrangers y viennent acheter ou déguster le poisson-roi ou la coquille-reine, ou, tout simplement, profiter de cette ambiance festive si caractéristique.
Vous trouverez donc des grilleurs, mareyeurs, pêcheurs et restaurateurs dans toute la cité d'Ango. Sur le quai Henri IV, mais également sur le quai Duquesne, le quai du Carénage, dans la Grande rue... Tous vous feront profiter des spécialités dieppoises, tels le hareng et la coquille Saint-Jacques, mais pas que...
La Foire également est connue pour ses animations du week-end, danse folklorique, batucada, concours d'énucléage, feu d'artifice... Il y en aura pour tous les goûts !
• Télécharger/lire le programme complet de la Foire aux harengs 2024
© Photo d'archive : Erwan Lesné
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Actualité 08/11/24
Loi sur les meublés touristiques : le maire Nicolas Langlois se félicite « de cette avancée qui conforte nos décisions volontaristes »
Le Parlement vient d’adopter une loi pour renforcer le cadre légal des locations de courte durée, visant à réguler les pratiques de type Airbnb. Des changements majeurs concernant la fiscalité, la durée de location et les obligations administratives vont impacter les propriétaires et les communes. Elle vise notamment à inciter les propriétaires immobiliers à louer leurs logements sur de longues durées, plutôt qu’en meublés touristiques.
Fin 2023, Dieppe devenait la 1e ville de Seine-Maritime à encadrer les locations touristiques. Deux délibérations proposées par l’exécutif avaient été adoptées à l’unanimité en ce sens. Un gain de plus de 215 logements est escompté à terme pour permettre aux Dieppois et futurs Dieppois de se loger.
Maire de Dieppe, Nicolas Langlois « se félicite de cette avancée législative qui conforte notre position de réguler les meublés touristiques pour favoriser la population résidente. La PPL abaisse ainsi, de 50% à 30%, l’abattement fiscal sur les revenus locatifs dont les meublés touristiques bénéficient. Ce seuil de 30%, qui s'appliquera sur les revenus locatifs engrangés à partir de 2025, correspond à l’abattement fiscal consenti à la location nue, caractérisée par des baux de trois ans » indique Nicolas Langlois, « sujet sur lequel Sébastien Jumel alors député s’était beaucoup battu ».
« Ici à Dieppe, nous avons engagé le combat pour limiter les locations saisonnières et pour retrouver un équilibre dans la ville entre les locations touristiques et les locations disponibles pour les habitants qui vivent et travaillent à l’année dans notre ville. Il est juste que les décisions nationales viennent appuyer le travail conduit ici afin de rendre des logements disponibles à l’année pour les habitants et que la location touristique soit moins attractive » indique le maire.
© Illustration : DR
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Actualité 30/10/24
Projet de loi de finances 2025 : préservons le pouvoir d'agir de notre commune !
Signez la pétition « pour dire non à cette grave cure d’austérité imposée et s’associer à la démarche des élus de la Ville de Dieppe de défendre le service public, qui est notre patrimoine commun » dans les principaux accueils municipaux ou en ligne : https://tinyurl.com/7u24kxuu !
Le budget de la France pour 2025 priverait Dieppe de plus de 2,3 millions de ressources. C’est l’équivalent du budget consacré à l’éducation et la petite enfance, ou aux travaux de l’Anru 2 (rénovation urbaine sur le secteur Bel Air/Coty à Neuville) cette année... Les gouvernements successifs sont seuls responsables des 1 000 milliards d’euros de dette publique supplémentaire en dix ans. Au plan national, la réduction du budget de l’Education nationale, de l’hôpital public, de la justice ou encore de la transition écologique aggravera encore la situation.
Dieppe s’associe à la mobilisation de l’Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité face à ces mesures annoncées. La Municipalité entend préserver les habitants de ces nouvelles coupes budgétaires injustes.
« Notre projet municipal est fondé sur le prendre soin des habitants au quotidien, explique le maire Nicolas Langlois. Ces politiques d’austérité touchent tout le monde, et surtout la majorité silencieuse, celle qui bosse ou qui a bossé toute sa vie. Retraites, protection sociale, diminution des postes d’enseignants et réduction des moyens dans tous les services publics : ce texte rajoute une nouvelle couche d’austérité aux mauvais coups des différents gouvernements et du Président de la République. Cela n’est pas acceptable ! »
Et le maire d’affirmer : « Comment accepter une seule seconde ce discours trop entendu qui demande toujours des efforts aux plus modestes et qui affaiblit nos communes ? » Depuis 2015, comme d’autres communes, Dieppe verse une contribution pour réduire le déficit de l’État. Mais parallèlement le déficit des comptes publics s’est aggravé. Le gouvernement veut, concrètement, taxer les collectivités d’au moins 5 milliards d’euros. « Les communes et les collectivités ne sont pas responsables de cette situation. Dieppe a d’ailleurs diminué le montant de sa dette », observe Nicolas Langlois, qui veut prendre part « à une large mobilisation de l’ensemble des élus pour modifier profondément ce funeste projet de budget ».
Beaucoup de dépenses des communes — injustement montrées du doigt — résultent d’obligations nouvelles que le Gouvernement et le Parlement ont mis à la charge des collectivités ces dernières années, par exemple dans le domaine environnemental, dans celui de la petite enfance, des transports, ou même en matière de sécurité... Dieppe compte bien défendre et préserver ses services publics, son soutien à la vie associative, son pouvoir d’investir pour équiper la Ville.
Un conseil municipal extraordinaire, une pétition papier et en ligne...
Pour dire non à ces nouvelles coupes budgétaires, le Maire réunira un conseil municipal extraordinaire le mercredi 13 novembre, à 18h, à l’approche du Congrès national des maires. Une motion y sera adoptée « contre les nouvelles coupes budgétaires envisagées pour les collectivités territoriales. Pour des communes en capacité d’investir et de prendre soin des habitants ». Les Assemblées de quartier du 7 au 21 novembre évoqueront aussi cette question.
Une pétition « pour dire non à cette grave cure d’austérité imposée et s’associer à la démarche des élus de la Ville de Dieppe de défendre le service public, qui est notre patrimoine commun » est proposée à la signature dans les principaux lieux publics : hôtel de ville, mairies annexes, Maison des sports et Drakkar. La pétition est aussi disponible en ligne (lire plus haut).
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Actualité 23/10/24
« Une grosse attente pour le 10 kilomètres »
Fondé il y a presque 40 ans, l'Athletic Club Dieppe Veules renoue avec la tradition et organise les 10 kilomètres de Dieppe ainsi qu'une marche de 8 kilomètres en centre-ville dimanche 3 novembre. Interview de Maryan Harel, co-président du club avec Raynald Lorin.
Comment vous est venue cette idée d'organiser un 10 kilomètres à Dieppe, en centre-ville ?
Maryan Harel : Il existait auparavant. Pour plusieurs licenciés de notre club, le 10 kilomètres de Dieppe a fait partie des premières courses auxquelles ils ont participé. C'était d'ailleurs mon cas jusqu'en 2006, quand les organisateurs de l'époque ont décidé de l'arrêter. Quand nous avons évoqué ce projet de l'organiser à nouveau au sein du bureau de l'association, l'enthousiasme ne s'est pas fait attendre.
C'est une nouvelle date dans le calendrier des courses dieppoises…
Maryan Harel : Avec la Corrida, qui est une très belle course avec un format très accessible, et l'Urban Trail, c'est en effet un nouveau rendez-vous pour les coureurs. Ces courses sont complémentaires. On ne peut plus parler d'effet de mode pour la course. On a dépassé ce stade. En revanche, il y a un regain d'intérêt pour les courses sur bitume. Dieppe s'y prête très bien. Cela peut donner encore plus de résonance à l'événement.
Vous ressentez déjà un engouement ?
Maryan Harel : A 10 jours de la course (l'entretien a été réalisé le 22 octobre, NDLR), nous comptons déjà 600 inscrits sur la course et la marche. Cela démontre clairement l'attente. Cette course, nous avons souhaité l'organiser avec un kilométrage officiel, afin de la pérenniser et de la développer, à une date qui ne fait pas concurrence aux autres compétitions sur le territoire. Cela repose sur une très grosse organisation, avec près de 110 bénévoles sans qui rien ne serait pas possible, et le soutien de la Ville de Dieppe.
- Inscriptions et informations sur le site de l'AC Dieppe Veules.
- Notez que plusieurs rues du centre-ville, situées sur le parcours, seront fermées à la circulation et, parfois, au stationnement.
- Retrouvez ici le parcours.
- Retrouvez ici les arrêtés de circulation et de stationnement.
© Photo : AC Dieppe Veules
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Actualité 18/10/24
« L'histoire de la construction navale à Dieppe doit continuer », défendent Nicolas Langlois et Sébastien Jumel
Alors que le 16 octobre dernier, la société Manche Industrie Marine annonçait, par voie de presse, la fermeture temporaire du site de Dieppe, et alors que la société fait face à des difficultés financières majeures, Nicolas Langlois, maire de Dieppe et Sébastien Jumel, président de l'agglomération Dieppe-Maritime ont réaffirmé ce 18 octobre leur entier soutien aux salariés de la MIM dont les savoir-faire et l'expérience continuent l'histoire de la construction navale dieppoise mais aussi aux fournisseurs et aux clients concernés.
“ Ce matin, une nouvelle fois, nous étions avec Sébastien Jumel aux côtés des personnels de la MIM injustement menacés aujourd’hui par des choix de gestion qui ont accentué les difficultés de cette société qui compte pour le port et notre territoire. Les salariés réclament justice, des comptes sur les déboires qu’ils subissent aujourd’hui et ils espèrent légitimement pouvoir conjuguer leur activité au futur. Nous leur avons réaffirmé notre soutien et notre attachement à leur outil de travail. La Ville comme Ports de Normandie ont toujours agi en facilitateurs, en soutien de cette entreprise et de ses salariés qui continuent l'histoire de la construction navale à Dieppe ”, indique Nicolas Langlois.
Comme le rappelle Sébastien Jumel, “ le savoir-faire des ouvriers, des techniciens, des cadres de la MIM est à l’origine de très belles réussites industrielles à l’image des chalutiers de l’armement Lejuez ou plus récemment du Gloire à Dieu chalutier coquillard polyvalent de Dieppe. Ce savoir-faire, nous le reconnaissons et nous le défendons parce qu'il fait partie de l'ADN de la ville, et prolonge la grande histoire des Chantiers de la Manche et des Chantiers de Normandie. ”
Il y a quelques mois, sous l'impulsion de Nicolas Langlois et de Sébastien Jumel, alors député, une table ronde, présidée par le sous-préfet, avait été organisée pour faire le point sur les difficultés financières de la MIM au sein d’une vaste holding.
Les deux élus, tout comme Dominique Patrix, adjoint et vice-président de l'agglomération en charge du développement portuaire, ont redit au personnel du chantier naval synonyme de l’excellence dieppoise leur détermination à être à leurs côtés et leur engagement pour rechercher une solution de reprise dans le cadre de la procédure en cours au tribunal de commerce.
Lors du dernier conseil syndical de Port de Normandie, Nicolas Langlois avait obtenu un engagement collectif et unanime pour le maintien de la construction navale à Dieppe.
© Photo : Ville de Dieppe
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Actualité 16/10/24
Alpine présente son futur SUV Alpine 100 % électrique
Nicolas Langlois et Sébastien Jumel saluent, au Mondial de l’Auto 2024 de Paris, le futur SUV Alpine 100 % électrique et les perspectives de développement du site dieppois
Le show-car A390, 100 % électrique, introduit une nouvelle dimension dans l’univers sportif de la marque.
Présent au Mondial de l’Auto 2024 aux côtés de Sébastien Jumel, président de Dieppe Maritime, Frédéric Canto, vice-Président en charge de l'économie à Dieppe-Maritime, Nicolas Langlois, le maire de Dieppe, a salué le futur SUV d’Alpine « entre tradition sportive et modernité. Ce savoir-faire mondialement connu et reconnu va trouver un prolongement avec ce nouveau modèle, l'A390, qui s'inscrit dans l'air du temps en symbolisant à elle seule le passage de la marque dieppoise à l'électrique. Ce concept ouvre la voie à une nouvelle ère pour Alpine, mêlant sportivité, luxe et électrification».Un pari gagné pour Dieppe et son agglomération « Que de chemin parcouru, se félicite le maire de Dieppe, qui rappelle « en 2009, au cœur de la crise économique qui percutait très fortement l'industrie automobile, nous avons été peu nombreux à croire, avec les salariés, à l'avenir d'Alpine. A l'issue d'assises de l'automobile, Sébastien Jumel avait en effet proposé de céder à l'euro symbolique les terrains Thoumyre pour permettre le développement futur de l'usine » se souvient le maire.
Les années qui ont suivi ont validé cet engagement avec la création d'une tôlerie pour les besoins de l'assemblage d'un tout nouveau modèle : l'A110.
Le vendredi 29 mai 2020, Renault venait au cours d’un comité social et économique (CSE) exceptionnel annoncer aux salariés que le site de Dieppe ne fermerait pas.
Au sortir de la crise sanitaire et au terme d’une mobilisation exceptionnelle des salariés, des syndicats et des élus locaux, la venue du nouveau directeur général de Renault démontrait avec force « que nous avions raison de croire au futur d’Alpine » notent Nicolas Langlois et Sébastien Jumel, lequel alors député obtint 40 millions au titre des crédits France Relance.« De succès en succès, Alpine a retrouvé ses lettres de noblesse. Devenu un symbole du Made in France jusque dans la cour de Matignon avec l'exposition, sur la proposition de Sébastien Jumel, d'un véhicule sorti des chaînes dieppoises, le Made in Dieppe a conquis le monde entier. Les ventes de l'A110 ont dépassé les espérances » indique Nicolas Langlois.
« Les effectifs n'ont cessé d’augmenter pour atteindre aujourd'hui plus de 300 salariés en CDI à la manufacture Jean Rédélé » salue Sébastien Jumel, « attaché au rayonnement qui en découle pour la ville aux 4 ports et pour toute notre agglomération ».
Les deux élus insistent également sur leur « volonté de voir débuter la production sur le site dieppois ».
Un entrepôt logistique ultramoderne Manufacture Alpine a aujourd’hui deux projets en cours sur le site dieppois. Deux bâtiments industriels doivent être construits, avenue de Bréauté, avec le réaménagement du parking, dédié aux poids lourds, la construction d’un espace CSE d’une superficie de 116 m².Fin 2024, doit débuter la construction d’un entrepôt ultramoderne sur la zone Eurochannel 2 pour le stockage de pièces détachées nécessaires à la construction de voitures Alpine. Le permis de construire a été délivré début juillet.
Il s’agira d’un grand bâtiment de 15 m de haut composé de deux grandes cellules de stockage et une partie bureaux et locaux sociaux. La partie entrepôt sera de 11 620 m² et 280 m² de bureaux.
Fondée en 1955 par Jean Rédélé, Alpine s’est affirmée au fil des années avec ses voitures de sport à la française. En 2018, la marque commercialise la nouvelle A110, fidèle aux principes intemporels d’Alpine en matière de compacité, de légèreté, d'agilité et de plaisir de conduite. En 2021, la Business Unit Alpine est créée.Bénéficiant de l’héritage et du savoir-faire de son usine historique de Dieppe ainsi que de la maîtrise de l’ingénierie des équipes d’Alpine Racing et d’Alpine Cars, elle est la marque dédiée aux voitures de sport innovantes, authentiques et exclusives de Renault Group. Cette expertise a permis à la marque au A fléché de concourir dans deux championnats majeurs de la FIA : la Formule 1 et le Championnat du Monde d’Endurance. Alpine est également présente dans d’autres disciplines mécaniques à travers la compétition client en Rallye, Cup
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Actualité 11/10/24
Zones d'accélération des énergies renouvelables : une consultation publique du 15 octobre au 15 novembre
Les collectivités détiennent de nombreux leviers en matière de transition écologique et énergétique. Par leurs compétences directes, les intercommunalités et les communes peuvent, par exemple, agir pour le développement des énergies renouvelables, de chaleur et froid de récupération, ainsi que pour l’évolution des réseaux énergétiques.
La Ville de Dieppe est sollicitée pour définir des zones d’accélération des énergies renouvelables (EnR) sur son territoire et ainsi permettre la planification de leur développement. Les Dieppoises et Dieppois sont donc invité-es à donner leur avis sur ces propositions.
Ce nouveau dispositif découle de la loi du 10 mars 2023 relative à l’accélération de la production d’énergies renouvelables (dite loi APER), qui met les collectivités territoriales au cœur de la planification du développement des énergies renouvelables.
L’article 15 de la loi APER prévoit un dispositif de planification territoriale, dans lequel les communes sont invitées à identifier les zones de leur territoire qu’elles jugent préférentielles et prioritaires pour le développement des énergies renouvelables. Ces zones, appelées zones d’accélération des énergies renouvelables (ZAEnR), peuvent concerner toutes les énergies renouvelables : photovoltaïque, éolien terrestre, chaleur renouvelable (exemple : bois énergie, cogénération), géothermie, hydroélectricité.
La démarche vise à inciter les porteurs de projets à s’orienter sur les parties du territoire privilégiées par les communes. Ce zonage – c’est important de le préciser - ne sera pas opposable et n’empêchera pas l’implantation de projets en dehors des zones d’accélération.
Des objectifs de transition énergétique
La Ville de Dieppe dispose de nombreuses ressources (toiture de bâtiments collectifs publics et privés, parkings...) lui permettant d’augmenter la production d’énergies renouvelables de son territoire et de contribuer ainsi aux objectifs de transition énergétique.
Photovoltaïque en toiture
L’ensemble du territoire communal est défini comme zone d’accélération pour le photovoltaïque en toiture. Les installations importantes seront orientées prioritairement vers les toitures de 500 m² et plus afin de répondre aux obligations réglementaires d’installation sur ces surfaces. Cela permettra de couvrir les toitures des bâtiments publics, des bâtiments privés d’entreprises et des copropriétés de grande taille, sans exclure le développement d’installations sur les toitures des particuliers.Photovoltaïque au sol
Afin d’encourager les projets sur parkings existants, la zone d’accélération de la production d’EnR proposée concerne l’ensemble du territoire communal.Géothermie
L’ensemble du territoire communal est défini comme une zone d’accélération pour les installations de géothermie de surface.Réseau de chaleur
Il est proposé de définir une zone d’accélération la plus large possible afin de ne pas pénaliser le développement des réseaux existants et la création d’éventuels nouveaux réseaux, soit l’ensemble du territoire communal.Les projets devront respecter les règles en vigueur notamment les règles architecturales et urbanistiques ainsi que les usages actuels.
A noter : les particularités géographiques et urbaines de la ville ont permis d’éliminer la possibilité de développer trois types d’énergies renouvelables : aucune zone n’est ainsi identifiée pour l’éolien, la méthanisation et l’hydroélectricité.
Modalités de concertation
Ces propositions de Zones d’Accélération des Énergies Renouvelables (ZAEnR) font l’objet d’une consultation publique du Mardi 15 octobre 2024 au vendredi 15 novembre 2024 afin de recueillir l'avis des habitants.
Les documents (communiqué, cartographie) sont consultables :
- sur le site Internet de la Ville de Dieppe
- à l’accueil de l’Hôtel de Ville
Les Dieppoises et Dieppois peuvent adresser leurs observations ou propositions par mail à l’adresse suivante : concertationenr@mairie-dieppe.fr
Un registre papier est également à la disposition du public à l’accueil de l’Hôtel de Ville.
Cliquer pour agrandir -
Actualité 03/10/24
Sébastien Jumel élu président de l'Agglo Dieppe-Maritime dans une dynamique collective
Sébastien Jumel a été élu ce mercredi 2 octobre à la présidence de Dieppe-Maritime. Il succède au maire de Dieppe, Nicolas Langlois.
« Une décision collective. » La candidature de Sébastien Jumel à la présidence de la Communauté d'agglomération Dieppe-Maritime — qui regroupe seize communes dont Dieppe — a été confirmée par le vote d'une majorité des conseillers communautaires (33 voix sur 43 votes exprimés), ce mercredi 2 octobre dans les salons du stade Jean-Dasnias. Par ailleurs, les 14 vice-présidences ont été également soumises à l'approbation du conseil communautaire. Sans aucune modification par rapport à la précédente gouvernance.
Additionner les forces pour renforcer le territoire
Ce changement à la tête de l'Agglo est à l'initiative du maire de Dieppe Nicolas Langlois, qui a démissionné de son poste de président, après dix mois de mandat. Cette démarche avait été présentée le 17 septembre dernier et favorablement accueillie par les maires de l'Agglo. « Quand notre pays vit une situation politique aussi difficile, quand les projets sur le territoire sont de plus en plus nombreux et essentiels pour les habitants (logement, santé, emploi, transports…), nous avons le devoir et l'intelligence d'être les plus solides et le plus rassemblés possibles, a expliqué Nicolas Langlois en préambule du vote. Il nous faut additionner les forces, les talents, les expériences pour être entendu à Rouen, dans toute la Seine-Maritime et au niveau national. Il nous faut faire de la politique autrement, en démontrant la force du collectif, loin des carrières personnelles. »
Et le Maire de poursuivre : « Cette démarche est largement partagée et même attendue par de nombreux acteurs économiques et sociaux du territoire. Je suis convaincu que l'expérience de parlementaire de Sébastien Jumel pendant sept ans (NDLR : 2017-2024) et que son énergie ne seront pas de trop pour servir nos intérêts, nos projets communs. » En dix mois de présidence de l'agglomération, Nicolas Langlois aura mis en place la gratuité des transports en commun le samedi (+25% de fréquentation), fait avancer le projet du centre de santé, remis en place une navette entre le terminal transmanche et le centre-ville, accompagné le développement économique et portuaire (Méca-Diesel, TSM).
« Être concrètement utile aux habitants »
Ancien Maire de Dieppe (2008-2017) et toujours conseiller municipal, Sébastien Jumel a, après le vote, remercié les conseillers communautaires de leur confiance. « On privilégie l'intérêt général, l'intelligence partagée. En additionnant nos engagements, notre territoire sera plus fort et donc plus respecté. La seule chose qui m'habite, c'est d'être de suite au travail, concrètement utile aux habitants. Nous sommes confrontés à des enjeux majeurs et, plus que jamais, il faut jouer collectif. Pour continuer à peser, à convaincre, une Agglo apaisée sera déterminante. »
Le nouveau président de Dieppe-Maritime entend faire de l'agglomération une « collectivité du quotidien » qui agit, avec une « gestion sérieuse des dépenses », sur le logement, la santé, le développement économique, les mobilités, le tourisme… « Il nous faudra finaliser notre contrat de territoire, qui ne se résumera pas qu'à l'EPR2 de Penly », a indiqué Sébastien Jumel. Nous avons besoin d'une gouvernance en partage, d'un engagement collectif pour l'intérêt des habitants. »
• Retrouvez ici la lettre du maire aux habitants.
© Photo : Pascal Diologent
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Actualité 30/09/24
Octobre rose : un mois d'événements et de sensibilisations
A l'initative des acteurs de santé du territoire, du pôle ressources santé municipal et du Collectif Octobre rose dieppois, de nombreux rendez-vous sont proposés durant le mois d'octobre autour de la sensibilisation au dépistage du cancer du sein.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en France et constitue chez elles la principale cause de mortalité. Détecté tôt, il est guéri dans 90 % des cas.
Retrouvez ici les principales initiatives prévues.
MARDI 1ER OCTOBRE
Stands d’infos/prévention
Des stands de prévention et d’information vous accueillent dans l’allée médicale du Centre hospitalier de Dieppe. 10 h à 17 h.
JEUDI 3 OCTOBRE
Marche conviviale
Marche de 5 km avec Mathilde Lambert, sage-femme suivie d’un moment de convivialité à 12 h Départ de la Maison Jacques-Prévert.
Départ à 10 h.
VENDREDI 4 OCTOBRE
Marche familiale
Une marche familiale sportive de 10 à 12 km, organisée par le servicedes sports, partira de la place Henri Dunant à Neuville. Un accessoire rose est recommandé. 9 h 15.
SAMEDI 5 OCTOBRE
Marches solidaire, défis et baptêmes en Alpine
De son côté, le Collectif Octobre rose dieppois (Cord 76) met sur pied une marche rose solidaire le 5 octobre à 14 heures (départ jetée ouest). Le même jour, le public peut relever des défis sportifs (bras de fer, savate, gym) de 9 h 30 à 12 h 30 à la salle des congrès ou effectuer, sur réservation, des baptêmes en Alpine (10 heures à 12 h 30 puis de 14 h 30 à 17 heures). Ces deux animations se font en échange d’un don minimum de 5 €.
SAMEDI 5 OCTOBRE
Spectacle musical
À 20 h 30, ce “samedi rose” du Cord 76 se conclut avec le spectacle musical de Vincent Handrey, La Belle au bois normand, au Casino (tarif plein 20 €, 8/15 ans 12 €, gratuit mois de 8 ans ; billetterie à l’Office de tourisme).
DIMANCHE 6 OCTOBRE
Deux concerts
Le Cord 76 organise deux concerts à partir de 14h30 à la salle des Congrès. Se succèderont les groupes Surprise du lendemain et After before.
VENDREDI 11 OCTOBRE
Marche adaptée
Une marche adaptée de 5 à 7 km, organisée par le service des sports, partira de l’église du Pollet. Un accessoire rose est recommandé. 9 h 15.
MARDI 15 OCTOBRE
Journée sur la santé des femmes
« Dieppe s’engage pour la santé des femmes : prévention, dépistage, orientation » Rejoignez-nous pour une journée dédiée à la santé des femmes, organisée par le Pôle Ressources Santé et ses partenaires, à la salle des congrès de Dieppe. Découvrez des ateliers et des stands autour de sujets essentiels tels que : la santé sexuelle, la charge mentale, les maladies chroniques, les inégalités d’accès aux soins, l’accès aux droits, la nutrition, le dépistage des cancers, la santé environnementale, cardiovasculaire et la lutte contre les violences faites aux femmes. Des espaces de dépistage vous attendent : électrocardiogrammes avec un cardiologue, tests de souffle, glycémie, tension artérielle et dépistage visuel. Ne manquez pas les défilés de mode à 10 h 30 et 14 h 30, ainsi que l’espace de vente des dressings solidaires. L’événement est ouvert à tous. 10 h à 17 h, Salle des congrès, boulevard de Verdun.
DU 1ER AU 14 OCTOBRE
L’exposition photos de Sandra Sanji
Retraçant le parcours de sept Dieppoises atteintes d’un cancer du sein, elle sera visible dans l’allée médicale du Centre hospitalier de Dieppe. Elle sera également présentée le 15 octobre lors de la journée sur la santé des femmes à la salle des congrès.
Dans le cadre d’Octobre rose, DeepMob s’engage !
Durant tout le mois d’octobre, la Navette électrique gratuite de centre-ville de DeepMob, qui relie la gare au front de mer et au centre hospitalier de Dieppe, sera aux couleurs d’Octobre rose afin de sensibiliser les habitants mais également de promouvoir le programme organisé par la Ville de Dieppe et ses partenaires.
Une validation correspondera à un don reversé au Cord 76.
> Retrouvez le programme d'Octobre Rose ici et toutes les infos du Cord 76 sur leur page Facebook.
© Photo : Erwan Lesné
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Actualité 18/09/24
Pont Colbert, le point sur les travaux de restauration #4
Ports de Normandie, gestionnaire des infrastructures portuaires et maître d'ouvrage sur les travaux de restauration du pont Colbert a publié, mercredi 18 septembre 2024, un communiqué de presse.
En raison d’une détection de plomb sur l’échafaudage qui entoure la structure du Pont Colbert dans sa phase de rénovation, le chantier a été suspendu vendredi 13 septembre 2024, à titre conservatoire.
Afin de garantir la sécurité sanitaire des personnes travaillant sur le chantier, ce dernier a immédiatement été mis à l’arrêt à titre préventif. Des tests complémentaires ont été réalisés, afin de déterminer l’origine et de cartographier les zones potentiellement impactées. La décision sera prise dans la semaine, en fonction des résultats des essais de nettoyage entrepris dès ce lundi. Il est précisé que même si les seuils sont dépassés, les valeurs trouvées restent très faibles et ressemblent plutôt à une pollution accidentelle par transport. Les équipes et les entreprises travaillant sur l’ouvrage sont pleinement mobilisées pour minimiser l’impact de cet aléa sur le planning du chantier. Pendant ce temps, le reste du chantier et des travaux (zone de rotation, cabine et organes de manœuvres) se poursuit selon le planning prévu.
Un dispositif spécial sera mis en place pour permettre aux visiteurs prévus le week-end des Journées du patrimoine de voir le chantier depuis l’extérieur et sans aucun risque. Un échafaudage va donc être installé au bout du pont. Depuis cette plateforme, les visiteurs – équipés de masques FFP3 fournis par Ports de Normandie – pourront, en toute sécurité, voir l’intérieur du pont et constater le travail réalisé à ce jour. Le reste des animations prévues (présentation des étapes passées et à venir du chantier et ateliers « métiers ») est maintenu.
Photo : Erwan Lesné – Ville de Dieppe
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Actualité 18/09/24
Les Journées Européennes du Patrimoine, à vos agendas !
Le week-end des 21 et 22 septembre 2024, les Journées européennes du patrimoine seront animées par Dieppe Ville d'art et d'histoire, le Musée de Dieppe, le réseau des bibliothèques-ludothèques, le Fonds ancien et local, le service Espaces verts, et de nombreux partenaires, dont La Lorgnette, la Maison des jeunes de Neuville, La Dieppoise, Les Dentelles, le conservatoire Camille Saint-Saëns, la compagnie Vers volant...
Une programmation riche sur l'histoire et les richesses du patrimoine de Dieppe à découvrir ou re-découvrir durant ces deux jours.
Informations détaillées du week-end dans le livret (PDF)
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Actualité 02/09/24
Une rentrée scolaire sous le signe de la sérénité
« À Dieppe, l’engagement municipal pour l’éducation est réel et reconnu. Il est aussi concret pour permettre aux écoliers d’apprendre dans de bonnes conditions dans des écoles qui font continuellement l’objet de travaux de modernisation, de végétalisation… Ou encore pour mener des projets avec des artistes, apprendre à nager, pratiquer l’éducation physique et sportive. Il a également permis à plus de 300 élèves supplémentaires de manger dans nos restaurants scolaires l’an passé grâce à la baisse des tarifs. Nous voulions soutenir les parents qui travaillent et subissent l’inflation de plein fouet. C’est très important pour nous » indique le maire Nicolas Langlois.
Des effectifs stables
S’agissant des effectifs ceux-ci s’établissaient à 2 198 élèves (les inscriptions n’étant pas encore closes), avec 775 élèves en maternelles et 1423 élèves en élémentaires. Une légère diminution des effectifs concerne les maternelles (-37 élèves) avec une stabilité en élémentaire. Des chiffres satisfaisants à corréler avec une nouvelle baisse des naissances pour 2022 (-8) alors qu’en 2021 le nombre de naissances enregistrées sur le territoire était en hausse.
Carte scolaire : 2 ouvertures de classes, 3 fermetures
Ces ouvertures sont principalement liées au dédoublement des classes de grandes sections de maternelle pour l’école Langevin-Michel et au dédoublement des CP – CE1 pour l’école Jules Ferry. Sur ces deux écoles on note également une légère augmentation des effectifs + 10 enfants sur Langevin-Michel et + 8 enfants sur Ferry.
Pour l’école Valentin Feldman les effectifs des grandes sections de maternelle étant en baisse à la rentrée, une des deux classes dédoublées en 2023 est fermée.
En ce qui concerne Blainville – moins 15 enfants et Louis de Broglie - moins 6 enfants- les fermetures sont uniquement liées à la baisse des effectifs, il n’existe pas de dédoublement de classe sur ces écoles. Des fermetures que la ville « déplore avec force et qui reposent sur de seules réalités arithmétiques et sans prise en compte des réalités humaines ».
A signaler : 96,15 % des élèves de maternelle scolarisés à Marie Curie en 2023 – 2024 ont intégré l’école Elsa Triolet / Marie Curie, soit 25 enfants sur 26.
Restauration : gel des tarifs après une baisse significative
La restauration scolaire compte une moyenne de 1 308 familles bénéficiaires, 1 650 enfants accueillis avec une augmentation de près de 19 624 repas entre les deux périodes de référence (22/23 et 23/24). Une augmentation qui témoigne notamment de l’attractivité de la baisse des tarifs adoptée pour la rentrée dernière.
Lors de la rentrée 2023, alors que flambaient les prix des denrées, la ville de Dieppe avait alors pris une décision inédite dans ce contexte : celle de diminuer les tarifs de la restauration scolaire. La majorité des parents qui paient les services de restauration ont vu leur facture baisser. 36 % des familles concernées bénéficient de la gratuité.
« A l’heure où tout augmente, notre ville a adopté une décision ambitieuse et solidaire. Nous sommes très préoccupés par l’impact de l’inflation sur le budget des familles » rappelait le maire de Dieppe Nicolas Langlois à propos de cette décision forte, ajoutant : « À Dieppe, c’est la force du service public, que de mettre tous les enfants à la même table, et que chacun ait accès à un service de qualité, quels que soient ses revenus. Chacun est accompagné à proportion de ses moyens et de ses capacités. C’est un choix de justice sociale pour toutes les familles qui ont du mal à boucler les fins de mois parce qu’elles gagnent des salaires insuffisants, parce qu’elles perçoivent de faibles revenus et que flambent, notamment, les prix de l’alimentation. »
La rentrée 2024 voit cette mesure se prolonger d’un gel de l’ensemble des tarifs, alors que le prix des denrées continue pourtant d’augmenter.
115 312 petits déjeuners sont, par ailleurs, distribués par la Ville chaque année.
Accueils périscolaires et extrascolaires
L’équipe d’animation en périscolaire comprend 67 agents dont 41 agents « horaires » essentiellement mobilisés sur les temps de restauration. 10 lieux d’accueils sont proposés en maternelle et 9 en élémentaire qui accueillent 1 480 enfants en moyenne (sur 142 jours d’ouverture). Les mercredis, ce sont 3 lieux d’accueil en maternelle et 3 en élémentaire. Les accueils extrascolaires sur les vacances estivales ont permis de recevoir quotidiennement entre 106 et 153 enfants (tous les enfants ont été accueillis) avec une forte fréquentation en juillet.
Fournitures scolaires gratuites
Pour que chaque enfant apprenne dans les meilleures conditions, les fournitures scolaires, souvent excessivement coûteuses et sources de discrimination et d’inégalités au sein même de l’école, sont intégralement prises en charge par la Ville. Chaque année, la ville finance des fournitures scolaires à hauteur de 45 euros par enfant en élémentaire et 25 euros en maternelle. Une enveloppe de 87 000 euros y est consacrée, soutien direct auxquels s’ajoutent des aides fournies par le CCAS à hauteur de 70 000 euros.
Les projets d’école – sorties scolaires, pédagogiques, ateliers, expositions – sont par ailleurs soutenus à hauteur de 28 000 euros par la ville à travers une dotation spéciale.
Travaux : un engagement poursuivi
Les travaux dans les écoles revêtent, une fois de plus, une dimension importante dans le cadre d’un véritable plan d’action : citons notamment la pose de stores (122400 euros, 4e trimestre) , les travaux de réfection des sanitaires et revêtement des sols dans l’école maternelle Sonia-Delaunay (131 069 euros, été 2024), la réfection de la toiture de l’école maternelle Jeanne-Magny (117 505 euros, été 2024), les travaux intérieurs dans l’école Jacques-Prévert/Pierre-Curie (24 720 euros), la réfection du hall de l’école maternelle Elsa-Triolet/Marie-Curie à hauteur de 27 283 euros. Un effort global à hauteur de 729 000 euros dont près de 34 000 euros sont pris en régie directe, c’est-à-dire réalisés par les services municipaux eux-mêmes.
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Actualité 23/08/24
Des chantiers pour améliorer le quotidien des habitants
Ecoles, crèches (comme au Val Druel avec un futur pôle petite enfance au sein de l'école maternelle Delaunay), voiries (à l'image de la rue du docteur Cassel à Janval), espaces cyclables, stades (comme à Delaune à Janval ou Coubertin à Neuville), gymnases (avec la restauration complète de Robert-Vain à Neuville), éclairage public (avec la poursuite du remplacement des ampoules par des leds), équipements sportifs en plein air sur le front de mer, création de jardins familiaux à Janval…
La Ville de Dieppe continue d'investir dans tous les domaines de la vie quotidienne.Retrouvez l'ensemble des chantiers en cliquant sur ici.
© Photo : Erwan Lesné - Ville de Dieppe
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Actualité 07/08/24
La foire d'été de retour !
Elle est de retour pour le plus grand plaisir des enfants et de tous les habitants et ouvre ses portes dès ce vendredi 9 août à 14h30.
La foire d'été de Dieppe se déroule du vendredi 9 au dimanche 25 août sur les pelouses du front de mer.
Plus de 120 attractions sont proposées cette année, parmi lesquelles : le manège à sensation XXL Ranger mais aussi les incontournables Oxygen, Boomerang, Booster, New Dance, Sweety, Mistral, Rally F1 2000 (auto-tamponneuses), Stock Cars (auto-tamponneuses) ou encore Euro Splash.
« Nous sommes fiers d'accueillir cette foire qui est toujours très attendue par les habitants, estime Laëtitia Legrand, adjointe au maire en charge des animations. La Foire, c'est avant tout une ambiance. C'est l'une des plus belles de France dans un cadre incroyable, en front de mer. C'est familial, c'est populaire, c'est tout ce qu'on aime. »
Sur place, de nombreux stands de restauration permettront au public de se régaler, chaque jour dès 11h30.
Trois feux d'artifice seront également tirés depuis la jetée ouest, samedi 10 août, jeudi 15 août et samedi 24 août aux alentours de 23 heures.
Par ailleurs, pour aider le public à mieux se repérer tout en rendant hommage aux forains qui animent la ville chaque été depuis de nombreuses décennies, les allées de la Foire de Dieppe vont porter le nom de forains qui ont marqué les lieux de leur empreinte : Jackie Bonamy (né le 20 décembre 1938. Foire de Dieppe avec ses parents depuis 1947), Jean Hector (ancien propriétaire du Sweety. Né le 12 août 1923, faisait la foire de Dieppe depuis 1947), René Lepreux (dit Niannain, 1938-2021), Serge Bertaux (dit Le Président, né le 20 mai 1939, ancien président de la foire, faisait la foire de Dieppe avec ses parents depuis 1947), Claude Nicolle (ancien placier), Mme Joly (dite La boiteuse, ancienne placière) et Sacha Boisseau (Reine de la Foire en 2010).
Les horaires d'ouverture de la Foire :
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dimanche, lundi, mardi, mercredi, et jeudi : de 14h30 à 0h30
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vendredi, samedi, veille de jours fériés et le 15 août : de 14h30 à 1h30
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Sauf le dernier dimanche de la foire : de 14 h 30 à 22 h 30
Au programme :
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Vendredi 9 août à 17 heures : Inauguration de la foire
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Samedi 10 août : feu d'artifice depuis la jetée
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Mardi 13 août de 10 heures à 17 heures : remise aux familles dieppoises de cartes comportants 4 tickets gratuits pour des manèges, par la Ville de Dieppe, offertes par les forains, dans les accueils municipaux (CCAS de Dieppe en mairie de Dieppe, CCAS de Neuville en mairie de Neuville, mairie annexe Jacques-Prévert à Janval et accueil Camille-Claudel au Val Druel) et au sein des centres sociaux (justificatif de domicile et livret de famille à présenter obligatoirement)
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Distribution de peluches dans le service pédiatrie de l’Hôpital de Dieppe, mercredi 14 août à 11 heures
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Distribution de gaufres, crêpes et friandises aux résidentes de Château-Michel, mercredi 14 août à 15 heures
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Mercredi 14 août : Journée Promotionnelle pour les manèges participants
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Jeudi 15 août : feu d'artifice
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Mercredi 21 août : Journée Promotionnelle pour les manèges participants
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Samedi 24 août : feu d'artifice
Plus d'infos sur le groupe Facebook ''Foire d'été de Dieppe - Officiel''
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Actualité 19/07/24
« Territoires engagés pour le logement » : 2 500 créations de logements d'ici 2027
Ce vendredi 19 juillet, les conventions de financement du dispositif Territoires engagés pour le logement ont été signées par le Préfet de la région Normandie et de la Seine-Maritime Jean-Benoît Albertini, les représentants de l'Etablissement public foncier de Normandie (Gilles Gal) et de 4 intercommunalités : Nicolas Langlois (président de l'Agglomération Dieppe-Maritime), Olivier Bureaux (président de la communauté de communes Terroir de Caux), Laurent Jacques (vice-président de la Communauté de Communes des Villes Soeurs) et Patrice Philippe (président de la communauté de communes Falaises du Talou). Le Préfet a salué « l'aboutissement de ce projet […] motivant, mobilisateur » qui marque « une ambition territoriale » qui va se concrétiser dans un « horizon extrêmement proche ».
En effet, ce dispositif de l'Etat permet de débloquer 5 millions d'euros afin de créer, sur le territoire des 4 intercommunalités, 2 500 logements d'ici 2027 — dont 25 % de logement social —, dont un peu plus de la moitié en faveur des salariés travaillant à la construction de l'EPR2 de Penly. Sur le territoire communal, sont directement concernés les projets sur le Val d'Arquet 2 (810 logements), le site Gondrand-Villiers ou la Zac Dieppe Sud (1032 logements), à l'image du terrain en friche de l'ancienne casse automobile et de l’ex-laiterie Abraham (rue Louis-de-Bures, 300 logements) où la cérémonie a été organisée. D'autres projets sont dans les cartons à Arques-la-Bataille, Saint-Nicolas d'Aliermont, Le Tréport…
Et le Maire de Dieppe de déclarer : « Qu'est-ce que ce programme va changer ? D'abord le soutien financier de l'Etat qui a permis de terminer le tour de table des financeurs et qui garantit la sortie de terre des projets. Ensuite, et ce n'est pas secondaire, la simplification des procédures. C'est ainsi la possibilité pour nos collectivités, main dans la main avec l'Etat, d'avancer vite et bien sur des dossiers complexes dont nos territoires ont tant besoin. Il s'agira de logements pour les salariés en mobilité qui viendront dans le cadre du grand chantier EPR, mais aussi et surtout pour nos habitants pour qui c'est, avec l'inflation des prix et les besoins de santé, la préoccupation première. »
Le 14 février dernier, le dossier des quatre structures partenaires avait été retenu parmi les 22 lauréats de l'appel à projets (sur 63 candidatures déposées). « Parce que le chantier EPR nous lance un défi commun, nous avons souhaité cette candidature commune pour répondre aux besoins gigantesques de l'arrivée de 10 000 salariés sur le territoire », a rappelé le Maire et président d'Agglo.
© Photo : Pascal Diologent - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 18/07/24
Pont Colbert, le point sur les travaux de restauration #3
Ports de Normandie, gestionnaire des infrastructures portuaires et maître d'ouvrage sur les travaux de restauration du pont Colbert a publié, jeudi 18 juillet 2024, un communiqué de presse sur l'avancée desdits travaux.
Les deux premiers tiers du pont ont été entièrement décapés et recouverts d’une couche d’apprêt afin d’empêcher le développement de la rouille. Cette couche est d’un beige très lumineux afin de faciliter le diagnostic de l’état de la structure. Chaque zone nécessitant une réparation ou un remplacement a été marquée et répertoriée dans un tableau de 10 000 lignes recensant toutes les pièces avec un code couleur. À ce stade du chantier, le taux de dégradation est conforme à ce qui avait été estimé avant décapage. Les entretoises sont très « fatiguées » et compliquées à réparer. Les montants verticaux sont abimés mais réparables. Les grosses croix de St-André sont globalement en bon état.
Concernant la couleur du pont, un diagnostic des différentes couches de peintures qui ont été appliquées sur le pont depuis sa construction a été remis à la DRAC qui rendra son avis en septembre.
Enfin, les travaux de chaudronnerie ont débuté. La fabrication des nouvelles tôles pour la réparation du chevêtre a commencé dans les ateliers à Saint-Saulve. A partir de cette semaine, la dépose des rivets des consoles des anciens trottoirs va s’amorcer.
Concernant la zone de rotation du pont , le mur circulaire en brique va être réparé à partir du mois de septembre. Toutes les briques jaunes et poreuses (environ un tiers), vont être remplacées par des briques les plus ressemblantes possibles à celles d’origine. La pierre de granit du rail de rotation va être remplacée à l’automne. Enfin, en accord avec la DRAC, un système d’évacuation des eaux va être mis en place sur cette zone afin de limiter la corrosion.
La cabine de manœuvre est en cours de sablage aux Ateliers Chauvet, situés près de Poitiers. Idem pour les organes de commande, dont la société Hyd&o se charge de la restauration. La repose de la cabine datant de 1946 est prévue, si tout se passe bien, à l’automne.
Les travaux de la salle des machines devraient débuter en septembre, dès que les équipes de décapage-peinture en auront fini avec le décapage du pont.
Des abris anti-pluie vont être installés de part et d’autre de la passerelle Colbert afin d’améliorer le confort de ses usagers, lorsque celle-ci est ouverte à la navigation. Ils seront équipés de bancs.
Lire l'intégralité du communiqué de presse de Ports de Normandie : https://vu.fr/vKZrQ
Photo de la zone 1 décapée : F. Thomas - Ports de Normandie
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Actualité 09/07/24
20/21 juillet : Faites le plein de bulles sur le front de mer !
L'Association Normande de Bande Dessinée (ANBD) vous convie à son 22e Festival BD de Dieppe, les samedi 20 et dimanche 21 juillet, sur les pelouses du front de mer, en face de l'hôtel Aguado. Gratuit.
Au programme, une trentaine d'auteurs français, belges, serbes…, mais aussi un atelier avec Denis Bajram, une conférence avec les auteurs de Thorgal, dont Grzegorz Rosiński, dessinateur de la série originale, le samedi…
• Toutes les infos, la liste des auteurs et des stands sont à retrouver sur www.anbd.fr ou la page Facebook Festival BD de Dieppe.
Samedi 20 juillet de 10 heures à 19 heures (pas de dédicaces le midi)
Dimanche 21 juillet 10 heures à 18 heures (pas de dédicaces le midi)
À noter que, jusqu'au 15 août, la médiathèque Jean-Renoir propose une exposition de planches originales de l’auteur Thierry Gioux, dessinateur de la série Hauteville house chez Delcourt, scénarisée par Fred Duval. (Re)découvrez le travail de ce dieppois d’origine sur une série mêlant histoire de France, personnages historiques et fiction qui se clôturera avec le 21e tome.
• Illustration : Thierry Gioux ; conception graphique : William Guédin - Ville de Dieppe
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Actualité 09/07/24
Concert : Soolking enflamme les pelouses le 19 juillet !
Un mélange de rap français, de R&B, de reggaeton et de raï. Soolking va électriser les pelouses du front de mer le 19 juillet à 21 heures. Son dernier single Casanova (ft. Gazo) a cumulé plus de 130 millions de streams dans le monde, 120 millions de vues sur le clip et était n° 1 des charts single français pendant sept semaines !
En première partie, dès 19 heures, les 4 finalistes du concours Urban Challenge se produisent sur scène. Ces concerts gratuits sont co-organisés par le Casino et la Ville.
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Actualité 09/07/24
Festival Spray : le graffiti investit le front de mer les 13 et 14 juillet
Pour sa 7e édition, le Festival Spray Dieppe se déroule sur le front de mer les samedi 13 et dimanche 14 juillet. Au programme : graf, street art, concert.
Samedi 13 juillet :
• 14 heures - 18 heures : graffitis avec un live de 25 artistes sur cabines de plage.
• 15 heures - 17 heures : atelier rap avec Rapstreetlab (20 € / heure)
• 15 heures - 17 heures : atelier music beatmaking avec GKY (10 € / heure)
• 15 heures - 17 heures : atelier graffiti avec Konu (10 € / 30 minutes)
• 14 heures - 17 heures : live DJ XYZ (Paris, Méga Faune / Hip-Hop)
• 17 h 30 – 18 h 30 : restitutions live des ateliers Hip-Hop
• 18 h 30 – 20 h 30 : Live DJ H Wang (Rouen / Hip-Hop)
• 20 h 30 – 22 h 30 : Live DJ Kesta (Le Havre / Soul Funk Disco)
Dimanche 14 juillet 2024
• Parcours libre de Street art avec l'application St'Art. Découvrez Clet Abraham
• 11 heures - 17 heures : finalisation des œuvres sur cabines
• 14 heures - 16 heures : atelier rap avec Rapstreetlab (20 € / heure)
• 14 heures - 17 heures : Live DJ M (Paris / Deep House) / Live DJ Deeply Mystique (Électro House)
• 18 heures : clôture du festival
Les ateliers se font sur réservations auprès de asso.ex.spray@gmail.com.
À noter que la liste des artistes est à retrouver sur la page Festival Spray Dieppe et que les cabines artistiques seront visibles jusqu'à fin octobre sur le front de mer.
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Actualité 09/07/24
Du 8 au 26 juillet, faites un saut au “Village des sports” !
Du 8 au 26 juillet 2024, du lundi au vendredi, de 10 heures à 18 heures, sur les pelouses du front de mer, le service des Sports de la Ville de Dieppe et les associations partenaires vous donnent rendez-vous pour le désormais traditionnel Village des sports.
C'est gratuit, n'hésitez pas à venir vous initier à diverses activités sportives et ludiques : football, rugby, cerf-volant, gymnastique, handball, athlétisme, tennis, musculation, sports adaptés, duathlon, rugby, marche, qi qong, badminton, savate, yoga, vélo, lutte, pilates… Et aussi des jeux en bois, un château gonflable et un trampoline !
• Le programme du jour, sous réserve de modifications sans préavis, est diffusé tous les matins à 8 heures sur la page Facebook de la Ville de Dieppe. Le programme complet du 8 au 27 juillet sur l'événement Facebook du service des Sports. Infos : Dieppe Sports
© Photo d’archive : service Communication – Ville de Dieppe
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Actualité 27/06/24
Une navette pour les passagers du transmanche mise en place dès le 1er juillet
C'est un service qui était très attendu des passagers piétons de la ligne Dieppe-Newhaven.
La Communauté d’Agglomération Dieppe-Maritime, l’Office de Tourisme, la société DFDS et le Syndicat Mixte de Promotion de l’Activité Transmanche vont expérimenter un nouveau service de navette à partir du lundi 1er juillet.
Il reliera la gare maritime de Dieppe à la gare ferroviaire et routière, offrant ainsi une solution de transport complète aux piétons empruntant la liaison maritime Transmanche entre Dieppe et Newhaven.
Dans le détail :
- Période d’expérimentation : du 1er juillet au 31 décembre 2024.
- Horaires : Les navettes circuleront en correspondance avec les arrivéeset départs des ferries, garantissant une transition fluide pour les voyageurs.
- Objectifs : Faciliter les déplacements des piétons entre les deux gares, améliorer l’accessibilité des services de transport et offrir une expérience de voyage optimisée aux usagers de la liaison maritime.
- Tarif adulte (à partir de 18 ans) : 3 €
- Tarif jeune (de 4 à 17 ans) : 1,50 €
- Gratuité pour les enfants de 0 à 3 ans
À la fin de la période d’expérimentation, une analyse détaillée sera réalisée pour évaluer la pertinence et l’efficacité de ce nouveau service en vue de son éventuelle pérennisation.
"C’est une excellente nouvelle pour tous les voyageurs qui empruntent la liaison maritime qui relie Dieppe à Newhaven" se félicite Nicolas Langlois, président de Dieppe-Maritime et maire de Dieppe. "Nous sommes très heureux que cet engagement ait été tenu par l'ensemble des partenaires : notre Agglomération, l’Office du tourisme, dont je souligne l'investissement, mais aussi la société DFDS et le syndicat mixte de promotion de l’activité Transmanche avec le soutien des usagers de l'association Tug Horizon. Cette nouvelle navette va rendre la ligne Transmanche encore plus attractive. Les touristes pourront s’attarder dans notre ville, visiter ses lieux emblématiques, flâner dans ses commerces, à ses terrasses.Tout ceci participe de nos efforts pour dynamiser Dieppe en tirant parti de son identité maritime."
© Photo : Pascal Diologent
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Actualité 26/06/24
Le Tourvoile passe par Dieppe du 3 au 5 juillet
Il est de retour à Dieppe après une longue interruption.
Le Tourvoile fera escale dans le cité aux quatre ports du mercredi 3 au vendredi 5 juillet.
Un village d'animations sera installé sur quai Henri IV.
Pour tout savoir sur l'événement, rendez-vous sur tourvoile.fr.
Retrouvez le programme ici : https://vu.fr/lFLtG.
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Actualité 21/06/24
Fin d’activité des Bains au 31 décembre 2024 et travail engagé sur un futur projet
C’est un établissement qui compte pour toutes celles et ceux qui le fréquentent comme pour les promeneurs de bord de mer. Les Bains doivent pourtant fermer leurs portes en fin d’année 2024. Cette décision n’est pas prise de gaieté de cœur.
Le dernier rapport d’expertise, réalisée tous les 6 mois, conclut à une accélération des désordres structurels constatés dès l’ouverture de l’équipement en 2007 et n’autorise la Ville à exploiter encore l’établissement que jusqu’au 31 décembre 2024.
La Ville a souhaité d’abord en informer les 30 agents mais aussi les clubs concernés. Dieppe ne tourne pas, pour autant, la page d’un établissement de soins et de loisirs sur le front de mer.
Un travail est engagé sur un nouveau projet qui va avancer durant les 6 mois restants.
Tous les salariés seront, qui plus est, accompagnés dans leur poursuite de parcours professionnel.
Comment cette décision a-t-elle été prise ?
La fermeture des Bains n'est pas une décision de la municipalité, elle n'est pas non plus la résultante de questions budgétaires.
Elle est imposée par les expertises de la société qui assure la maintenance du site, du bureau d'étude en charge de la sécurité, : les graves défauts de structure, constatés dès l'ouverture du site en 2007 (pour lesquels des actions en justice sont toujours en cours), provoquent depuis quelques mois une accélération des problèmes.
En responsabilité, la municipalité doit composer avec cette réalité qui s'impose, sans alternative possible puisque le bâtiment et le bassin ne peuvent être rénovés - les rapports le disent - mais doivent être intégralement reconstruits.
Dans son avis final, l’auteur du rapport conclut : « ces dommages remettent en cause la solidité du bassin et des plages qui sont fragilisés structurellement. Des réparations ne peuvent être envisagées au vu de la dégradation avancée des éléments et seul un remplacement total peut être envisagé. »
Comment a été gérée l’information ?
S’agissant du devenir de l’équipement et de sa fermeture imposée, la Ville a veillé à rencontrer l’ensemble des parties prenantes en respectant des règles élémentaires : voir d’abord la direction et les responsables de secteur, l’ensemble des salariés, premiers concernés (et qui ont témoigné d’un remarquable esprit de responsabilité), ce qui a été fait le 18 juin au soir ; rencontrer les clubs disposant de créneaux.
L’information des abonnés, du « grand public », des hôteliers - prévue prochainement - reste pleinement d’actualité (sous forme d’une réunion à la rentrée).
D’où viennent les problèmes rencontrés ?
Ils tiennent à la conception initiale de l’équipement qui, en dépit de multiples interventions, ne permettent aujourd’hui pas d’aller au-delà de la période indiquée.
L’établissement Les Bains a ouvert ses portes en juin 2007 au terme de travaux d’investissement qui ont représenté la somme de 21 millions d’euros.
Dès les premiers mois qui ont suivi, de nombreux « désordres » sont apparus : fuites affectant les bassins et les ouvrages périphériques, baisse de la qualité de la ventilation, défaut de fonctionnement des rideaux de protection thermique du bassin extérieur, corrosion anormale de certains ouvrages, dysfonctionnement des destructeurs de chloramines, carrelages anormalement glissants…
La construction du bassin extérieur sur un ancien bassin historique, la compatibilité de certains aciers avec une activité aquatique (embruns, eau de mer…) illustrent quelques-uns de ces nombreux problèmes.
Pour éviter la fermeture du site, la ville a procédé aux travaux les plus urgents et avancé des sommes importantes (3, 5 millions depuis la construction du bassin).
L’établissement a été repris en régie directe par la Ville le 1er janvier 2023.
Comment la Ville accompagne-t-elle cette mesure ?
Avec esprit de responsabilité : la fermeture est dictée par des mesures de sécurité structurelle, mais les conditions ont été réunies pour aller au terme de cette année en toute sécurité pour les agents, les usagers et les clubs.
Les Bains restent ouverts d’ici là, il est important de ne pas changer ses habitudes.
Une vigilance toute particulière sera portée à l’information sur le site.
La Ville travaille, bien entendu, à garantir la situation des 30 salariés, agents de la collectivité. Il a été ainsi proposé à chacun un suivi personnel pour leur carrière professionnelle avec des propositions de reclassement dans les services municipaux en lien avec les postes à pourvoir.
Quelles suites ?
Pour les salariés qui font vivre cet établissement de notre front de mer et que la ville accompagne et continuera d’accompagner, pour la poursuite de l'activité cet été et jusqu’à la fin de l’année en toute sécurité pour les usagers, la Ville communiquera sur les mesures alternatives mais aussi sur le travail conduit pour assurer l'avenir du site.
Persuadés que les problèmes structurels des Bains ne doivent pas amener à tourner la page d'un établissement de ce type sur notre front de mer, les élus travaillent, en effet, à garantir un avenir pour ce site, en lien avec un groupe français opérant dans le domaine de la Thalasso.
Avec un cahier des charges très clair : reconstruction d'un bassin de natation extérieur (avec une couverture thermique fonctionnelle cette fois), maintien de toutes les activités donc les activités bien-être (spa et fitness).
Avec un projet intercommunal (Dieppe-Maritime) de construction d’une nouvelle piscine sur le site Delaune dès 2025.
Avec la volonté de préserver ce site emblématique en Front de mer, auquel les Dieppois sont attachés et de conserver un bassin extérieur public.
D’autres étapes doivent être franchies, dont les usagers et l’ensemble des Dieppois seront tenus informés.
Quelles mesures pour assurer la reprise des activités aquatiques dans les piscines Coubertin et Delaune dès le 1er janvier 2025 ?
Les piscines Coubertin et Delaune seront ouvertes 6 à 7 jours par semaine, avec des horaires élargis en journée, incluant matin, soir et week-end.
Toutes les classes accueillies aux Bains pourront l’être à Coubertin et Delaune.
L’offre de leçons de natation sera augmentée afin d’intégrer tous les usagers.
De nouvelles séances d’aquagym ainsi qu’un créneau pour les bébés nageurs seront proposés.
Les créneaux pour les jeunes des clubs seront maintenus, tandis que les adhérents adultes pourront utiliser les créneaux publics.
© Photo : Pascal Diologent - Ville de Dieppe
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Actualité 13/06/24
Fête de la musique : le programme
La fête de la musique approche. Elle se déroulera en centre-ville vendredi 21 juin.
Retrouvez le programme régulièrement mis à jour ici :
Sur la scène de la Ville de Dieppe, quai Henri IV :
- Intolérance Zéro à 18h30
- OuiL à 20h30 (Photo)
Sur la scène de l'église Saint-Jacques :
- Le temps de chanter à 18 heures
Sur la scène de l'église Saint-Rémy :
- Les classes de musiques actuelles du conservatoire Camille Saint-Saëns à 17 heures
Dans la ville :
- Chant lyrique autour du thème de la mer par les grands élèves du conservatoire Camille Saint-Saëns à l'Estran-Cité de la mer à 17 heures
- La classe MAO du Conservatoire Camille Saint-Saëns et les groupes Les Tontons Farceurs, Shak'Head, Midnight storm suivi d'un DJ set à la salle des Congrès à partir de 17 heures
- Marek Gautrot-Rouillon (électro) avec démo de skate au skatepark à 17 heures
- Duo Cavale au Novick's Stadium à 18 heures
- DJ Apache au Bar O Mètre à 18 heures
- SlowmanDispatcher à la Casa des cactus à 18 heures
- DJ Angel au bar Le National et à la Mie Caline à 18 heures
- Chorales de la Colline et La Sauvage Aux Pains Populaires à 18h30
- Kinkeliba à la Potinière à 19 heures
- Paul Herouard (rock), Pur (rap) et Noless (électro) sur le front de mer à 19 heures
- Amal'Gamme au 150 Grande Rue à 19 heures
- Zumba avec In'Form au Café Marceau à 19 heures
- Zoé au Douze à 19h30
- After/Before au Trianon et au Sarajevo à 20 heures
- Northmen Brass au BDB à 20 heures
- The Recast au Calvados à 20 heures
- Musique Drag à La Sirène à Barbe à 20h30
- Jet Lag Trio à L'Entrepôt à 20h30
- Max A aux Vins en Scène à 20h30
- Deep Jazz Swingers à L'Epsom à 21 heures
- Ray Banana & Les Chucks Maurices Au Bout là-bas (horaire non communiqué)
Vous êtes un groupe, un musicien ou un lieu accueillant un concert vendredi 21 juin. Faites-nous le savoir à l'adresse journaldebord@mairie-dieppe.fr.
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Actualité 12/06/24
La Belle saison : demandez le programme !
La Belle saison 2024 prend ses quartiers d’été ! Et il y en aura pour tous les goûts. Que vous soyez un adepte du sport, de musique, de culture, d’activités nautiques, de flâneries, en famille ou en solo, chacun pourra trouver son bonheur dans ce programme qui rassemble de nombreux moments forts pour nous faire vivre un été haut en couleurs.
Fête de la mer, Fête de la musique Village des sports, feux d'artifice, Foire d'été, grand concert de Soolking, marchés nocturnes, festivals de graffiti Spray et de bande dessinée, marchés d'arts, rendez-vous culturels (Musée, Dieppe Ville d'art et d'histoire…), animations dans les quartiers (Quartiers d'été)…, le programme est riche jusqu'en novembre et la nouvelle édition de la Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques !
• Télécharger le programme complet de La Belle saison 2024.
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Actualité 12/06/24
La mer entre en scène les 22 et 23 juin
C’est le grand rendez-vous des marins. La Fête de la mer anime les quais tous les deux ans. Elle revient, cette année, samedi 22 et dimanche 23 juin et s’installe sous la halle à marée, mais aussi sur la presqu’île du Pollet, quai du Carénage, avec un “village” et des stands associatifs. « La fête de la mer, c’est un grand hommage à nos marins et notamment à ceux qui n’en sont pas revenus, souligne Dominique Patrix, adjoint au Maire en charge de la Mer et de l’Identité maritime. C’est très important de perpétuer cette tradition et de mettre en valeur ces beaux métiers qui intègrent également le mareyage, les chantiers navals, les écoles maritimes... Dieppe s’est construite au fil des siècles autour de la mer. »
En musique
Le moment est solennel. Après une retraite aux flambeaux, samedi à 23 heures, un office religieux est célébré le dimanche, sous la halle, par le diacre Daniel Lesueur, suivi d’une procession. Mais il est aussi, et surtout, convivial et festif avec en point d’orgue la sortie en mer d’une quinzaine de bateaux, tous décorés pour la circonstance, dimanche à 12h15. Le public pourra se restaurer sur place, mais aussi profiter des nombreuses animations musicales : inauguration samedi à 17 heures avec la déambulation de la fanfare Boa Brass Band, puis un bal avec l’orchestre Captain Java à 21 heures sous la halle et le dimanche avec le bagad Les Bretons du Havre, le groupe de chants marins Les Gabiers du Havre et les groupes Menace d’éclaircie et The Recast qui sesuccéderont sur la scène sous la halle à marée.
© Visuel : Célia Bréard
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Actualité 06/06/24
La flamme olympique débarque à Dieppe le 5 juillet
Le relais de la flamme olympique passe par la ville aux quatre ports vendredi 5 juillet. Tout ce qu'il faut savoir sur cet événement historique. Cette page sera régulièrement mise à jour (dernier ajout : jeudi 13 juin 2024).
La flamme olympique, ça vient d'où ? C'est l'un des grands symboles des JO. Il renvoie à des courses aux flambeaux qui étaient organisées dans la Grèce antique lors de festivités. Le comité organisateur a choisi de proposer aux territoires d'accueillir le relais de la flamme. Elle passera donc en Seine-Maritime — le Département ayant financé l'opération — vendredi 5 juillet, à Dieppe mais aussi à Rouen, au Havre, à Yvetôt, à Jumièges et à Mirville, où a grandi Pierre de Coubertin, grand artisan de l'ère moderne des jeux olympiques. La flamme est arrivée à Marseille depuis la Grèce le 8 mai et parcourra tout le pays jusqu'au 26 juillet, portée par de nombreuses personnalités et des anonymes.
Où et quand passera-t-elle à Dieppe ? Le premier relayeur de la flamme à Dieppe s'élancera, vendredi 5 juillet, à 11h31, très précise, depuis l'avenue Gambetta, au croisement de l'avenue Boucher de Perthes. Les relayeurs passeront par le front de mer sur le boulevard Foch, puis sur le quai Henri IV, le quai Duquesne, le boulevard de Gaulle pour arriver, en musique avec l'Harmonie du Canada qui jouera des morceaux autour des jeux olympiques, sur le parvis de l'hôtel de ville à 12h30. Voir le plan du parcours ici.
Stationnement et circulation. Le caractère exceptionnel de ce rendez-vous a des incidences sur les conditions de circulation et de stationnement, selon les préconisations des autorités nationales compétentes et du Comité d’organisation des Jeux olympiques.
Des espaces de stationnement de repli ont été identifiés pour permettre aux riverains du parcours de la flamme de se stationner dès jeudi 4 juillet, à partir de 17 heures. (Voir le flyer diffusé aux habitants du centre-ville)
Ce qu'il faut retenir :
→ Le stationnement sera interdit sur le parcours du relais de la flamme (boulevard Gambetta, boulevard Foch, quai du Hâble, quai Henri IV, quai Duquesne et boulevard Charles de Gaulle) dès jeudi 4 juillet à 17 heures et jusqu’à vendredi 5 juillet à 13 heures, sauf le boulevard Foch qui demeurera inaccessible toute la journée.
Les habitants peuvent donc notamment utiliser les parkings de repli, matérialisés sur le plan (il ne sera plus possible d’entrer sur le parking de la Biomarine à compter de 4 heures du matin vendredi 5 juillet, mais il sera possible d’en ressortir en empruntant la rue Montigny).
→ La circulation ne sera plus possible entre 10 h 30 et 13 heures dans le périmètre délimité par une ligne violette sur le plan, depuis l’avenue Gambetta à l’intersection de l’avenue Boucher de Perthes et le boulevard Charles de Gaulle jusque sur le front de mer, vendredi 5 juillet. Retrouvez ici la plan de circulation et de stationnement.
→ La sous-préfecture de Dieppe demande également aux habitants vivant sur le parcours de la flamme de rentrer leurs bacs de déchets impérativement avant 10h30 vendredi 5 juillet. Voir le plan du parcours.
Comment accéder au site ? La circulation et le stationnement seront difficiles voire interdits, sur le parcours de la flamme et dans les rues adjacentes, comme l'exigent les autorités nationales compétentes. De 10h30 à 13 heures, le centre-ville sera totalement interdit à la circulation depuis l'avenue Gambetta et boulevard Clemenceau jusqu'au front de mer. Pour accéder à ces espaces, deux parkings gratuits de délestage sont créés à l'hippodrome (750 places) et au stade Jean-Dasnias (750 places). Ils seront reliés à l'office de tourisme (ou au quai du Carénage sur l'île du Pollet durant le passage de la flamme) par des navettes gratuites (passage toutes les 30 minutes) mises en place par l'Agglo et Deep Mob de 9h45 à 22 heures. Sur le front de mer, le grand public sera invité à assister au passage des relayeurs, le long du boulevard Foch, côté plage. Retrouvez ici la plan de circulation et de stationnement.
Par ailleurs, le réseau de transports en commun de Deep Mob sera entièrement gratuit durant toute la journée du vendredi 5 juillet. Retrouvez les plans des lignes de bus ici.
La journée des enfants. Le 5 juillet coïncide également avec le dernier jour d'école avant les grandes vacances. La Ville de Dieppe a ainsi invité l'ensemble des écoles de Dieppe, Neuville et des communes de l'agglomération Dieppe-Maritime. L'engouement est énorme puisque plus de 2000 enfants seront présents au rendez-vous. Un espace pour les élèves de maternelle sera délimité autour des terrains de beach volley avec des activités adaptées. Les enfants pourront tous assister, aux premières loges, au passage du relais, depuis les pelouses, le long du boulevard Foch.
Défilé et flash mob. A 13h30, l'ensemble des classes présentes défileront sur le front de mer. La marche s'achèvera par un flash mob imaginé par le groupe des Mamies en folie dont le public a déjà eu un aperçu au moment du carnaval des enfants le 15 mai dernier.
Des animations. Le front de mer va se muer en un immense village olympique. Sur l'ensemble des pelouses, des animations, des démonstrations et des activités seront proposées durant toute la journée par près de 45 structures diverses dont une majorité de clubs dieppois et par les éducateurs sportifs de la Ville. La palette d'animations est très large avec des sports collectifs et individuels, du parasport avec du céci-foot ou du volley assis ou encore des sports nautiques. Sur la pelouse centrale, le Département installera une scène où seront proposés des démonstrations de breackdance notamment, de la zumba ou encore des jeux sur un grand mur digital. D'autres surprises sont au menu et seront dévoilées le jour J. Le point plage sera également ouvert tout comme les Bains où des démonstrations seront organisées. Pendant le passage de la flamme, les animations s’interrompront puis reprendront pour tout l'après-midi.
Le défi. Alors qu'elles viennent d'accéder à la Nationale 1, les filles du Dieppe Basket proposeront aux enfants de les défier en tentant de les dribller en un contre un.
Cérémonie de clôture. Pour ponctuer symboliquement cette journée, et juste après un moment convivial, une cérémonie de clôture festive est programmée à 17h30. Elle s'articulera autour d'un défilé des associations et des clubs suivi d'une grande chorégraphie sur le thème des JO impliquant de nombreux partenaires associatifs comme les Mamies en folie, l'Apei, le groupe de danse sportive du lycée Ango, Magic Dance ou encore les clubs de gymnastique dieppois.
En musique. La fête sera complète. La Ville de Dieppe met en place deux scènes sur la pelouse, côté jetée ouest, puis sur le quai Henri IV à proximité de la fontaine. Plusieurs groupes se succèderont tout au long de la journée. A 18h30, le New Horizons Wind Band (orchestre d'harmonie canadien), constituée de 62 musiciens, fera une nouvelle apparition sur la scène du front de mer avec un concert d'une heure et des reprises de grands airs populaires et de musiques de films.
L'homme. Jean-Paul Villain a participé à trois olympiades. L'enfant du Pollet fait partie des grands oubliés des organisateurs pour participer au relais de la flamme olympique. Dans l'espoir que l'impair soit réparé, le maire de Dieppe Nicolas Langlois et le député Sébastien Jumel ont adressé une lettre au président du comité d'organisation des Jeux et à la Ministre des sports pour attirer leur attention sur la carrière exceptionnel de cet athlète hors norme. En attendant, pour lui rendre hommage, il a été proposé à Jean-Paul Villain de donner le coup d'envoi, sous l'ovation du public, du match de football, parrainé par la Ville, FC Dieppe – Oissel, le 18 mai.
La liste des relayeurs. C'est désormais officiel ! Outre Jean-Paul Villain et Pierre Longuemare (rugby fauteuil) qui sera accompagné de Michel Eude (DUC Rugby), les noms des autres relayeurs a été dévoilée mardi 2 juillet.
Les porteurs de la Flamme :
- Boulevard Gambetta : Lucie Manelle, Victor Alberio joseph, Oriol Mpassi, Arnaud Vermoortele
- Rue de Sygogne : Daniel Ferreira
- Boulevard de Verdun : Tony Rouxel, Arnaud Aubry
- Boulevard Foch : Stéphane Novick, Pierre Longuemare, Fauve Hautot, Jean-Paul Villain, Antony Gibeaux
- Boulevard de Verdun : Honory Mendy
- Quai du Hâble : Nadine Mayeux
- Quai Henri IV : Juanito Duneufgermain, Jean-Noël Freyri
- Quai Duquesne : Fafa Bechikh, Kévin Campion
- Boulevard de Gaulle : Anaëlle Benz
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Actualité 06/06/24
Pont Colbert, le point sur les travaux de restauration #2
Ports de Normandie, gestionnaire des infrastructures portuaires et maître d'ouvrage sur les travaux de restauration du pont Colbert a publié, jeudi 30 mai 2024, un communiqué de presse sur l'avancée desdits travaux.
Le mois dernier a été consacré, entre autres, à l’installation de l’échafaudage qui entoure désormais intégralement le pont de manière à permettre aux équipes chargées de sa restauration, de pouvoir accéder au moindre recoin. Le pont a, ensuite, été enveloppé dans un cocon double peau.
Son but : empêcher toute émanation de plomb et d’amiante. Un test de fumée a permis de confirmer sa parfaite étanchéité. Il est équipé de « hublots » qui permettent à l’air de rentrer et d’un système d’aspiration de l’air pollué d’amiante et de plomb. Cet air est filtré avant d’être rejeté. Enfin, une unité de décontamination a été créée afin que les équipes habilitées puissent entrer et sortir du cocon.
Le décapage par grenaillage (projection de petits morceaux d’acier) a débuté. 16 personnes sont mobilisées sur cette opération. Elles travaillent par équipe de 8. Dans une équipe, 4 agents décapent, les 4 autres aspirent les déchets du grenaillage et recyclent les projectiles afin de les remettre dans le circuit. Cette technique permet de limiter le volume de déchets. Le décapage de la tranche 1 devrait être terminé mi-juin. Cette 1ère partie du pont sera alors recouverte d’une couche d’après afin d’éviter toute reprise de la corrosion. Ports de Normandie pourra ensuite procéder à l’examen de la structure métallique et réaliser une estimation des pièces à réparer ou remplacer. Cette estimation, in fine, sera soumise à l’arbitrage de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC). Le décapage de la tranche 2 devrait, quant à lui, démarrer mi-juillet, sauf aléas.
Les organes de manœuvre (presses de basculement et de rotation, presses de levage et de calage, vérins, chaîne et couronne...) sont arrivés aux Ateliers Reignier situés à Chaulnes (80). Chaque pièce a été entièrement démontée et examinée afin de savoir ce qui peut être conservé en l’état, ce qui doit être réparé et ce qui doit être remplacé. À ce stade, aucune mauvaise surprise n’a été constatée. Enfin, il a été arbitré que l’étanchéité continuerait d’être assurée par des joints en cuir, comme à l’origine.
Quant à la presse de pivot, elle a été démontée avec la plus grande attention. En effet, Ports de Normandie connaissait l’existence d’un message laissé par les équipes qui avaient travaillé sur le chantier de restauration du pivot en 1993. Mais encore fallait-il savoir où, exactement, ce message se cachait et ce qu’il contenait… Il s’agissait en fait du « Procès-verbal de remise en place du pivot du grand pont tournant, dénommé PONT COLBERT », émis par la DDE de Seine-Maritime le 19 mars 1993 et citant l’ensemble des agents ayant travaillé sur le chantier. Les travaux réalisés à l’époque y sont assez détaillés. Le tout avait été glissé dans une bouteille qui aurait elle-même servi, le 3 avril 1930, à cacher le « PV de mise en place du pivot du grand pont tournant du Pollet » (photos dans le communiqué de presse).
L’architecte du patrimoine a indiqué que les pierres sur lesquelles repose le rail de rotation doivent être toutes remplacées. Il faut donc trouver une carrière fournissant un granit identique. Quant aux travaux de maçonnerie de quai, ils sont en cours.
La cabine de manœuvre a été déposée et est partie en réparation aux Ateliers Chauvet, situés près de Poitiers. Avant cela, chaque vitre et chaque montant ont été soigneusement numérotés afin de pouvoir reconstituer parfaitement le puzzle à l’issue de la réfection de tous ses éléments. Quant aux organes de commande, c’est la société Hyd&o qui va les restaurer.
Lire l'intégralité du communiqué de presse de Ports de Normandie : https://vu.fr/xDRUC
Photo © Ports de Normandie
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Actualité 07/05/24
Basket : les “Lionnes” rugiront en Nationale 1 !
Historique ! Les filles de Dieppe Basket 76 ont décroché, samedi 4 mai, à la Maison des Sports, leur billet pour évoluer en championnat de Nationale 1 la saison prochaine. Jamais un club de sport collectif dieppois n'avait atteint un tel niveau.
Après avoir battu le CSMF Paris lors du premier match de play-off, les “Lionnes” n'ont fait qu'une bouchée de Calais 91-46, s'assurant l'accession dans une liesse indescriptible.
Les joueuses de Michel Gomez n'en ont cependant pas terminé avec cette saison, déjà exceptionnelle. Elles se rendront le 11 mai à Calais, puis recevront Paris le 18 mai à 20 heures à la Maison des Sports dans l'espoir de remporter le titre de championne de Nationale 2.
© Photo : Erwan Lesné
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Actualité 07/05/24
Fête du Jeu, marches sportives : c’est à vous de tester !
Le 9 mai, fête du jeu et marches sportives reforment À vous de jouer, de 11 heures à 19 heures au parc François-Mitterrand. Gratuit.
Ils sortent, une nouvelle fois, le grand jeu ! Le réseau D’Lire des bibliothèques-ludothèques de la Ville transforme le parc François-Mitterrand en un grand terrain de jeux de société. Comme à l’accoutumée, il y en aura pour tous les goûts et tous les âges avec différents espaces de jeux distincts : petite enfance (0-6 ans), famille, joueurs confirmés (parties plus longues), jeux traditionnels en bois, jeux en tête-à-tête, associations (Questions pour un champion, Échiquier dieppois, Scrabble club dieppois, Amical bridge club dieppois et Viking gaming) flippers, cible géante gonflable (ballon à scratcher), vente (Le Plumier). Sur le stand jeux en tête-à-tête, une version XXL du jeu Elios est présentée par la bib’-ludo Camille-Claudel. Il a été construit avec
l’aide des menuisiers de la Ville et avec l’autorisation de l’auteur Philippe Proux.À noter, la présence de la société Les Aventures de Léo, qui propose, notamment, des animations autour des briques de construction format Lego® et Duplo®. Un stand des créations ludiques du réseau est aussi spécialement installé. Quant à l’Orchestre d’harmonie de Dieppe, il va mettre de l’ambiance avec de nombreuses surprises musicales et ludiques.
Trois randos pour tous
De son côté, le service des Sports organise trois marches de niveaux différents autour de Dieppe : un 21,5 km (compétition) qui peut faire office d’entraînement aux équipes dieppoises engagées dans le défi Oxfam
(100 km en moins de trente heures, les 29 et 30 juin) ; un 12 km (confirmés) ; et un 6 km (famille). Dès 7 heures, depuis le parc Mitterrand, les départs sont échelonnés pour une arrivée collective entre midi et
13 heures au château-Musée. Il est conseillé de se chausser et de s’habiller de manière adaptée. Un fruit et une bouteille d’eau sont offerts. Les inscriptions peuvent se faire le jour J, sur place. Pour plus d'infos, contacter le service des Sports au 02 35 06 62 77.• Lire/télécharger le programme complet d'À vous de jouer 2024
• Lire/télécharger le programme des marches sportives
© Photos d'archive : Erwan Lesné
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Actualité 07/05/24
Fête des fleurs : la nature en ville en pleine floraison
Le 8 mai, de 10 heures à 18 heures, la 22e Fête des fleurs lance le festival Les bon(s) jour(s) de Dieppe au parc François-Mitterrand.
Près de 60 exposants réunis au parc François-Mitterrand. Organisée par la Ville, cette 22e édition explore le thème des espèces exotiques envahissantes (EEE). Une vingtaine de pépiniéristes, fleuristes, horticulteurs ou producteurs présentent leurs plantes aromatiques, bulbes, vivaces et autres plants et légumes bio. Le public peut également aller à la rencontre d’autres expo- sants spécialistes de plantes médicinales, lithothérapie, produits à base d’orties, céramique, cosmétiques naturels, thés et infusions...
Côté animations, des structures proposent des ateliers : réduction des déchets et conseils en jardinage (Jardin des loups), construction de bois et bûcheronnage (lycée du bois), fleuristerie et scénographie paysagère (lycée Jean-Rostand), jeunes pousses et lutte contre le gaspilllage alimentaire (Smédar)... Par ailleurs, le Conservatoire d’espaces naturels va sensibiliser les visiteurs sur les EEE.
Un village nature
Près de la cascade du parc, les services des Espaces verts, Propreté urbaine et Mission Développement durable informent sur les dispositifs Ville en faveur de l’environnement et de la nature en ville: grainothèques, ruches pédagogiques, gestion différenciée... Ils proposent aussi des démonstrations de fabrication de miel et d’élagages d’arbre. Du paillage est aussi distribué gratuitement. À noter que des racks de stationnement temporaire sont installés : idéal pour venirà la Fête des fleurs à vélo !
• Télécharger le programme de la 22e Fête des fleurs 2024
• Télécharger le programme du festival Les Bon(s) jour(s) de Dieppe
© Photo d'archive : Erwan Lesné
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Actualité 03/05/24
Une cérémonie du 8 mai placée sous le signe de la jeunesse et de la transmission de mémoire
Le mercredi 8 mai 2024, les commémorations qui marquent la capitulation de l’Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale se dérouleront devant le monument aux morts de Dieppe en présence de nombreux représentants officiels, d’élus, d’associations patriotiques, d’habitants et d’une centaine de jeunes passeurs de mémoire venus des collèges Georges Braque et Albert Camus.
« La Ville de Dieppe est très engagée dans la transmission de cette mémoire à la jeunesse, explique le maire Nicolas Langlois. Nos cérémonies intergénérationnelles témoignent du combat courageux de la Résistance contre le nazisme, cette idéologie d’extrême droite qui fait malheureusement aujourd’hui des nostalgiques en France et en Europe. »
Puis, les commémorations du souvenir se prolongeront dans la Grande rue avec la pose de pavés à la mémoire de deux Dieppoises de confession juive, Tsvila Herscovici et sa fille Dora Kahana. Depuis deux ans, des élèves de 4e et de 3e du collège Camus ont mené une enquête mémorielle sur ces deux victimes de la déportation. Ce moment de recueillement se tiendra en présence de Clément Duyck, l’arrière-petit-fils de Tsvila Herscovici.
A cette occasion, la Ville de Dieppe est très honorée d’accueillir la célèbre musicienne Sonia Wieder-Atherton, qui avait accompagné au violoncelle l’entrée au Panthéon de Simone Veil. Sonia Wieder-Atherton a accepté de jouer aux côtés des élèves de la Classe à horaires aménagés de Danse, formée par le Conservatoire Camille Saint-Saëns.
Les jeunes passeurs de mémoire du collège Albert Camus ont récemment reçu le prix Jeunesse et mémoire de l'association nationale de l'Ordre national du mérite.Déroulé des cérémonies
- 9 h 30 : dépôt de gerbes au monument aux morts de Neuville-lès-Dieppe
- 10 heures : dépôt de gerbes à la stèle des cheminots à la gare de Dieppe
- 10 h 15 : dépôt de gerbes au monument dédié à la mémoire des victimes du Nazisme devant le square Denise-Meunier, parc François-Mitterrand.
- 10 h 20 : dépôt de gerbes rue du 8 mai 1945
- 10 h 30 : cérémonie au monument aux morts de Dieppe
- La fuite, d’Albin de la Simone, interprétée par la chorale du collège Georges-Braque
- Dépôts de gerbes par les autorités et les associations
- Hymnes nationaux interprétés par l’Orchestre d’harmonie de Dieppe et La Marseillaise interprétée par la chorale du collège Georges-Braque
- Discours du Maire et du Sous-préfet.
- 11 h 20 : déambulation vers la Grande rue
- 11 h 30 : cérémonie des Pavés de mémoire au 120 Grande rue de Dieppe
Les élèves du collège Albert-Camus dévoileront deux pavés à la mémoire* de Tsvila Herscovici et de sa fille Dora Kahana, deux Dieppoises de confession juive, déportées et assassinées à Auschwitz-Birkenau.
Des poèmes seront lus par des élèves du collège Albert-Camus et une chorégraphie sera interprétée par les collégiens et des jeunes de la classe à horaires aménagés de danse.- 12 h 30 : verre de l’amitié derrière la mairie, à proximité de la Fête des fleurs
Service de car assuré
- 9 heures : mairie de Dieppe, côté boulevard Clemenceau, vers mairie de Neuville-lès-Dieppe
- 9h 45 : mairie de Neuville-lès-Dieppe vers mairie de Dieppe
- 13 h 15 : mairie de Dieppe vers mairie de Neuville-lès-Dieppe
* Lancée par l'association rouennaise Pavés de mémoire, cette initiative s'appuie sur le travail mémoriel réalisé depuis les années 1990 par l'artiste allemand Gunter Demnig avec ses « stolpersteine », littéralement des « pierres sur lesquelles on trébuche ».
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Actualité 24/04/24
Frédéric Bouraly : « Le théâtre, c'est ma famille »
Comédien vedette de la série Scènes de ménages sur M6, il est à l'affiche de la pièce Ave César, présentée le 9 juin au festival de théâtre Les enfants de Molière, au Casino de Dieppe.
Vous êtes devenu très populaire dans le rôle de José dans Scènes de ménage. Si on devait se poser maintenant, quel bilan dressez-vous de cette belle aventure ?
"C'est extraordinaire. Les gens me connaissaient un peu avant parce que j'ai fait pas mal de cinéma et beaucoup de théâtre. Mais ce personnage de José m'a propulsé dans autre chose. C'est Gérard Lanvin qui m'avait fait prendre conscience de ça en me disant que tous les deux nous étions des acteurs populaires. C'est formidable parce qu'il ne suffit pas d'être connu ou reconnu. Être populaire, c'est un cadeau de la vie. Les gens ont le sentiment qu'on peut être leur ami, qu'ils nous connaissent, qu'on est proche d'eux. Dès qu'on fait quelque chose, ça leur parle au cœur. Ca m'a apporté en notoriété. Mais, curieusement, quand on m'appelle. C'est rarement pour faire de la comédie mais souvent pour des personnages d'une grande humanité, qui ont une faille. Finalement, c'est ce qui se dégage de José. Il est drôle parce qu'il est maladroit, un peu naïf. Il aime sa femme profondément. C'est cette base qui rend la chose drôle. Il y a une vraie sincérité quand il pleure, par exemple, pour quelque chose de banal. On en rit mais, lui, il pleure vraiment. Il est vraiment touché."
On va vous voir à Dieppe sur les planches dans Ave César le 9 juin. Vous connaissez Dieppe ?
"Je ne suis jamais venu. Mais j'ai hâte. Et, en plus, ce sera particulier parce que ce sera la dernière. Ca va être assez émouvant parce que c'est une aventure humaine. Un acteur ne dépend que de son partenaire. C'est lui qui donne le là. Et j'ai beaucoup de chance parce qu'avec Christelle, j'ai un Stradivarius. C'est une grande comédienne qui sait tout faire, avec qui tout est possible. Il ne peut pas y avoir de lassitude. C'est une chance pour moi de jouer à ses côtés. On est vraiment ensemble, quoiqu'il arrive."
Vous explorez à nouveau l'univers du couple. C'est un champ qui vous passionne ?
"C'est une peu un hasard. En réalité ce qui m'a séduit c'est que la pièce est formidable. Chaque couple est différent. Ce sont des univers différents. Ca n'a strictement aucun rapport avec Scènes de ménages sinon je ne l'aurais pas fait."
Ave César aborde d'autres facettes, sous d'autres angles. Racontez-nous ?
"Ce couple se connaît depuis 25 ans. Il y a des choses à régler. Elle trouve que depuis quelques temps, aussi bien au niveau sexuel que dans la vie de tous les jours, il y a une forme d'endormissement. Lui ne s'en rend pas tout à fait compte parce qu'il a d'autres soucis. Elle prend l'initiative de louer une chambre dans un hôtel un peu sexy. Ils n'ont pas l'habitude de cela. Alors ils se retrouvent dans cette chambre dans le but de ressouder leur couple. Ils nous font rire par leur maladresse. Cette situation va provoquer une discussion assez intense. Tous les soirs, les spectateurs nous disent qu'ils ont beaucoup ri mais qu'ils ont aussi pleuré. Il y a une palette de sentiments énorme. Chaque mot, chaque lettre sont empreints de sincérité."
Vous crevez l'écran à la télévision mais aussi au cinéma. Pour autant vous êtes un homme de théâtre. Qu'est-ce qui vous plaît dans le spectacle vivant ?
"Cette pièce par exemple, c'est deux ans d'aventure. En tout, on l'a jouée 270 fois. Chaque soir, c'est nouveau. A chaque fois, on redémarre à zéro. Il y a quelque chose d'un peu vertigineux à être tous les deux, avec Christelle Reboul, sur scène. La pièce est tellement bien écrite, tellement bien construite que c'est un plaisir de la jouer. Quand le public vient voir une pièce. Il peut dire après qu'il était là ce soir-là. Chaque représentation est une expérience nouvelle. Tous les soirs, c'est différent sur scène. J'y reviens tout le temps. C'est là que j'ai démarré. J'ai d'ailleurs beaucoup d'autres projets. Le théâtre, c'est ma famille."
© Photo : F. Rappeneau
Le festival Les Enfants de Molière
La 8ème édition de cet événement parrainé par Francis Huster se déroule du 7 au 9 juin au Casino de Dieppe. Encore une fois, les organisateurs présentent un programme exceptionnel avec quatre pièces.
- Vendredi 7 juin à 20h30 : Tout est dans la voix avec Marianne James
- Samedi 8 juin à 20h30 : Un avenir radieux
- Dimanche 9 juin à 11 heures : Au bord de l'eau-là (spectacle familial)
- Dimanche 9 juin à 18 heures : Ave Cesar avec Frédéric Bouraly et Christelle Reboul.
Infos et billetterie sur lesenfantsdemoliere76.jimdofree.com.
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Actualité 24/04/24
"Valentin Feldman, un antifasciste convaincu"
Docteur en histoire, Pierre-Frédéric Charpentier a consacré une étude complète et un ouvrage à la vie de Valentin Feldman, enseignant dieppois et résistant, fusillé en 1942 au Mont-Valérien dont une rue et une école portent le nom à Janval. Dans le cadre de la Journée nationale de la Résistance, il animera une conférence lundi 27 mai à 18 heures à l'hôtel de ville et sera accompagné du sénateur Pierre Ouzoulias, petit-fils du résistant communiste Albert Ouzoulias, qui interviendra sur Missak et Mélinée Manouchian. Entretien.
Qui était Valentin Feldman ?
Pierre-Frédéric Charpentier : "C'est quelqu'un qu'on a retenu pour ses derniers mots. Au moment d'être fusillé à l'été 1942, au Mont-Valérien, il lance à ses bourreaux : « Imbéciles, c'est pour vous que je meurs ». Une phrase absolument définitive. On n'a retenu pendant très longtemps que cette formule historique. Ca a été repris par beaucoup de gens comme Sartre, Eluard, Aragon ou plus tard Jean-Luc Godard et traduit dans de nombreuses langues. Jusqu'à ce que je mène mes recherches, on ne connaissait à peu près que cela de lui. La formule est claquante. C'est une punchline comme on dirait aujourd'hui. Sauf qu'il n'était pas sur un plateau télé mais devant des fusils."
Son parcours est particulièrement atypique…
"Avant ces mots, il y a, en effet, 33 ans qui ont précédé. Valentin Feldman est un Français exemplaire. Au sens où c'est quelqu'un qui est né dans l'Empire russe en 1909, originaire d'une famille laïque plutôt aisée. Ce cadre familial et social va être broyé par la Première Guerre mondiale. Il émigre en France en 1922. Il s'installe à Paris avec sa mère. Il est élève au prestigieux lycée Henri IV, qu'il intègre simplement parce qu'il s'agit de son lycée de secteur. Il s'y lie d'amitié avec plusieurs personnes dont le futur porte-parole de la France Libre Maurice Schumann. En 1927, il triomphe au concours général, le grand concours de la méritocratie républicaine. Ce jeune étranger — il ne sera naturalisé qu'en 1931 — remporte l'épreuve de philosophie. Il mène ensuite des études à la Sorbonne. Il côtoie beaucoup de jeunes penseurs de l'époque comme Lévi-Strauss, Sartre, Beauvoir. Il est lui-même très doué. Il est aussi très sensible aux enjeux politiques de son temps. Il milite d'abord à la SFIO puis soutient le Front Populaire, la République espagnole, et décide en 1937 d'adhérer au Parti Communiste. C'est un antifasciste convaincu. Il fait partie de ceux qui ont été avertis et très clairs par rapport à la menace que représentait le Nazisme. Il publie des textes et fait du militantisme, notamment à Fécamp où il est en poste de 1937 à 1939. Quand la guerre est déclarée, il peut ne pas s'engager car il a des problèmes de santé. Mais il souhaite tout de même s'engager. Il est pris et se retrouve à Rethel. Il vit la défaite. Il se retrouve ensuite dans le Limousin. Il a échappé à la capture. Il s'est conduit assez courageusement. Il a obtenu la Croix de guerre. A la rentrée, il est nommé au collège de Dieppe."
Pourquoi son histoire mérite-t-elle qu'on s'y attarde et qu'on la fasse ainsi mieux connaître et reconnaître ?"C'est quelqu'un qui résiste tout de suite. A l'été 1940, dans un texte assez poétique, il se demande s'il n'est pas quitte avec la République parce qu'il s'est bien battu. Il a été naturalisé depuis presqu'une décennie. Il dit qu'il se retire. Finalement quelques semaines après, il replonge dans le bain avec les premières organisations clandestines communistes entre Paris, Rouen et Dieppe. Dès l'automne 1940, il se retrouve dans les structures de l'OS (Organisation Spéciale) du Parti communiste français. Marie-Thérèse Fainstein (résistante dieppoise) rapporte qu'ils se sont dit à l'époque qu'il fallait tout de suite faire quelque chose."
Que sait-on de ses activités quand il était à Dieppe, tant dans la vie civile que dans la Résistance ?"Il est jeune professeur au collège de Dieppe. Il a, parmi ses élèves, Pierre Billard futur célèbre journaliste, l'un des créateurs de l'hebdomadaire Le Point décédé il y a quelques années qui dans un des ses derniers livres adresse un hommage très appuyé à Valentin Feldman. Je l'ai interrogé deux fois. Il en ressortait que Valentin Feldman se distinguait par une personnalité exceptionnelle qui a marqué les esprits. Dès l'automne 1940, il y a un triple Valentin Feldman. Celui qui donne des cours de philo, celui qui est poursuivi par le statut des juifs et enfin celui de l'action clandestine. Il assure des missions de liaison avec Rouen et surtout Paris. Il est probablement lié avec l'équipe de la Pensée clandestine (une grande revue communiste animée par le philosophe Georges Politzer) qui sera diffusée à Dieppe par Marie-Thérèse Fainstein et Denise Meunier notamment. A Dieppe, il y a des résistants actifs comme les époux Lemaire , Marcel Kérélo ou Marie-Thérèse Fainstein. On confie à Feldman la responsabilité d'assurer la feuille clandestine communiste résistante sur Dieppe (L'Avenir Normand)."
Comment cela se termine-t-il ?
"Il est chassé de l'enseignement et part à Luneray où il est autorisé à enseigner dans un cours privé, ce que le statut des juifs n'interdit pas. Le 2 décembre 1941, il part en clandestinité à Rouen où il rejoint une grande résistante rouennais Madeleine Odru, l'une des rares femmes chefs de réseaux en France. Ils organisent ensemble le réseau. Mais, lui n'est pas opérationnel et ça le frustre beaucoup. Il est à la propagande et à l'encadrement mais voudrait être actif sur le terrain. Il participe à un attentat sur une vitrine d'un photographe qui exposait des photos de soldats allemands. Début février 1942, il participe au sabotage d'une usine de Déville-lès-Rouen. Il est arrêté. Il est incarcéré à la prison de Bonne-Nouvelle. Il est torturé. Il est transféré en juin, à Paris, pour être jugé par le tribunal nazi. Il est condamné à mort. Il refuse de signer sa grâce. Il sait très bien que c'est une parodie de justice. Il va vivre encore une dizaine de jours. Il met ses affaires en ordre et il meurt très courageusement. Ses fameux mots sont relatés par l'abbé allemand Franz Stock. C'est quelqu'un qui a accompagné les résistants condamnés à mort dans les derniers instants au Mont Valérien. Il raconte qu'il a eu dans les derniers jours des entretiens extrêmement riches avec Valentin Feldman. Stock est admirable parce qu'il est dans l'organisation occupante. Mais il se démarque par son humanité. C'est lui qui a rapporté ses mots."
Le maire de Dieppe a récemment eu cette formule : "Valentin Feldman est un peu notre Missak Manouchian ». Qu'est-ce qui les relie tous les deux ?"C'est tout à fait juste. Si on regarde la chronologie, c'est plutôt Manouchian qui est le Feldman parisien parce que Feldman meurt deux ans plus tôt. Les deux ont beaucoup de points communs. Ils sont tous les deux des immigrés. Ils ont tous les deux bénéficié de la méritocratie républicaine et ont énormément rendu à la France, jusqu'à se sacrifier pour leur patrie d'adoption. Ce sont deux résistants communistes qui ont été capables de lier des valeurs universelles, internationalistes, celles de la défense de la République. Ils se sont exposés, n'ont pas eu peur du danger et accepté l'idée et la réalité du sacrifice ultime. C'est particulièrement bouleversant."
> La conférence sur Valentin Feldman et Missak Manouchian, animée à deux voix par Pierre-Frédéric Charpentier et Pierre Ouzoulias, a lieu lundi 27 mai à 18 heures à l'hôtel de ville. Entrée libre. Ce rendez-vous sera précédé d'une commémoration officielle à 17h30 au Monument aux Morts de Dieppe.
> Pierre-Frédéric Charpentier est également l'auteur de l'ouvrage « Imbéciles, c’est pour vous que je meurs » - Valentin Feldman (1909-1942), publié aux éditions du CNRS et qu'il dédicacera à l'issue de la conférence. Il est disponible à l'emprunt au sein du réseau des bibliothèques de la Ville.
© Photo : DR
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Actualité 23/04/24
Chantier de restauration du pont Colbert : le point sur les travaux #1
Ports de Normandie, gestionnaire des infrastructures portuaires et maître d'ouvrage sur les travaux de restauration du pont Colbert a publié, lundi 22 avril 2024, un communiqué de presse sur l'avancée desdits travaux.
L’installation de l’échafaudage entourant intégralement le pont a débuté (70 % de réalisés à ce jour), ainsi que le ''bâchage''. Cette opération devrait se poursuivre jusqu’à mi-mai. Ports de Normandie rappelle que le cocon qui enveloppera le pont devra empêcher toute émanation de plomb et d’amiante. Il sera composé de 2 couches dont une thermo-bâche. L’étanchéité de cette dernière sera vérifiée par l’intermédiaire d’un test de fumée mi-mai. Enfin, une unité de décontamination sera installée afin de permettre aux équipes habilitées d’entrer et sortir du cocon.
Le décapage du pont, qui se fera en 3 tranches successives, pourra alors débuter. Jusqu’à début juin, les équipes procèderont de la manière suivante :
- Lavage ;
- Décapage ;
- Dépôt d’une couche d’apprêt, afin d’éviter que la fleur de rouille ne se développe pendant la phase suivante de restauration.
En ce qui concerne la zone de rotation, les équipes de Ports de Normandie ont procédé au retrait du fumier qui isole les canalisations du pont. Eiffage a ensuite déposé les organes de manoeuvre : presses de levage et de calage, vérins, chaîne et couronne. Les réseaux d’alimentation en eau et en électricité ont également été consignés. Ces opérations terminées, les travaux de maçonneries ont débuté le 18 mars 2024 : dépôt de tout le pavage, stockage des pavés qui seront réutilisés, dépose du rail circulaire et retrait de l’enduit du mur circulaire. Cette dernière opération a fait apparaître de nombreuses zones à reprendre. À la demande de la Direction Régionale aux Affaires Culturelles (DRAC), les briques constituant ce mur seront laissées apparentes. Une expertise est en cours afin de savoir si les pierres sur lesquelles repose le rail de rotation peuvent être laissées en l’état ou si elles doivent faire l’objet d’une intervention (retournement ou remplacement).
Quant au mécanisme, les presses de basculement et de rotation, après avoir été démontées, sont en cours d’expertise afin d’estimer ce qui doit ou non être remplacé ou réparé. La presse de pivot devrait être démontée dans le courant de la semaine prochaine. Pour mémoire, l’ensemble des travaux de rénovation du mécanisme et des zones de retrait et de manoeuvre du pont devrait durer 8 mois.
Les pompes, la tuyauterie et le réservoir d’eau de la salle des machines ont été retirés. Cela sera également le cas, tout prochainement, de l’accumulateur. Ils seront rénovés ou revalorisés dans des filières de recyclage agréées. Pour mémoire, le bâtiment de la salle des machines est classé aux Monuments Historiques, mais une partie du mécanisme, ajouté ultérieurement, ne l’est pas.
La cabine de manœuvre, elle, devrait être déposée la semaine prochaine et partir en réparation chez un serrurier, les Ateliers Chauvet, situés près de Poitiers. Quant aux organes de commande, c’est la société Hyd&o qui les restaurera.
Lire l'intégralité du communiqué de presse de Ports de Normandie
Photo : Erwan Lesné – Ville de Dieppe
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Actualité 12/04/24
Exposition #MontPontColbert : l'œil des habitants sur leur pont tournant
En anticipation de la disparition momentanée — minimum quinze mois — de l'historique pont Colbert dans le paysage urbain, le service Communication avait lancé, de début novembre à début février, un concours photo #MonPontColbert sur le réseau social Instagram. Les “followers" du compte “Ville de Dieppe” (13,2 K d'abonnés) étaient invités à poser leur œil sur “leur” pont tournant. En trois mois de “compétition”, 54 personnes ont ainsi participé et, au total, 201 clichés ont été recensés.
Quinze clichés, et autant d'auteurs, ont ensuite été sélectionnés par un jury. Le pont classé monument historique en 2020 y est représenté sous diverses sensibilités, températures, angles, plans, lumières... Avec ou sans filtre. Mais toujours avec passion et talent.
L'exposition participative (sur panneaux Dibond) est à découvrir du 11 au 29 avril, à l'hôtel de ville. Les 15 photos lauréates seront aussi, dans les prochains jours, repartagées sur le compte Instagram de la Ville.© Photo : compte Instagram strange_Jazzy
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Actualité 03/04/24
Les Sports en mode JO
Début avril, la Semaine olympique et paralympique lance une année de temps forts municipaux en lien avec les Jeux olympiques de Paris 2024.
Célébrer les Jeux et les athlètes du monde entier. C’est l’objectif de la 8e édition de la Semaine olympique et paralympique, événement national qui se déroule du 2 au 6 avril. À Dieppe, labellisée Terre de Jeux Paris 2024 depuis 2019, un programme d’animations a été imaginé par le service municipal des Sports. Les activités du mardi 2 avril se veulent intergénérationnelles avec du mouvement corporel pour les tout-petits à la crèche Dolto le matin, du multisport à destination d’un public senior au gymnase Delaune l’après-midi, puis d’un public enfant (P’tits sportifs), en soirée, dans les salles d’évolution des écoles Broglie et Blainville.
Le mercredi 3 avril, la Maison des sports ouvre ses portes à l’École municipale des sports (enfants de 4 à 11 ans) le matin, puis aux jeunes des centres de loisirs l’après-midi avec au menu la pratique de diverses disciplines. Le jeudi 4 avril est la journée des rassemblements scolaires, toujours à la Maison des sports. Le temps des P’tits sportifs a lieu, lui, à l’école Vauquelin. Enfin, une grande marche ouverte à tous est organisée le vendredi 5 avril.
La flamme olympique à Dieppe le 5 juillet
D’autres événementiels municipaux vont ponctuer l’année olympique : un grand défilé de délégations à l’occa- sion du Carnaval (15 mai) ; la Journée Sport et handicap (16 mai) ; l’exposition participative de photos du sport dieppois à l’hôtel de ville (12 juin au 26 juillet) ; la Journée olympique (19 juin) ; le passage de la flamme olympique (5 juillet) ; le Village des sports (8 au 26 juillet)...
• Télécharger le programme Dieppe, grand terrain de sport (rendez-vous sportifs de 2024 en lien avec l'année olympique)
© Photo Semaine olympique et paralympique 2023 : Erwan Lesné - Ville de Dieppe
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Actualité 03/04/24
Du 6 au 12 avril, “Tous en bleu pour l’autisme” !
Après une première édition sur le thème du Handicap invisible et une seconde sur les Parcours de vie des personnes ayant un TSA, Tous en bleu pour l'autisme revient avec Les particularités sensorielles, du 6 au 12 avril. Cette édition est parrainée par Laurent Savard, acteur humoriste, père d’un enfant TSA (Trouble du spectre autistique).
Parmi les nombreuses animations proposées par l'APEI de la région dieppoise et ses partenaires, dont la Ville de Dieppe, notez :
• les Arcades de la poissonnerie en bleu
• une exposition photos sur les particularités sensorielles, réalisée par Audrey Gendrin, sera visible tout le mois sur le quai Henri-IV
• une journée de sensibilisation à l’autisme sera organisée à la salle des congrès, le samedi 6 avril, de 10 heures à 17 heures. Gratuit. Sur place, le public aura la possibilité de profiter de balades en Alpine (tarif : 5 €, gratuit pour les moins de 16 ans)
• le même jour, des ateliers sensoriels seront proposés à l’Atelier 13 avec, notamment, du yoga et de l’éveil musical. Sur réservation à marie.declercq@apeidieppe.fr. Gratuit.
• l’artiste Marti Folio et l’association Deep Lumens proposent de suivre un parcours sensoriel, le mercredi 10 avril, à la salle Levasseur. Gratuit.
• Edi Formation, structure proposant des formations sur les troubles du spectre de l’autisme (TSA), présentera une conférence intitulée “TSA, particularités sensorielles et alimentation”, le vendredi 12 avril, à 13h30, au Casino. Gratuit.
•comédien et metteur en scène, Laurent Savard présentera le spectacle Le bal des pompiers, le vendredi 12 avril, à 20h30, au Casino. Depuis treize ans, il joue, partout en France, cette oeuvre qui raconte l’histoire de son fils diagnostiqué autiste. Réservation : www.apeidieppe.fr/tousenbleu. Tarif : 10 €. Renseignements : 02 32 90 55 00 et association@apeidieppe.fr.
© Visuel : APEI
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Actualité 02/04/24
Choisissez un nom de sportive pour l’allée verte
Dans le cadre d’une démarche participative, la Ville de Dieppe vous propose dès à présent de voter pour dénommer l’allée verte réalisée dans le secteur Bel-Air, à Neuville-lès-Dieppe, dans le cadre de l'Anru2.
Parmi la liste d’athlètes pré-sélectionnées par les acteurs Neuvillais (collège Albert-Camus, école Paul-Langevin, Maison des jeunes - Maison pour tous, Centre social Oxygène, Résidences autonomie Beau Soleil et Beau Site), cinq sportives ont répondu favorablement :
- Eugénie Le Sommer (football)
- Sandrine Gruda (basket)
- Marie-Amélie Le Fur (para athlétisme)
- Cléopatre Darleux (handball)
- Laëtitia Guapo (basket 3 par 3)
Les lieux où voter :
- Maison du projet (Drakkar)
- Mairie annexe de Neuville
- Hôtel de ville
- Agence postale communale de Janval
- Maison de quartier Camille-Claudel
- Pôle La Fontaine (Les Bruyères)
- Maison des sports
- Complexe Auguste-Delaune
- Centre aquatique Les Bains
Il est également possible de voter en ligne, via ce lien.
Visuels : Agence Topo
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Actualité 01/03/24
15/17 mars : le vélo bien en selle
Au printemps, changeons de braquet, pédalons ! La Mission Développement durable de la Ville organise la première Fête du vélo, du 15 au 17 mars.
Au programme : balades à vélo (familiales ou sportives), Bourse à vélo (achat/vente de vélos d'occasion, atelier relooking et réparation de vélo…), Forum du vélo (voies cyclables touristiques, sport santé, prévention et sécurité, enjeux écologiques et économiques, animations diverses…), rencontres avec des partenaires, séances aquabike aux Bains…
• Télécharger/consulter le programme de la Fête du Vélo 2024 (PDF)
© Visuel : Ludwig Malbranque
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Actualité 28/02/24
Mars au féminin : les sportives gagnent du terrain
Dans le cadre de Terre de Jeux 2024, la Ville propose des rendez-vous festifs et rassembleurs, autour du sport et des valeurs qu’il véhicule. Dieppe, terre de progrès, terre de résistance, s’inscrit également dans les combats pour l’égalité femme/homme. Mars au féminin revient cette année pour proposer un mois
de sensibilisation et d’information sur les droits des femmes.Le sport est un domaine où de nombreuses inégalités persistent. Malgré des dispositifs et des évolutions encourageantes, il reste encore un long chemin à parcourir pour que toutes les filles et toutes les femmes puissent avoir accès librement à tous les sports, sans discrimination. À travers des films, conférences, forum ou démonstrations, chacun, chacune prendra conscience de la place que doivent occuper les femmes dans le sport, comme dans le reste de la société. Championnes ou dirigeantes de clubs, boxeuses ou footballeuses, chacune apportera un témoignage de ce que le sport permet, en termes d’épanouissement et de performance.
Au programme :
- exposition Championnes ! (9 portrats de sporrives dieppoises) ;
- conférence Les femmes et le sport (8 mars) ;
- forum d'infos et de démonstrations Le sport se conjugue au féminin (9 mars) ;
- conférence Regards croisés et concerts (9 mars) ;
- visite de Dieppe Ville d'art et d'historie Sport féminin à Dieppe au tournant du siècle (15 mars) ;
- film Marinette (vie de la footballeuse Marinette Pichon, 16 mars) ;
- table tonde avec l'ex-Ministre des sports Marie-George Buffet (lire son interview) et la journaliste Mejdaline Mhiri sur la place des femmes dans le sport (18 mars) ;
- documentaire Les Incorrectes sur la vie de la militante sportive Alice Milliat (21 mars)
• Télécharger/consulter le programme complet de Mars au féminin 2024 (PDF)
© Visuel : Samuel Gros
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Actualité 28/02/24
13 et 14 mars : le logement, cause commune
Se loger bien, se loger mieux, est devenu un enjeu très fort sur notre territoire et sur notre bassin de vie. Ainsi la Ville de Dieppe, l'Agglo Dieppe-Maritime et leurs partenaires organisent jeudi 14 mars 2024 au théâtre du Casino de Dieppe les premières Assises du logement du territoire.
L'objectif de ce moment, ouvert à la population et largement préparé avec les habitants, sur les marchés et lors d’ateliers, est de traiter de cette question majeure pour formuler des propositions concrètes en direction des pouvoirs publics. Vous trouverez à cet effet le programme détaillé ci-joint et le lien d'inscription ci-après : https://www.eventbrite.fr/e/billets-assises-du-logement-818844194027 (réponse souhaitée avant le 7 mars).
Ces Assises seront précédées d'une réunion publique dans les salons de l’hôtel de ville la veille, mercredi 13 mars à 18h (sans inscription préalable).
Au-delà de ces différents temps, afin de faire le constat le plus précis possible de la réalité du logement ici, un questionnaire anonyme disponible sous le lien ci-après est également mis à disposition : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd8hMCARVgIj1lGFIlgO2c6KiaOdh0P8dcwQiWbfUbx4c9yqw/viewform?usp=sf_link. Sa complétude par le plus grand nombre permettra d'enrichir la démarche conduite.
Enfin, une carte pétition visant à interpeller le Président de la République sur l'urgence du logement est mise à disposition depuis mercredi dernier à l'hôtel de ville, à Neuville-lès-Dieppe en mairie annexe, à la mairie de proximité du Val Druel (Camille Claudel), à l'agence postale communale de janval, au pôle la fontaine aux Bruyères et enfin à la maison des associations dans le centre-ville.
© Visuel : Samuel Gros
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Actualité 26/02/24
Sports : des bénévoles à toute épreuve
Dans l’ombre, de nombreux bénévoles gravitent autour des terrains. Reportage dans les clubs auprès de celles et ceux qui font vivre le sport.
Des personnes investies, qui consacrent, en grande partie, leur temps libre à leur club. Celui pour lequel ils ont parfois joué, qu’ils ont supporté, dans lequel évoluent leurs enfants... Celui pour lequel ils attendent avec impatience les soirs d’entraînements, les jours de compétition. Elles et ils sont les chevilles ouvrières du monde sportif, indispensables à la vie des associations.
« Que seraient nos associations, nos clubs, sans les bénévoles toutes ces petites mains invisibles ?, résumait le maire Nicolas Langlois, lors de la réception organisée le 3 février dernier dans les salons de l’hôtel de ville en l’honneur de bénévoles dieppois. Celles qui tiennent la buvette, la table de marque, celles qui emmènent les enfants en déplacement pour les matchs, celles qui font les courses, qui passent les appels. » Distingué à cette occasion de la médaille d’or de la Jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, André Lavenu, du Club des cyclotouristes dieppois, soulignait bien l’enjeu : « Dans un club, une association, il faut aussi s’investir, participer à la vie du club. Je me situe dans cette idée que défendait Pierre de Coubertin : l’important, c’est de participer. » Ce que Jean-Claude Magère, un autre bénévole mis à l’honneur pour son investissement au sein du Duc Tennis de table, formulait autrement : « Je suis dans les associations depuis longtemps. On a toujours, dans notre famille, une veine associative. J’ai coutume de dire que les bénévoles sont une espèce en voie de disparition. Je vois avec espoir, en vieillissant, que d’autres derrière nous arrivent… »
Bénévole des cuisines aux vestiaires, sans eux pas de volontaires pour les compétitions du week-end, pas de chauffeurs pour les déplacements régionaux ou plus lointains. Distinguée lors de la réception des bénévoles, Carine Martin (en photo) fait part de sa fierté de passer un très court moment de l’ombre à la lumière : « Cela donne de la valeur à mon investissement personnel, mais surtout cela valorise tous mes collègues bénévoles à mes côtés au sein du club. » Notons que le Covid a eu un effet sur l’engagement et les activités collectives plus marqué chez les moins de 35 ans : un Français sur quatre déclare participer à plus d’activités de groupe qu’avant la crise sanitaire, un taux qui monte à 49% chez les moins de 35 ans.
« Je donne ce que j’ai reçu ! »
« Chaque week-end, vous ne les voyez peut-être pas toujours sur les terrains, dans les salles de sport, les gymnases dieppois lors des compétitions, mais pourtant ils sont là, jeunes ou moins jeunes, souligne Luc Desmarets. Présents parfois très tôt, et jusque très tard, les bénévoles, pierre angulaire des clubs sportifs sont indispensables au bon fonctionnement de nos associations. Je suis bien placé pour mesurer à quel point l'investissement sportif, et plus largement associatif, des bénévoles s'avère important dans la vie des clubs et dans le rayonnement de la ville. Il y aura toujours besoin de parents, d'éducateurs, d'anciens athlètes, pour faire vivre et tourner les clubs, pour préparer les sandwichs, les tenues, pour arbitrer aussi les diverses compétitions » Et l'adjoint au Maire en charge des Sports d'ajouter : « Certains m’ont dit je donne ce que j’ai reçu. Ces passionnés méritent notre respect et nos encouragements. Souligner cela, valoriser cet engagement, je crois que ce n'est pas inutile, pour ne pas s'arrêter à l'aspect sportif d'un tournoi mais pour en rappeler la complexité en termes d'organisation. Et remercier nos bénévoles de cet engagement au quotidien, c'est essentiel ! »
« Sans elle, pas de volley ! »
Sylvie Leborgne et le volley, c’est une très longue passion… « Sans elle, pas de volley ! », entend-on régulièrement du côté du gymnase KLéon-Rogé où le Duc Volley a ses quartiers. « J’appréhende le jour où je devrais m’arrêter tant cette activité de bénévole me tient à cœur, avoue sans fard la dynamique septuagénaire. M’occuper des jeunes, transmettre cette passion pour qu’ensuite elle se perpétue, faire progresser les jeunes, contribuer à faire naître cette passion du volley, recroiser ces jeunes, c’est extrêmement gratifiant. » Avec les années, son enthousiasme ne s’est jamais démenti. « Je ne me sens pas vieillir. Le bénévolat favorise la vie sociale. Cela permet de rester dans la vie active et d’évoluer avec son temps », indique celle qui s’est mise à l’appli Teampulse pour convoquer les équipes de jeunes. Le message est clair : « tant que ma santé me le permettra, je compte bien continuer ». Rendez-vous est pris pour les entrainements nocturnes du jeudi, du vendredi, les compets du samedi et du dimanche. « Ma fille disait récemment à quelqu’un qui demandait de mes nouvelles : il faut prendre rendez-vous avec elle pour la voir ! »
Un enjeu de formation
Le bénévolat conduit chacun à maîtriser des tâches parfois complexes. « Etre président, trésorier ou membre d’une instance dirigeante dans une association relève de l’engagement citoyen. Et pourtant, ce n’est pas si simple !, confirme Chrystelle Vereecke, directrice de l’association Oxygène. Rédaction et application des statuts, gestion des ressources nécessaires au projet associatif, suivi financier, recherche et structuration de partenariats…sont autant de tâches qui incombent à ces bénévoles plein de bonne volonté mais parfois surpris.es par la diversité et la complexité des sujets. »
En partenariat avec la Maison des associations de Dieppe, Oxygène propose des demi-journées mêlant partage d’expériences entre responsables associatifs d’horizons différents et apports théoriques. « Chaque temps de sensibilisation ou de formation est l’occasion de partager les bonnes pratiques qui dynamisent les projets mais aussi et surtout font vivre la participation interne, en écho au rôle essentiel des associations, véritables corps intermédiaires de notre démocratie », se félicite-t-elle.
Sur le territoire dieppois, plusieurs structures sont par exemple labellisées Guid’Asso (ex-Centre de ressources à la vie associative et points d’appui à la vie associative) et apportent conseil et soutien, par téléphone ou lors de rendez-vous individuels. Par ce nouveau label porté par le Service départemental à la Jeunesse, à l'Engagement et aux Sports (SDJES) des structures comme les associations Oxygène, la Maison Jacques-Prévert ou le centre social Mosaïque se voient confier la mission d’accompagner et soutenir le tissu associatif local. Souvent les sollicitations recensées mettent en exergue le besoin de sensibilisation sur des thématiques précises, c’est alors l’occasion pour l’association Oxygène, en partenariat avec la Maison des associations de Dieppe, de proposer des demi-journées mêlant partage d’expériences entre responsables associatifs d’horizons différents et apports théoriques.
« La petite comptabilité des associations » et « faire vivre un projet associatif » sont deux des thématiques annuellement proposées sur le territoire. Parmi les outils à la disposition des bénévoles figure depuis 2023 en Seine-Maritime le Certificat de formation à la gestion de la vie associative (CFGA). Composée de 5 modules, cette formation aborde tous les sujets utiles à la gestion d’une association : projet associatif et enjeux, finances, ressources humaines, responsabilité et communication. Les bénévoles obtiennent le certificat au terme de la seconde partie : une mise en œuvre pratique de 20 heures au sein de leur association.
« Pour ces bénévoles investis, être formés permet avant tout de gagner en efficacité et donc de disposer de davantage de temps pour pratiquer et partager leur passion avec les adhérents, principal moteur de l’engagement, indique Chrystelle Vereecke. Mais être formés ouvre aussi des perspectives de développement plus serein pour l’association, renforce sa légitimité auprès de la collectivité et contribue largement à la pérennisation de l’activité. Il s’agit là de mettre en place un cercle vertueux qui facilitera l’arrivée de nouveaux bénévoles dirigeants lorsque la relève sera nécessaire. Faire vivre une association demande quelques connaissances, un bon sens pratique mais aussi une profonde conviction dans la capacité du collectif à réaliser des choses qui dépassent les individus. C’est pourquoi chaque temps de sensibilisation ou de formation est l’occasion de partager les bonnes pratiques qui dynamisent les projets mais aussi et surtout qui font vivre la participation interne, en écho au rôle essentiel que jouent les associations, véritables corps intermédiaires de notre démocratie ».
Au bord des terrains, dans les bureaux des stades ou des gymnases, derrière les comptoirs des club-houses, sur la route..., les indispensables bénévoles dieppois sont, plus que jamais, au service du sport.
© Photo : Pascal Diologent
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Actualité 23/02/24
Le festival du film canadien de Dieppe bientôt sur les écrans
La 11ème édition du festival du film canadien de Dieppe se déroule du jeudi 21 au dimanche 24 mars au cinéma Megarama. Tarifs, programmation, tables rondes, jury… Découvrez le programme de l'unique festival du genre en Europe.
Une programmation enrichie
Nouveauté cette année, la programmation s'étoffe considérablement. 33 films ont été sélectionnés par le programmateur du festival Guillaume Dauzou (dont le portrait est à lire dans l'édition de mars de Journal de Bord) : 15 court-métrages et 18 longs-métrages dont 13 en avant première. Les œuvres retenues sont représentatives des provinces canadiennes et embrassent un large panel de genres cinématographiques. Au total, 27 séances seront programmées, les courts-métrages étant projetés systématiquement avant les longs-métrages, pour permettre aux "marathoniens" du festival d'assister à un maximum de séances.
Des invités canadiens
Une quinzaine de comédiens, réalisateurs et producteurs, ayant tous contribué à des films sélectionnés, feront le déplacement depuis le Canada pour assister au festival et participer à des échanges et à des débats avec le public.
Rencontres et tables rondes
Michel Bussi animera une masterclass qui sera suivie d'une séance de dédicaces vendredi 22 mars à 18h30. Par ailleurs, deux tables rondes sont organisées en présence des invités du festival sur les thématiques "enfants et adolescents au cinéma : grandir devant la caméra", samedi 23 mars à 14 heures puis "festivals de films : comment ça marche ?", samedi 23 mars à 16 heures.
Un jury de haut niveau et éclectique
Si le nom du président de jury sera annoncé prochainement, on connaît déjà la composition du jury qui sera chargé de récompenser les sept films sélectionnés pour la compétition officielle. Le romancier normand Michel Bussi, l'actrice Agnès Soral (Tchao Pantin, Hommes, femmes, mode d'emploi ou encore Les Brigades du tigre), l'actrice dieppoise Mathilde Lebrequier (Le Pain du diable, Falco), l'actrice et metteuse en scène Josée Devron (Kaamelott), le réalisateur Guillaume Maidatchvsky (Aïlo, Mon chat et moi, Rroû), l'acteur, scénariste, réalisateur et producteur canadien Martin Villeneuve (Les 12 travaux d'Imelda primé en 2023 à Dieppe) et le YouTubeur dieppois Yann Solo (12 Parsecs) défileront sur le tapis rouge du festival.
Des tarifs attractifs
Avec la reprise du cinéma par Megarama, la politique tarifaire a évolué. Elle permet de rendre encore plus accessibles les séances avec un pass à 6 € permettant une réduction de 50 % sur chaque entrée. Avec ce pass, le coût d'une séance sera de 3 €.
Libération de Dieppe
A l'occasion du 80ème anniversaire de la Libération de Dieppe qui sera célébrée le 1er septembre prochain, le Festival du film canadien, qui contribue à entretenir les liens entre Dieppe et le Canada, propose deux documentaires : Dieppe ou la générale et Un matin calme. Les films seront projetés le dimanche 24 mars à 16h30 et seront suivis d'une conférence en présence d'historiens qui reviendront notamment sur le raid du 19 août 1942 sur Dieppe.
Village canadien
Animé par plusieurs exposants (Domaine des Roches, association Je me souviens, France Québec, Apei de la Région dieppoise…), un village canadien constitué de chalets sera installé durant toute la durée du festival sur le parvis Rosa-Leroy, à l'entrée du cinéma.
- Toutes les infos sur festival-canadien-dieppe.fr
- Télécharger / consulter le programme (PDF)
© Visuel : Ludwig Malbranque
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Actualité 12/02/24
Plan local d’urbanisme : les habitants consultés
Les Dieppois sont concertés sur le Plan local d'urbanisme via une réunion publique le 19 février à 18 heures à l’hôtel de ville et une exposition dans le hall de la mairie de dieppe du 19 février au 4 mars.
Qu’est-ce que le PLU ?
Le Plan local d’urbanisme établit les principales règles applicables à l’utilisation du sol, notamment en matière de permis de construire, pour une commune ou un groupement de communes. Le conseil municipal de Dieppe a approuvé son PLU en 2014 et l’a modifié à plusieurs reprises.
Pourquoi le réviser?
Depuis l’approbation du PLU en 2014, les projets sur la ville ont évolué. Son application ne permet plus aujourd’hui de les mener à leur terme. Il est donc nécessaire de faire évoluer le document d’urbanisme. En juillet 2022, la révision globale du PLU a été confiée par la Ville à un groupement de cabinets d’études.
Que comprend cette révision ?
Après avoir réalisé un diagnostic territorial et environnemental, les cabinets d’études ont travaillé à la mise à jour du Projet d’aménagement et de développement durable (PADD), qui détermine les grandes orientations d’aménagement du territoire pour les années à venir. Ce PADD a fixé 4 axes principaux : faire de Dieppe pôle d’équilibre et de développement durable du territoire régional ; valoriser le patrimoine urbain, paysager et environnemental ; constituer un pôle d’habitat équilibré à l’échelle de l’Agglo; favoriser le rayonnement des équipements desservis par une infrastructure multimodale. Le PADD fera l'objet d'un débat le 28 mars prochain au conseil municipal.
© Photo : Euclyd
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Actualité 06/02/24
L'explorateur Jean Malaurie nous a quittés
L'écrivain et explorateur Jean Malaurie est décédé à 101 ans, le lundi 5 février 2024.
Nicolas Langlois, maire de Dieppe, rend hommage à l’ethnologue et spécialiste du grand nord, installé depuis longtemps dans la cité d'Ango : « Jean Malaurie nous a quittés. Michel Le Bris, dans son Dictionnaire amoureux des explorateurs, l’avait très justement désigné comme le “dernier des géants”. Il avait choisi de vivre à Dieppe, lui, le premier homme à atteindre, en 1951, le Pôle Nord magnétique en traîneaux à chien, l’homme de plus de 30 expéditions du Groenland à la Sibérie, le fondateur du Centre d’études arctiques au CNRS et à l’EHESS à Paris (1957). L’homme aussi qui défendit la première réunion internationale des Inuits et des États circumpolaires en 1969, sous la présidence de René Cassin, prix Nobel de la paix et le président-fondateur de l’Académie Polaire d’État de Saint Pétersbourg. Et Dieppe l’avait choisi quand Roland Leroy avait proposé à Christian Cuvilliez alors maire d’organiser un festival du film arctique dont Jean Malaurie fut l’invité d’honneur, quand, en 2019, il fut aussi l’invité d’honneur du Festival du film canadien. Nous avions plaisir à converser avec lui comme lorsqu’il a fêté, dernièrement, son 100e anniversaire. Jean Malaurie était un “scientifique poète”, qui invitait sans cesse à sortir des couloirs parfois trop étroits de la connaissance scientifique. Avec Jean-Jacques Rousseau dont il était un lecteur fidèle, il savait qu’on ne commence pas par raisonner mais par sentir. Il nous a permis d’écouter d’autres voix avec la célèbre collection, “Terre humaine”, qu’il a fondée en 1955. Une collection qui fait référence et qui a construit, au fil des éditions, une communauté d’auteurs qui tous, à leur manière, témoignent d’un morceau de l’histoire humaine, quelque part sur la planète. »
Et le Maire de Dieppe de poursuivre : «La citation de Jean Giono qui accompagne son livre, Les derniers rois de Thulé, résume bien ce qu’était Jean Malaurie : “On ne peut, je crois, rien connaître par la simple science ; c’est un instrument trop exact et trop dur. Le monde a mille tendresses dans lesquelles il faut se plier… Seul le marin connaît l’archipel.” Ambassadeur de bonne volonté de l’Arctique à l’Unesco, fort de ses voyages et de ses recherches, il transmettait sans relâche la parole et la sagesse des Inuits, une parole “sacrée”, nourrie d’un rapport au monde que nous avons perdu, et que nous devrions rechercher insistait-il. Son travail, son engagement de vie même nous invitait à réfléchir à notre place au sein du monde, qui n’est pas seulement celui des êtres vivants. Les pierres aussi ont une âme. Les Inuits le lui avaient appris. Comprendre aussi que nos sociétés tirent leur sève des “éléments fondamentaux comme la terre et l’eau, la faune et la flore, la fine beauté des fleurs, les subtiles géométries des pétales, les sols polygonaux, le son et les couleurs”. Une synthèse qui aboutit à nous rappeler à l’ordre pour la défense des peuples autochtones, ou plutôt des “peuples racines”, expression qu’il trouvait plus juste.»
Enfin, Jean Malaurie était « un veilleur, un relais des sentinelles de la planète que sont les Inuits dont l’environnement est menacé par le réchauffement climatique et les prospections pétrolières et gazières. “Puisse le citoyen inuit voir le rêve des explorateurs se réaliser : un pôle non pollué où régnera un humanisme écologique. Il est urgent de (...) prendre enfin humblement conscience que leur volonté obstinée de respecter cette nature ne fait pas d’eux des retardataires, mais des précurseurs.” À celui qui lançait aux jeunes lecteurs le conseil : “Lis tout ! Voyage en tout milieu les yeux ouverts, l’oreille attentive, dans le monde entier. Tu vas enfin découvrir l’homme, cet inconnu”, nous souhaitons aujourd’hui, avec émotion, rendre hommage. À son fils Guillaume, nous adressons nos plus sincères et émues condoléances et toute notre amitié ».
© Photo : Erwan Lesné (2019) - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 06/02/24
Gilles Perret : « La simplicité des Dieppois me touche »
Le 3 février, le réalisateur de documentaires Gilles Perret est venu, en compagnie de sa compagne scénariste Marion Richoux, présenter son dernier film La Ferme des Bertrand aux cinémas Mégarama. Entretien avec le cinéaste qui aborde principalement des thèmes socio-économiques (Ma mondialisation ; De mémoire d'ouvriers ; J'veux du soleil ; Debout les femmes ! ; Reprise en main…) ou socio-historiques (Walter, retour en résistance ; Les jours heureux ; La Sociale…).
• La Ferme des Bertrand est la suite du premier documentaire que vous aviez sorti il y a vingt-cinq ans…
Oui, j'ai fait Trois frères pour une vie — NDLR : film sorti en 1999 présentant une exploitation laitière savoyarde — à une époque où je ne connaissais rien au documentaire. J'avais juste posé ma caméra et laissé la parole aux gens. Un film à hauteur d'hommes. C'est une fois qu'il a été fait qu'on m'a dit que c'était un documentaire ! Il a été primé dans des petits festivals, il a eu un gros succès dans les petites salles. On s'était dit avec Marion — Marion Richoux, sa compagne, scénariste — qu'on allait le ressortir au cinéma. Et puis, quand on a su qu'Hélène — qui avait récupéré la ferme en 1997 — partait en retraite et qu'elle laissait la ferme à son fils qui allait robotiser l'exploitation, on a sauté sur l'occasion pour reposer les caméras là-bas. Avec La Ferme des Bertrand, on emmène les spectateurs dans une saga familiale de cinquante ans (NDLR : avant Trois frères pour une vie, un reportage sur la ferme de Marcel Trillat était paru en 1972). C'est la ferme de mes voisins, elle est située à 80 mètres de ma résidence de toujours, dans un hameau de Haute-Savoie !
• Votre film sort en pleine colère des agriculteurs ?
Cette coïncidence est dingue, c'était pas calculée ! (rires) On s'est glissés dans la brèche de l'actualité et ça a donné une visibilité à notre film. Mais le documentaire détonne par rapport à la crise agricole. Car on a filmé une ferme dans laquelle tout ça se passe bien. Elle est dans une zone d'Appellation d'origine protégée (NDLR : AOP) Reblochon où il y a beaucoup de règles et de protectionnisme, à l'encontre du libre-échange. C'est un contre-exemple de ce que demandent les agriculteurs. Je comprends leurs revendications, ils sont tellement pris à la gorge…
• Le monde du travail vous inspire ?
Oui, tous mes films interrogent le sens du travail, ce qu'il représente dans notre vie, mais aussi le mal-travail. Les classes populaires sont sous-représentées au cinéma et à la télé. J'essaye de les rendre visibles. Mon boulot est de restituer les histoires de ces gens. Le but est que ces gens des classes populaires qu'on filme ou qui se reconnaissent dans ces histoires viennent voir mes films ! On ne souffre pas de médiatisation dans la presse cinématographique. Mais on a du mal à toucher les médias grand public alors qu'on revendique de faire un cinéma populaire…
• Avec La ferme des Bertrand, vous mettez encore en avant des travailleurs invisibles ?
Oui. Les agriculteurs souffrent de dévalorisation. Ils ont été invisibilisés, mais pas sur le même plan que les ouvriers. Dans le film, la ferme se mécanise, et comme ils sont propriétaires d'une partie de leurs terres et comme ils sont maîtres de leur outil de travail, les gains de temps obtenus sont pour eux. Contrairement aux ouvriers où la robotisation leur a fait perdre des emplois. Mon discours sur les technologies, c'est que ce n'est pas nocifs pour les travailleurs si cela permet d'alléger leurs charges !
• Vous partez régulièrement à la rencontre des publics ?
Oui, c'est agréable. Après, si on fait des films sur les gens, c'est pour les voir aussi ! J'ai une relation particulière avec le public. Je les ai habitué à être près d'eux. J'aime les contacts humains.
• Votre avez un lien fort avec Dieppe ?
Je viens souvent présenter mes films ici. Les élus dieppois ont une sincère préoccupation des problèmes sociaux. Chez moi, en Haute-Savoie, il y a zéro préoccupation sociale ! Ici, des collectivités, des responsables politiques ont des préoccupations pour le plus grand nombre. On est venus à Dieppe pour tourner Debout les femmes ! (NDLR : documentaire, sorti en 2021 et coréalisé avec le député de la Somme François Ruffin, sur la précarité d’auxiliaires de vie sociale, d'accompagnants d'élèves en situation de handicap, de femmes de ménage…) Et on n'était pas venus par hasard, car il y avait l'expérience dieppoise de la création d'un statut des aides à domicile. Ça s'est fait automatiquement, car j'essaye de faire vivre des expériences qui marchent bien et sont porteuses d'espoir. On a noué des liens avec les aides à domicile dieppoises, Delphine, Isabelle, Sabrina. Et puis, à Dieppe, on sent le côté populaire et la simplicité des gens, et c'est c'est ce qui me touche ! Il n'y a pas d'artifice, pas de posture, pas d'élitisme !
• Quels sont vos futurs projets ?
D'abord, une deuxième fiction avec Marion, après Reprise en main (NDLR : sortie en 2022) et un nouveau projet avec François Ruffin, mais je ne peux pas en dire plus pour le moment !
Propos recueillis par Pierre Leduc - © Photo : Pascal Diologent (service Communication de la Ville)
À noter que La ferme des Bertrand est visible au Mégarama les 8, 9, 12 et 13 février, avec à chaque fois deux séances l'une à 14 heures, l'autre à 16 heures.
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Actualité 05/02/24
Le pont Colbert transféré entre les 8 et 10 février
L'opération de déplacement du pont Colbert jusque sur la plateforme, située cours de Dakar, où il sera restauré durant quinze mois occasionnera des fermetures de la passerelle piétonne provisoire (du jeudi 8 février à 8h30 au samedi 10 février à 12h50) et de la passerelle Rolland (sur plusieurs étapes de l'opération) ainsi que des fermetures d'espaces au public et des déviations routières. Le planning de l'opération est susceptible d'évoluer selon les aléas climatiques ou liés à l'opération elle-même. (mis à jour : mercredi 7 février à 18h40)
Mercredi 7 février
En raison des vents importants annoncés ce vendredi 8 février, la barge sera finalement acheminée ce mercredi 7 février entre 20 heures et 22 heures. La Ville met en place une navette gratuite durant cette période pour permettre aux piétons de se rendre de part et d'autre de l'emplacement du pont. La passerelle Rolland fonctionnera à nouveau dès 22 heures. La passerelle piétonne provisoire ne devrait plus être accessible d'ici samedi 10 février vers 12h50.
Jeudi 8 février
La barge sera fixée au moyen de câbles d'amarrage et une zone d'interdiction au public sera délimitée de part et d'autre du pont pour sécuriser la zone.
Vendredi 9 février
Le pont sera transféré sur la barge entre 9h30 et 10h15. Il restera sur la barge, sans mouvement, jusqu'au lendemain matin.
Samedi 10 février
Les câbles d'amarrage seront déconnectés de la barge entre 8 heures et 10 heures.
La navigation aura lieu entre 10 heures et 13 heures. Durant une partie de cette opération (estimée à une durée d'une heure), la passerelle Rolland sera fermée aux piétons tout comme la passerelle provisoire qui rouvrira au plus tard à 12h50. La Ville met ainsi en place une navette gratuite (arrêts : résidence Marcel Paul et capitainerie, quai du Carénage) durant ces trois heures.
Le pont sera ensuite transféré du quai de Norvège jusqu'à la plateforme aménagée le long du cours de Dakar.
Une déviation routière est mise en place sur le cours de Dakar à partir de 6 heures et pour toute la journée.
Pour rappel, l'application Citykomi ®, téléchargeable gratuitement, permet de savoir en direct si les passerelles sont ouvertes ou fermées.
Le réseau de bus de Deep Mob. offre également aux piétons une alternative de déplacements. Pour connaître les tarifs et les horaires, rendez-vous sur deepmob.fr.
Retrouvez le communiqué de presse de Ports de Normandie ici.
Photo : Pascal Diologent
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Actualité 26/01/24
Marie-George Buffet : « Le patriarcat domine encore le mouvement sportif »
Coprésidente du Comité national pour renforcer l'éthique et la vie démocratique dans le sport Marie-George Buffet a remis, avec Stéphane Diagana, le rapport Pour un sport plus démocratique, plus éthique et plus protecteur à la Ministre des Sports le 7 décembre dernier. Ce rapport est le fruit d’une large consultation menée entre le début du mois d’avril et la fin du mois d’octobre 2023. Près de 170 personnes ou structures ont été entendues au cours de près de 70 entretiens. Il formule 37 recommandations et doit inspirer une loi-cadre en novembre prochain. L'ancienne députée de Seine-Saint-Denis (2002 à 2022) et ministre des Sports du gouvernement Jospin (1997-2002) tient une conférence le 18 mars à 18 heures à la Salle des congrès, dans le cadre de Mars au féminin. Interview exclusive.
• Au moment de la remise du rapport, vous avez déclaré dans la presse que le mouvement sportif français était « fragilisé ». Pourquoi ?
Le mouvement sportif français est fragilisé parce qu'il y a une crise du bénévolat qui touche le mouvement sportif comme le mouvement associatif en général. Le bénévolat est plus limité dans la durée. On a donc un vieillissement des responsables. Il est fragilisé aussi par la marchandisation qui touche un certain nombre de pratiques, puis par l'instrumentalisation politique ou géopolitique. On voit comment aujourd'hui certains événements sportifs servent à faire rayonner des États alors que souvent il n'y a pas de pratique démocratique du sport parmi leur population. Le mouvement sportif français est d'autant plus fragilisé qu'il n'a pas une vie démocratique très développée au niveau de ses fédérations nationales. On a encore un système qui est très marqué par le président et les hommes du président et on a du mal à avoir des débats au sein des fédérations. On a donc fait toute une série de propositions pour changer le modèle électoral et faire en sorte que les différentes sensibilités soient représentées dans les instances et les directions. On veut favoriser la parité dans ces instances.
On a un mouvement sportif qui est aussi fragilisé parce qu'il est en difficulté pour mener le combat éthique en son sein même. On a encore un entre-soi, un discours sur la culture de telle ou telle fédération qui justifie des actes qui ne sont pas admissibles aujourd'hui. Le mouvement sportif a du mal à prendre en compte les demandes sociétales de notre époque. On le voit bien comment on banalise des atteintes sexistes ou sexuelles, comment on banalise des propos homophobes ou racistes. Quand je dis ça, je rends hommage à tous les bénévoles qui au quotidien agissent pour faire vivre leur club, pour accueillir les pratiquants et les pratiquantes, pour encadrer les enfants… Mais on a au sein du système, notamment au sein des fédérations nationales et internationales, un blocage qui empêche le mouvement sportif d'avoir une vie démocratique et de mener un combat éthique au niveau des exigences actuelles.
• Vous voulez aller plus loin dans la protection des pratiquant(e)s ?
Oui. Signal sport (NDLR : cellule d'alerte des violences dans le sport lancée en 2020 par le ministère des Sports) est une bonne initiative. Le problème est qu'ils n'ont pas les effectifs nécessaires pour suivre et que c'est très peu connu. On a un problème de transparence, d'information des acteurs et des actrices du mouvement sportif. La protection des pratiquants et des pratiquantes, on a deux propositions phare : la première, c'est que le CNOSF (NDLR : Comité national olympique et sportif français) prenne ses responsabilités par rapport au combat éthique, à la protection des pratiquants et des pratiquantes. La deuxième, c'est la création d'un comité d'éthique supra-fédéral, qui pourrait intervenir y compris dans des fédérations où le comité d'éthique serait endormi ou serait sur la mainmise de tel ou tel dirigeant. Nous pensons que pour les violences sexuelles, sexistes, c'est trop difficile pour les victimes de parler à l'intérieur de leur famille sportive. C'est comme les phénomènes d'inceste, quand c'est dans votre famille, c'est difficile de dire “c'est dans ma famille, c'est lui, c'est elle”. Donc il faut donner, créer des structures qui soient détachées de la famille, des comités d'éthique indépendants, une agence indépendante pour que la parole se libère. Nous proposons comme nous l'avons fait pour le dopage à une époque qu'il y ait une agence indépendante à la fois où les victimes puissent s'adresser, être accompagnés, et où des sanctions puissent être prises dès que c'est nécessaire. Par exemple, déporter de ses responsabilités un dirigeant qui s'est mal comporté. Un entraîneur qui aujourd'hui est sanctionné par sa fédé peut tout à fait aller travailler dans une autre fédé, ce qui est incroyable !
Il faut changer aussi les mentalités par rapport à la violence ordinaire, quand on porte atteinte à l'intégrité physique et psychique d'un ou d'une athlète pour obtenir les résultats. Est-ce qu'on pourrait regarder le sport comme quelque chose où parfois le record n'est pas battu, la médaille n'est pas obtenue ? Ce qui est important, c'est le plaisir des athlètes, le bien-être, le spectacle sportif, qu'il soit beau. J'espère que les Jzux olympiques de Paris (JOP) soit un rendez-vous magnifique où les athlètes vont vivre quelque chose d'extraordinaire. Je ne dis pas qu'il faut absolument que la France ait 70, 80 médailles. C'est pas ça le problème. Arrêtons de faire pression sur nos athlètes et de justifier certaines méthodes d'entraînement en étant axé uniquement sur les résultats.
• Le sport français laisse-t-il de la place aux femmes ?
On a le même phénomène qu'en politique. Ce sont des mondes qui se sont construits au masculin pendant des décennies, voire des siècles. La domination patriarcale est très présente dans le sport. Ça joue sur les mentalités. On a encore l'idée encore aujourd'hui, y compris chez les parents, par exemple, qu'un garçon, il faut qu'il fasse du sport, c'est évident. Alors qu'une fille, si elle fait autre chose, ce n'est pas grave. L'idée qu'il y aurait des sports masculins et des sports féminins, que la fille, si elle veut faire de la gymnastique, ça va, mais si elle veut s'inscrire en rugby, ça devient problématique… Même si tout cela bouge, on n'a encore que 39 % de licenciés dans toutes nos fédérations qui sont de sexe féminin. Et nous n'avons aujourd'hui que 4 femmes présidentes de fédérations olympiques. Nous avons au sein du CNOSF encore aujourd'hui dans son conseil d'administration une participation des femmes moindre. Il existe toujours cette idée que les femmes seraient moins compétentes, moins disponibles… Tout ce qu'on a entendu lorsqu'il y a eu les débats sur la parité à l'Assemblée nationale, il y a plus de vingt ans. On nous avait expliqué qu'on ne trouverait pas des femmes suffisamment compétentes pour participer aux conseils municipaux, régionaux, départementaux. En fait, on les a parfaitement trouvées. Mais quand vous regardez les conseils municipaux à parité aux dernières élections des maires, 19 % seulement de femmes sont devenues maire, malgré cette parité. On voit bien qu'il faut agir sur les mentalités pour faire bouger les choses. Dans nos recommandations, on propose la parité dans toutes les instances, mais il faudra continuer à agir sur les mentalités. Je pense que le rajeunissement, le renouvellement des directions dans les ligues, les fédérations… devraient nous y aider. Encore faut-il que le bénévolat soit attractif, c'est pour ça qu'on fait toute une série de propositions sur l'indemnisation des dirigeant(e)s bénévoles, sur des trimestres pour la retraite… Tout ça pour donner envie à des générations plus jeunes de s'inscrire dans un bénévolat dans la durée.
• Est-ce que ça a évolué ?
Oui, grâce au combat des femmes et des hommes qui mènent eux aussi ce combat féministe. On avait 18% de femmes aux JO de Mexico en 1968, on devrait en avoir 48 % aux JOP. Mais ça évolue extrêmement lentement. Un sondage récent commandité par le Haut conseil à l'égalité entres les femmes et les hommes montre que chez les 24-34 ans, on voit réapparaître des comportements virilistes chez les 24-34 ans. Je l'ai constaté en faisant des débats dans les lycées où des jeunes gens m'ont expliqué pourquoi il y avait des sports masculins, des sports féminins, et qu'il ne fallait pas mélanger les choses. Donc on voit bien que ce combat, il n'est pas derrière nous, il n'est pas réglé. Il est vraiment d'actualité d'autant plus qu'il y a des pays aujourd'hui qui y vont à reculons. Je suis très proche des femmes afghanes et iraniennes, on voit comment les premières décisions des Talibans, ça a été d'interdire la pratique sportive aux femmes. Soyons vigilants !
• Les JO de Paris (JOP) vont-ils donner plus de visibilité aux sportives ?
C'est le plus des JOP. France télévisions va retransmettre l'ensemble des épreuves. On va voir beaucoup de pratiques par les femmes de différents sports, ça va jouer. On a pu constater que la très bonne retransmission du Tournoi des six nations féminin de rugby l'année derrière avec les bons résultats de l'Équipe de France a fait qu'il y a eu plein de filles qui se sont inscrites dans des clubs de rugby. C'est très important parce qu'aujourd'hui les sports féminins sont seize fois moins retransmis que les sports masculins à la télévision en France ! Donc les JOP ont ce rôle, d'abord de faire découvrir des pratiques qu'on ne voit jamais et puis des pratiques hommes, femmes. Ça, c'est bien. Le problème, c'est après, une fois qu'on aura rangé la flamme olympique, si nos clubs n'ont pas les moyens d'accueillir les filles, les garçons qui ont envie de s'inscrire, , s'il n'y a pas les emplois qualifiés qu'il faut, s'il n'y a pas le budget qu'il faut… Je propose que pour la prochaine olympiade, 2024-2028, on mette 1% du budget pour le sport par an, comme on l'a fait à une époque pour la culture afin de donner les moyens aux clubs d'accueillir un nouveau public, des filles, des garçons dans toutes les pratiques, avec plus de mixité. J'espère qu'on va se saisir des JOP pour faire ça.
• Quelle est la place aujourd'hui du sport dans le débat politique ?
Il n'y a jamais de grands débats publics, politiques sur les enjeux du développement du sport dans notre pays… Ces dernières années, on a eu beaucoup de ministres des sports, de secrétaires d'État aux sports qui ne sont pas restés longtemps en place. Il ne s'agit pas de s'y connaître, de mettre forcément des ministres qui soient d'anciens athlètes. On apprend à s'y connaître. Moi, j'ai appris à m'y connaître. J'ai consulté, j'ai écouté, j'ai discuté. La question est d'avoir une orientation politique, une volonté politique. Qu'est-ce qu'on veut faire du sport ? Est-ce qu'on veut mener le combat éthique ou pas le mener ?… C'est bien le problème que nous avons encore aujourd'hui. Le ministère des Sports a été placé de nouveau sous la tutelle de l'Éducation nationale. Il n'a plus les moyens de jouer ce rôle à la fois d'impulsion et de contrôle du mouvement sportif. Il est complètement affaibli.
•Pourquoi avoir accepté de participer à Mars au féminin ?
Parce que c'est mon engagement féministe, mon engagement pour la place des femmes dans le sport, pour le droit à la pratique sportive des filles et des femmes. J'ai créé une association Femmes ici-là bas, qui a pour objectif justement cette pleine et libre pratique du sport partout, en France et ailleurs. Le sport, c'est le bien-être, le lien social. Je pense que c'est comme la culture, le sport doit être l'objet de beaux débats. La Ville de Dieppe y participe et je suis contente d'en être !
Propos recueillis par Pierre Leduc
© Photo D. Allard - AFP
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Actualité 11/01/24
Recensement : Dieppe compte sur vous !
8 % de logements vont être recensés à Dieppe, entre le 18 janvier et le 24 février 2024.
Des agents recenseurs sont accrédités par la Ville de Dieppe pour réaliser le recensement des foyers dieppois tirés au sort par l’Institut national de la statistique (Insee). Sur la photo, les agents recenseurs municipaux sont, de gauche à droite : Sylvain Walmacq, Amandine Deschamps, Florence Jue, Sandra Ridel, Audrey Le Courtois, Nathalie Ménival, Emmanuelle Throude, Thomas Bergounioux et Natacha Chavry.
Si vous êtes concernés, l'agent recenseur, identifiable grâce à une carte tricolore, vous proposera deux options : soit répondre par Internet, via le site le-recensement-et-moi.fr, et dans ce cas l’agent recenseur vous expliquera la démarche à suivre, soit répondre sur papier et il vous remettra une feuille de logement et autant de bulletins individuels qu’il y a de personnes dans votre foyer.
À savoir :
• Le recenseur peut vous aider à remplir le questionnaire et viendra récupérer les documents à un moment convenu avec vous.
• La réponse aux questionnaires du recensement est obligatoire (loi n° 51-711 du 7 juin 1951)
• Tout agent possède une carte tricolore avec son nom, signée par le maire, qu’il doit vous montrer.
• Aucun autre organisme que l’Insee n'a accès aux données.
• Le recensement de la population respecte le règlement général sur la protection des données (RGPD).
• Le recensement est totalement gratuit. Les agents ne posent aucune question sur les revenus. Ils n’ont rien à vendre et ne proposent aucun service. Ne répondez pas aux sites qui vous réclameraient de l’argent.
© Photo : Erwan Lesné – Ville de Dieppe
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Actualité 29/12/23
Coupe de France : le FCD veut faire valser les Tangos !
C'est le match-phare de ce début d'année. Les Harengs du FC Dieppe (National 3) affronte les footballeurs professionnels du Stade lavallois (Ligue 2, L2) le dimanche 7 janvier à 17h30 au stade Jean-Dasnias pour le compte des 32e de finale de la Coupe de France. Face aux Tangos — surnom et couleur du maillot des Lavallois — actuellement 4e de Ligue 2, les joueurs de Guillaume Gonel n'ont rien à perdre. Plus de 3 000 spectateurs sont attendus et rêvent d'un nouvel exploit des Dieppois. Après tout, il y a près de quatre ans, le FCD avait éliminé chez lui le RC Lens (2-1), alors leader de L2. Alors, impossible n'est pas Dieppois !
• Plus d'infos sur le match sur la page Facebook officielle du FC Dieppe.
© Photo : Pascal Diologent (FCD-Ergué Gabéric, 8e tour de la Coupe de France, 9/12/2023)
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Actualité 29/12/23
Nicolas Langlois élu président de l'Agglo Dieppe-Maritime
Pour la première fois depuis la création de l’Agglo en 2003, le Maire de Dieppe gère l’intercommunalité. Maire de Dieppe « à 100 % », Nicolas Langlois préside en effet, depuis le 18 décembre et la tenue d'un conseil communautaire, l’agglomération, entouré de 14 vice-président(e)s (dont 5 Dieppois) issus de la diversité du territoire. Après un hommage rendu à son prédécesseur Patrick Boulier, qui « a particulièrement su bâtir la cohésion qui est la nôtre depuis 2017 », et à ceux qui ont posé les bases de Dieppe-Maritime, « Jean Dasnias, Christian Cuvilliez, Guy Sénécal », le premier édile dieppois s’est attaché à rappeler les grands enjeux intercommunaux.
Territoire de vie
« Nos priorités sont celles des gens : le logement, la santé, le développement de notre économie réelle, de l’industrie qui prend ici le virage de la décarbonation, de notre place portuaire, du commerce qui va néces- siter une attention particulière, car les conséquences de l’inflation et de la vie chère sont brutales en ce moment » a-t-il indiqué. Les politiques culturelles et sportives sont essentielles et ne devront jamais être mises de côté. Nous sommes un territoire de vie sur lequel nous voulons le meilleur pour les habitants » note-t-il, soulignant « le rôle et le travail fait par notre député Sébastien Jumel depuis six ans, pour créer du lien, pour dépasser les craintes ou les blo- cages historiques voire passéistes. »
Nicolas Langlois a également précisé que « nous voulons un ensemble fort de ses communes et de leurs identités sans gommer les particularités, mais en additionnant les forces. » Mieux identifier les compétences et le rôle de l’Agglo sera un enjeu. Même si, se félicite le nouveau président, « quand il s’agit de travailler, de se soigner, de prendre des cours de piscines, d’aller à la mer ou sur l’Avenue verte, les habitants vivent, expérimentent concrètement l’intercommunalité ».
Seize communes et des compétences multiples
Depuis 2003, la communauté d’agglomération Dieppe-Maritime, regroupe 16 communes dans le cadre d’un projet commun destiné à améliorer la vie quotidienne de ses 55 000 habitants et 2 000 entreprises. Lescommunes : Ancourt, Arques-la-Bataille, Aubermesnil-Beaumais, Colmesnil-Manneville, Dieppe, Grèges, Hautot-sur-Mer, Martigny, Martin-Église, Offranville, Rouxmesnil-Bouteilles, Saint-Aubin-sur-Scie, Sainte-Marguerite-sur-Mer, Sauqueville,Tourville-sur-Arques,Varengeville-sur-Mer.
Parmi les compétences de l'Agglo, il y a les transports, la santé, l'économie, l'eau et l'assainissement, la collecte des déchets ménagers, la culture, l'emploi, l'habitat, la qualité de l’air, la maîtrise de l’énergie, l'insertion et le Campus connecté.
© Photo : Erwan Lesné - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 15/12/23
Recensement : Dieppe gagne des habitants
Les résultats du recensement 2024 portant sur la population 2021 sont connus. Dieppe compte 28 813 habitants contre 28 535 en 2023, soit une hausse de 278 habitants (1 % de plus).
Les données officielles de l'INSEE pour le recensement annuel des populations des communes, viennent d’être adressées aux maires. Pour 2024, Dieppe comptabilise officiellement 28813 habitants (population légale au 1er janvier 2021), dont 455 habitants « comptés à part » (élèves du territoire installés à Dieppe et étudiants hors Dieppe). Après plusieurs années où la tendance était à la baisse – tendance statistique rappelons-le puisque le chiffre de population est calculé à partir du recensement d’une partie seulement de la population de chaque ville –, la population augmente donc de nouveau.
« Une bonne nouvelle pour notre ville, réagit Nicolas Langlois, qui confirme que de nouveaux habitants choisissent Dieppe et que nous avons eu raison de résister à un modèle qui déménage les territoires vers les grandes métropoles et oblige les habitants à aller de plus en plus loin pour étudier ou travailler. Pour autant, notre engagement à prendre soin de Dieppe ne se fonde pas sur ce seul chiffre. Les chiffres du recensement ne sont pas notre alpha et oméga : au cœur de notre politique, et de celle de mes prédécesseurs, c’est l’ambition d’offrir aux habitants le plus grand nombre de services, un tissu commercial dynamique dans chaque quartier, des formations et des emplois pour vivre bien. »
Poursuivre des politiques volontaristes fortes
Et le Maire d'ajouter : « La tendance à la hausse de la population dieppoise nous confirme qu’il faut continuer notre politique volontariste de construction de logements, continuer à prendre soin de notre environnement, de notre pêche artisanale et du cadre de vie, continuer à soutenir notre riche tissu associatif, continuer à travailler à consolider notre centre hospitalier, notre Scène nationale, continuer à conforter notre port et notre liaison Transmanche, à soutenir les grandes entreprises comme Alpine mais aussi la construction navale et demain la maintenance maritime. Nous voulons aussi continuer à développer la formation sur notre territoire, pour que les jeunes dieppois puissent aussi faire le choix de rester à Dieppe pour étudier. Et continuer à défendre les moyens pour une meilleure connexion du territoire dieppois : davantage de directs Paris-Dieppe par exemple ! Des projets comme le futur EPR et les constructions de logements s’inscrivent dans cette volonté de poursuivre sur la voie d’une ville à vivre et où toujours mieux vivre. Ce chiffre légitime également nos efforts en termes de logement, par exemple dans le cadre de la délibération consacrée aux meublés touristiques qui vise à favoriser le logement des dieppois et futurs dieppois. Une démarche volontariste qui se conjugue au travail législatif porté avec force par le député Sébastien Jumel ».
Pour que les chiffres de population tendent toujours plus vers la réalité, la Ville travaille enfin à mieux faire connaître la procédure de recensement annuel et à lever les craintes de certains habitants qui renoncent à répondre, par peur d’être importunés, ou par peur du contrôle. La prochaine campagne annuelle de recensement, pour laquelle 14 agents du service public municipal sont engagés, est programmée du 18 janvier au 24 février 2024.
© Photo d'illustration : service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 15/12/23
Meublés touristiques : Dieppe, ville pionnière pour réguler les locations saisonnières
Dieppe est la première ville de Seine-Maritime à encadrer les locations touristiques. Deux délibérations proposées par l’exécutif ont été adoptée à l’unanimité en ce sens. Un gain de plus de 215 logements est escompté pour permettre aux dieppois et futurs dieppois de se loger.
La Ville de Dieppe vient donc d’adopter, le 14 décembre 2023, deux délibérations importantes (que l’arrêté préfectoral du 11 décembre 2023 autorise à prendre) : l’une met en place au 1er janvier 2024 un régime d’autorisation temporaire de changement d’usage des meublés touristiques, l’autre met en place un numéro d’enregistrement au moment de cette déclaration préalable. Concrètement, il sera désormais obligatoire pour les propriétaires de déclarer le « changement d’usage » de leur logement et de faire enregistrer leur location de tourisme. « Si nous avons toujours défendu le droit aux vacances et le tourisme, la ville que nous voulons, c'est d'abord pour les habitants qui y vivent toute l'année » souligne le maire Nicolas Langlois, évoquant « un signal fort pour encadrer, et demain limiter, les locations saisonnières ».
Des quotas en baisse
Pour les prochaines années, des quotas en baisse, ont donc été définis quartier par quartier (quatre secteurs ont donc été définis), pour diminuer le nombre de biens sortis de location traditionnelle. « Ces logements, nous en avons besoin collectivement pour accueillir tous les Dieppois et futurs Dieppois » précise le maire, soulignant que le gain escompté à moyen terme est de plus de 215 logements remis en location classique !
On compte à Dieppe pas loin de 700 meublés touristiques déclarés à ce jour. Des meublés sont majoritairement concentrés dans les quartiers donnant notamment sur la plage de Dieppe, le port de plaisance, le Pollet et son île qui deviennent inaccessibles pour la population locale ou qui souhaite s’y installer. Des nuisances (fêtes occasionnant du bruit…) sont aussi périodiquement signalés par les riverains. « Tous ces éléments nous ont conduit à adopter une démarche très volontariste sur ce sujet, en essayant de trouver la réponse la plus adaptée et en consultant des villes littorales qui y étaient également confrontées » souligne Nicolas Langlois. « La proposition de loi « transpartisane » sur la régulation des locations Airbnb et plateformes, sur laquelle s’engage fortement notre député Sébastien Jumel à l’Assemblée nationale, devrait permettre des avancées en renforçant le pouvoir de régulation des maires » note également le maire, qui espère des avancées parallèles du phénomène législatif.
Voir infographie ici.
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Actualité 14/12/23
Chantier de restauration du pont Colbert : la foire aux questions
Le chantier de restauration du pont Colbert, piloté par Ports de Normandie, va démarrer en février 2024. Son absence implique de nouveaux usages pour maintenir le lien entre les deux rives et consolider l’animation du quartier historique du Pollet. Afin de vous aider à vous y retrouver, dieppe.fr vous propose une Foire aux questions qui sera régulièrement mise à jour. (dernière mise à jour : 5/02/23)
Quels travaux vont être effectués sur le pont Colbert ?
Le pont Colbert disparaîtra du paysage en ce début d'année 2024. Il sera transporté (le 9 février 2024 si la météo le permet) vers le cours de Dakar et placé sous cocon pour être entièrement désamianté et décapé (6 mois). La structure sera ensuite réparée (8 mois) puis une protection anti-corrosion et la peinture seront appliquées (3 mois). Dans le même temps le mécanisme et les zones de retrait et de manœuvre seront rénovés (8 mois), tout comme la cabine de manœuvre (10 mois). Il sera procédé également au ravalement de la façade du bâtiment des machines (6 mois) et à la mise en lumière de l’ensemble (3 mois). Selon le calendrier prévisionnel, le chantier devrait s’achever mi-2025. Conduit par Ports de Normandie, propriétaire de l’ouvrage, ce grand chantier s’élève à 19,6 millions d’euros, financés par la Région Normandie (9,7M€),le Département de Seine-Maritime (3,3 M€), l’Union Européenne (2 M€), l’État (4,4 M€) et Ports de Normandie (0,2 M€).
Quand le pont sera-t-il fermé à la circulation ?
Afin de préparer son retrait, il a été fermé à la circulation routière et piétonne le 24 janvier 2024. C’est autour du 9 février 2024, si la météo le permet, qu’il quittera son implantation historique pour être emmené au moyen d’une barge vers un terrain portuaire, situé en bordure du cours de Dakar et entièrement aménagé en novembre et décembre.
Quand le pont sera-t-il transféré sur son lieu de restauration et comment va se dérouler l'opération ?
Il sera transféré les 9 et 10 février 2024, selon les aléas météos et de chantier. L'opération de déplacement du pont Colbert jusque sur la plateforme, située cours de Dakar, où il sera restauré durant quinze mois occasionnera des fermetures de la passerelle piétonne provisoire (dès le jeudi 8 février à 8h30 au samedi 10 février à 12h50) et de la passerelle Rolland (sur plusieurs étapes de l'opération) ainsi que des fermetures d'espaces au public et des déviations routières.
Jeudi 8 février : Afin de permettre l'arrivée et la mise en place de la barge qui transportera le pont Colbert, la passerelle piétonne provisoire ne sera plus accessible au public à partir de 8h30 et jusqu'à samedi à 12h50. Durant cette matinée, la passerelle Rolland, qui sera le seul point d'accès piéton durant deux jours, fermera également le temps de laisser passer la barge. La barge sera fixée au moyen de câbles d'amarrage et une zone d'interdiction au public sera délimitée de part et d'autre du pont pour sécuriser la zone.
Vendredi 9 février : Le pont sera transféré sur la barge entre 9h30 et 10h15. Il restera sur la barge, sans mouvement, jusqu'au lendemain matin.
Samedi 10 février : Les câbles d'amarrage seront déconnectés de la barge entre 8 heures et 10 heures. La navigation aura lieu entre 10 heures et 13 heures. Durant une partie de cette opération, la passerelle Rolland sera fermée aux piétons tout comme la passerelle provisoire qui rouvrira au plus tard à 12h50. Le pont sera ensuite transféré du quai de Norvège jusqu'à la plateforme aménagée le long du cours de Dakar. Une déviation routière est mise en place sur le cours de Dakar à partir de 6 heures et pour toute la journée. Pour rappel, l'application Citykomi ® permet de savoir en direct si les passerelles sont ouvertes ou fermées.
Le réseau de bus de Deep Mob. offre également aux piétons une alternative de déplacements. Pour connaître les tarifs et les horaires, rendez-vous sur deepmob.fr.
Retrouvez le communiqué de presse de Ports de Normandie expliquant l'opération ici.Combien de temps va durer le chantier ?
Le pont sera placé sous cloche et donc totalement inaccessible au public. Une sorte de grand sarcophage à l’intérieur duquel ingénieurs et ouvriers spécialisés vont s’affairer pour mener les diverses étapes d’une rénovation complexe réalisée selon les règles de l’art. Classé Monument historique, le pont Colbert sera, en effet, restauré à l’identique. Selon les prévisions, même si divers aléas peuvent engendrer des retards, le chantier devrait durer près de quinze mois.
Va-t-on encore pouvoir traverser à pied ?
Et oui ! Ports de Normandie a installé une passerelle provisoire. Fonctionnant, à l'énergie électrique permettant de limiter les nuisances sonores, grâce à un système de pivot qui permet à ce nouvel ouvrage de tourner pour les besoins du trafic portuaire, la passerelle, accessible également aux personnes à mobilité réduite, se situe à quelques mètres de l’emplacement du pont Colbert, reliant le quai de l’Yser au quai de la Somme. Ouverte 24h/24 et éclairée la nuit, elle s'ouvre à la navigation sur demande, 2 heures avant la pleine mer et 45 minutes après. Attention, cette passerelle, de couleur blanche, sera fermée à la circulation piétonne quand le vent sera supérieur à 50 km/h en rafale. Un anémomètre mesure la force du vent sur place. En cas d’indisponibilité, la passerelle Amiral Roland (bleue) sera toujours accessible via la rue Robbe. Les cyclistes peuvent emprunter ces deux passerelles, mais en mettant le pied à terre. Une signalétique spécifique sera créée pour que les piétons puissent s’y rendre sans difficulté. Voir le plan.
Et si je prends le bus, comment je fais ?
Deep Mob. qui organise les transports en commun pour le compte de la communauté d’agglomération Dieppe Maritime a entièrement retravaillé les itinéraires de l’ensemble de ses lignes. Un nouveau schéma qui, non seulement, ne pénalise pas les habitants des zones situées au Pollet et aux Côteaux, notamment, mais qui apporte en plus de véritables améliorations sur une grande partie des dessertes. Retrouvez tous les tracés et les nouveaux horaires des lignes du réseau sur deepmob.fr et qui prendront effet dès le 8 janvier 2024. Voir le plan.
Et en voiture, on passe par où ?
Un grand plan de déviations routières a été pensé. Testés lors de la fermeture du pont pont Colbert au printemps 2021 durant trois semaines pour les besoins des toutes dernières études préalables à sa restauration, de nouveaux itinéraires vont être mis en place. S’ils permettent de contourner le secteur pour les automobilistes de passage, ils garantissent également la possibilité de se rendre, en toute quiétude au Pollet pour profiter des commerces (Voir le plan général des déviations et le nouveau plan de circulation sur la presqu'île du Pollet). D’importants travaux ont été menés pour sécuriser plusieurs axes comme la route de Bonne Nouvelle et la rue Joseph Brunel, où se trouve l’école Vauquelin, et pour fluidifier le trafic à l’image des deux ronds-points cours Bourbon (voir les plans des travaux d'aménagement). Par ailleurs, le plan de circulation est modifié sur la presqu’île du Pollet (plan) pour faciliter les déplacements et éviter les engorgements. Des places de stationnement en zone bleue (stationnement minute nécessitant la mise en place d’un disque sur le tableau de bord) vont également être créées.
Y aura-t-il un risque de bouchons autour du bassin de Paris en raison des transports de pales d'éoliennes ?
C'est l'une des bonnes nouvelles qui prendra effet dès le 1er janvier 2024. Les négociations avec les transporteurs et la société d'autoroute Sanef ont permis d'aboutir à une solution qui permet à la Ville de Dieppe d'interdire désormais le trafic des convois exceptionnels de colis lourds comme les pales d'éoliennes lors des heures de pointe (entre 8 heures et 8h45; entre 12 heures et 12h30; entre 13h15 et 14 heures et entre 17 heures et 18h30).
Les commerces restent-ils accessibles au Pollet ?
Ils le seront quelque soit votre mode de déplacement. Tous les commerces du Pollet tout comme les cabinets médicaux vont continuer à fonctionner normalement et tous les lieux publics comme l’école Vauquelin, la résidence Marcel-Paul, la Poste ou encore l’épicerie solidaire Chez Louisette continueront à accueillir le public. De nombreuses animations seront par ailleurs organisées durant toute la durée du chantier pour faire vivre le quartier.
Comment je m’informe sur l’actualité autour du chantier ?
Le site Internet pontcolbert.portsdenormandie.fr a été créé par Ports de Normandie et est déjà en ligne. Il sera régulièrement mis à jour et permettra de suivre l’avancée du chantier. Par ailleurs, la Ville de Dieppe publiera régulièrement des actualités sur ses réseaux sociaux (Facebook, Instagram et X), sur le site dieppe.fr et dans les colonnes de Journal de Bord. Ports de Normandie propose également de s’informer en temps réel des mouvements du pont Ango et des passerelles piétonnes grâce à l’application Citykomi (téléchargeable sur Google Play et Apple Store). Notez que des flyers intégrant les plans de déviation et l'explicatif du chantier ont été édités par Ports de Normandie. Ils seront disponibles début janvier dans les accueils municipaux et chez les commerçants du Pollet.
Auprès de qui je m’adresse en cas de problème ?
Si vous rencontrez un désagrément durant le chantier, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Un espace vous est accessible directement sur le site pontcolbert.portsdenormandie.fr pour adresser directement votre question à Ports de Normandie. Il en est de même pour les questions liées aux transports en commun auprès de Deep Mob. (deepmob.fr). La Ville de Dieppe pourra également relayer vos doléances. Une présence régulière des agents et d'élus municipaux sera mise en place dès les premiers jours du chantier et une ligne de téléphone portable dédiée sera ouverte à l'approche du chantier et communiquée début janvier 2024.
Pourquoi était-il si important de restaurer le pont Colbert ?
Il relie les deux rives du Pollet depuis 134 ans. Le pont Colbert est bien plus qu’un ouvrage portuaire. Il est un élément à part entière du patrimoine maritime dieppois. Suite à une forte mobilisation des habitants, du comité de sauvegarde et des élus du territoire, il avait été classé Monument historique en 2020. Le pont Colbert, qui pèse 840 tonnes (il a été pesé précisément en décembre) et mesure 70 mètres de long, a subi les attaques du temps. Une détérioration qui nécessite une complète restauration pour préserver ce joyau architectural mais aussi sa machinerie et son mécanisme d’origine.
J'ai raté la réunion publique du 6 décembre 2023 sur la présentation du chantier, comment savoir ce qui s'est dit ?
C'est très simple ! L'équipe du service communication en assuré la captation. Vous pouvez revoir la vidéo ici.
Outils
- Télécharger / consulter le dépliant de Ports de Normandie incluant le plan de déviation (PDF).
- Consulter la carte interactive des commerces du Pollet / Neuville.
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Actualité 17/11/23
20/25 novembre : des saynètes pour sensibiliser au harcèlement de rue
Du 20 au 24 novembre, la Compagnie M42, missionnée par la Ville de Dieppe pour créer des saynètes sur le thème du harcèlement de rue, se déplace dans un bus de Deep Mob près des centres de formation, lycées, collèges et centres sociaux pour présenter celles-ci.
Le samedi 25 novembre, pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le bus s’arrêtera sur le quai Henri IV, de 9 heures à 12 heures, puis sur le parvis de l'hôtel de ville, de 14 heures à 15h30, pour des séances grand public.
Une marche, organisée par l'association Nous Toutes Dieppe, sera proposées dans la foulée des saynètes jouées le 25 novembr sur le parvis de l’hôtel de ville. Départ depuis ce même parvis à 15 h 30.
© Visuel d'illustration : Adobe Stock / Samuel Gros - Ville de Dieppe
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Actualité 17/11/23
Du 20 au 23 novembre, la petite enfance à l'honneur
Du 20 au 23 novembre 2023, la Ville de Dieppe et ses partenaires vous proposent la Vien gradir ensemble, une semaine de la petite enfance, un rendez-vous gratuit raéunissant parents, enfants et professionnels, avec de nombreux stands, animations et temps d’échange, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l’enfant qui se tient chaque 20 novembre.
• Retrouvez le programme complet et les animations prévues sur Dieppe sur https://vu.fr/mweWu.
Du 20 au 23 novembre 2023, de 10 heures à 18 heures (avec une nocturne le mardi 21 novembre jusqu’à 20 heures) à la salle des congrès. Parmi les temps forts à ne pas manquer :
•Lundi 20 novembre de 10 heures et 18 heures : atelier de la Cie Les saltimbanques de l'impossible. À la découverte des Arts du cirque avec jonglerie (balle, cerceau, foulard) et équilibre sur objets
• Mardi 21 novembre de 16h30 à 20 heures : intervention de Florent Metlzer, pianiste, qui propose des comptines pour les enfants et toutes les générations. Spectacle d’éveil musical à la fin duquel les tout-petits sont invités à toucher les instruments
• Mardi 21 et mercredi 22 novembre de 10 heures à 20 heures le mardi et 10 heures à 18 heures le mercredi : animation : La Maison géante ®. Identifions les dangers domestiques en se mettant à hauteur d’un enfant de 2 ans
• Mercredi 22 novembre de 14 heures - 16 heures : Afrika Musique propose un atelier autour du djembé
• Jeudi 23 novembre de 10 heures à 12 heures : atelier Le corps en mouvement puis de 14h30 à 17 heures atelier Motricité et bibliothèque éphémère (ouvrages sur la petite enfance)
Deux conférences, gratuites, ouvertes à toutes et tous seront proposées par des spécialistes autour de thématiques liées à la petite enfance et se tiennent dans les salons du Casino de Dieppe.
• Lundi 20 novembre de 18h30 à 20 heures : ''Le tout-petit'' par David Ducastel
Le psychologue de crèche David Ducastel vous propose de parler du “tout-petit” (0-3 ans). Éveil et rythmes de développement, colère et agressivité (comment réagir ?), séparation parents-enfants et accompagnement des émotions sont au cœur de cette conférence.
• Jeudi 23 novembre de 18h30 à 20 heures : ''La confiance en soi de mon enfant'' par Arnaud Deroo, thérapeute et consultant.
Fort d’une expérience de plus de 30 ans auprès d’enfants, adolescents et familles, il propose une conférence sur la confiance en soi : sa définition mais aussi celle de l’estime de soi. “Comment la confiance se construit-elle ? et si elle se construit peut-on l’abîmer ?”
© Conception graphique - Samuel Gros – Ville de Dieppe
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Actualité 07/11/23
Assemblées de quartier : votre parole compte
En présence de Nicolas Langlois, maire de Dieppe, de Sébastien Jumel, député, des élus et des services municipaux, cinq réunions publiques ouvertes à tous se tiennent du 6 au 20 novembre dans les quartiers :
•Centre-ville, Saint-Pierre, Vauban : lundi 6 novembre à 18 h salle Paul-Éluard
•Le Pollet, Côteaux, Vieux-Neuville : vendredi 10 novembre à 18 h à l’école Jacques-Prévert
•Val Druel : lundi 13 novembre à 18h à la Maison de quartier Camille-Claudel
•Neuville (nord) et Puys : jeudi 16 novembre à 18 h au Drakkar
•Caude-Côte, Janval, Les Bruyères : lundi 20novembreà18hàla Maison Jacques-Prévert
Les aménagements routiers préparatoires des futurs travaux du Pont Colbert, la réorganisation du réseau de bus, avec Deep Mob et l’Agglo Dieppe-Maritime), le cadre de vie quotidien sont en débat. Infos : Service Démocratie locale au 02 35 06 61 24 ou 02 35 06 61 05.
Faire avec les habitants
Saviez-vous que les projets d’installation de nouvelles cabines sur le front de mer ou de consignes à vélos (résidence Marcel-Paul, place Saint-Jacques et quai du Hâble) sont nés des réflexions collectives issues d’une Assemblée de quartier ? Car chaque prise de parole lors de ces réunions publiques est prise en considération.
Dans la mesure du possible, des réponses sont données en direct, soit par des élus, soit par des agents des services techniques de la Ville. Mais parfois, la doléance est expertisée au sortir de la réunion publique. « On note tout ce qui est dit, assure Bruno Le Marrec, responsable du service Démocratie locale à la Ville. On laisse aussi des petits coupons sur chaque chaise pour que les habitants émettent des remarques ou posent des questions, en mettant leurs coordonnées. Ça permet aux personnes plus timides ou qui n’ont pas eu la possibilité de poser leur question, de relayer leurs demandes, qui concernent à 80 % l’amélioration du cadre de vie. On rappelle les habitants après les Assemblées. Leur requête est instruite par les services municipaux avec une réponse adaptée. »
La spécificité de la Démocratie locale sauce dieppoise est d’impliquer l’habitant dans les solutions. « Lors des Assemblées, on recueille une première expertise et on creuse des premières réponses avec les habitants, note Bruno Le Marrec. C’est l’essence même de notre démarche, faire avec eux ! » Alors, du 6 au 20 novembre, venez prendre le micro et la parole !
© Photo Erwan Lesné
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Actualité 07/11/23
Foire aux harengs : ça grille les 18 et 19 novembre !
Dégustations et ventes de produits de la mer frais, braderie, déambulations musicales et théâtrales, feu d'artifice, concours de décorticage de coquilles… On ne présente plus la Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques de Dieppe. Organisée par la Ville, la 53e édition se tient les 18 et 19 novembre.
L’inauguration a lieu le samedi à 10 h au quai Trudaine : déambulations le long des quais Henri IV et du Hâble avec la fanfare Le Temps de chanter, Les Polletais et la Confrérie du hareng.
• Télécharger le programme complet de la Foire aux harengs des 18 et 19 novembre
Et aussi…
• Pour célébrer les dix ans de la reprise de l’organisation de la Foire par la Ville, le service Communication expose les affiches 2014-2023 créées par Brigitte Pope, alias Popey, avec pour chacune des œuvres une anecdote de l’artiste anglo-dieppoise. À voir sur le stand de la Ville, près de l’Office de tourisme.
• Vente de produits dérivés : à retrouver tout le week- end, sur l’autre stand Ville situé près de la fontaine du quaiHenriIV. Desaffiches de cette édition 2023 (3 €), des mugs/tasses (6 €), des sacs en coton (6,50 €) et des magnets (3,50 €) y sont en vente pour le public.
• 1050 places de parkings de délestage pour les véhicules légers : hippodrome (500) et parking Alpine (550). L’hippodrome (20) et le quai Duquesne (30) réservent également du stationnement pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Des navettes gratuites de Deep Mob sont mises en place toutes les trente minutes au départ de l’hippodrome et d’Alpine, le samedi de 9h à 22h30 et le dimanche de 9h à 20h.
© Photo d'archive Foire aux harengs 2022 : Erwan Lesné
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Actualité 01/11/23
Tempête Ciarán : les bons gestes à adopter pour votre sécurité
Météo-France indique que la tempête Ciarán abordera les régions du nord-ouest de la France dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 2 novembre et sévira encore au cours de la matinée du jeudi.
Pour traverser cet épisode venteux en toute sécurité, voici quelques recommandations qu'il convient de respecter :
• Protégez vos biens !
Pensez à mettre les objets d’extérieur à l’abri du vent pour éviter qu’ils s’abîment et qu’ils s’envolent : mobilier de jardin, poubelles, jouets et tout autre objet qui n'est pas fixé au sol. Idem pour votre voiture, qu'il convient, si possible, de mettre au garage ou sous un abri.
• Mettez-vous à l'abri !
Les autorités préconisent de limiter vos déplacements voire de rester chez soi et de ne pas utiliser la voiture. Le télétravail, s'il est envisageable, est à privilégier.
Pour parer à toute coupure d'électricité, prévoyez une lampe de poche et une radio portable à piles pour s’informer de l’évolution de la situation. Par ailleurs, limitez le nombre d'appareils électriques pour éviter la surcharge !
De plus, une fois à l'abri, fermez vos volets.
• Faites attention aux chutes d'arbres !
C'est l'une des principales inquiétudes liées à la tempête Ciaran. Il est donc conseillé d'éviter les zones boisées, que ce soit à pied ou en voiture.
• Ne vous promenez pas sur la plage !
Les vents forts seront accompagnés de vagues très importantes, de six à huit mètres sur les côtes de la Manche, selon Météo-France. Des submersions importantes et des projections de galets peuvent avoir lieu. Dès la vigilance orange pour vagues-submersion, les balades sur la côte sont proscrites, de même que toute sortie en mer. Pour rappel, la jetée ouest est fermée au public jusqu'à lundi prochain.
© Photo d'archive et d'illustration : Pascal Diologent
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Actualité 31/10/23
Tempête Ciaran : les infos en direct
Informations au 3 novembre 2023 :
- Le marché du 4 novembre est maintenu ;
- L'électricité sera rétablie quartier Saint-Pierre en début d'après-midi ;
- Suite aux précipitations et à une coulée de boue, la rue du Général Chanzy est fermée jusqu'à la fin de l'intervention des services ;
- Les terrains de sport sont fermés par arrêté municipal jusqu'au lundi 6 novembre (lire l'arrêté : https://vu.fr/xmFN) ;
- L'animation Cabane de l'écrivain prévue rue Mme Renée-Coty est annulée ;
- Dieppe-Maritime informe que la tournée du tri sélectif du jeudi sera réalisée vendredi, les tournées déchets verts du jeudi et vendredi sont annulées et repoussées au jeudi 9 et vendredi 10 novembre, les tournées habituelles du vendredi sont, pour le moment, maintenues ;
- L'avenue Jean-Riblet (Neuville) est fermée à toute circulation, de l'intersection de l'avenue Jacques-Prévert à l'entrée du terrain de foot des Côteaux (tout le grand virage) ;
- La jetée ouest est fermée jusqu'au lundi 6 novembre ;
- La circulation des trains restera fortement perturbée vendredi matin et la reprise sera très progressive en fonction de l’état des voies constaté ce jour et cette nuit par les trains de reconnaissance.
© Photo : Pascal Diologent - Ville de Dieppe
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Actualité 23/10/23
Château et Musée : 100 ans de vie commune
Une exposition qui retrace leur destin commun a débuté le 21 octobre. Jusqu’au 5 mai 2024, d’autres animations et conférences rythmeront cet anniversaire.
Un siècle partagé ensemble. Le château bâti au XVe siècle et le Musée municipal créé en 1863 se sont unis en 1923 pour ne faire qu’un. La Ville avait racheté l’édifice à l’État en 1905. Pour célébrer ce centenaire, l’équipe du Musée de Dieppe explore, dans l’exposition Château-Musée, 100 ans en commun, tant l’histoire tourmentée du château classé monument historique en 1862, que l’évolution des collections du Musée.
« Témoin des soubresauts de l’histoire et lieu de vie, le château de Dieppe a fait l’objet de découvertes archéologiques au fil des différents remaniements architecturaux, attestant des fonctions militaires et domestiques de la forteresse, explique Pierre Ickowicz, conservateur en chef du Musée. Les collections du Musée évoquent également l’histoire longue et mouvementée de l’édifice. »
• Le communiqué de presse de l'exposition centenaire
Au programme
- des visites guidées de l'exposition temporaire les 28 octobre, 3 novembre et 25 novembre à 14h30 ainsi que le 3 décembre à 15 heures
- des ateliers collages créatifs, avec l'artiste Muxx, à partir d’images du château et des œuvres qui y sont présentées les 29 octobre et 4 novembre à 14h30 (tarifs : 6,50 €, accompagnement obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans)
- des ateliers diorama, avec l'artiste Muxx, les 2 novembre et 30 décembre à 14h30 : création à l’aide
de colle, de ciseaux et d’imagination, du château de vos rêves en décor miniature via des dessins et des images imprimées (tarifs : 6,50 €, accompagnement obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans)- le spectacle L'artilleur du roi par la Cie L’Epée d’Aymeric les 29 octobre et 4 novembre sur la terrasse Jean-Ribault : un campement d’artillerie à ciel ouvert avec des tirs de canons, arquebuses et tirs à poudre
En pratique
Ouverture du mercredi au samedi de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 17 heures, et le dimanche de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 18 heures. Tarif plein : 5,50 €. Tarif réduit : 3,50 €. Gratuité : moins de 25 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, cartes professionnelles, personnes handicapées et accompagnateurs.
Contact : 02 35 06 61 99 ou museededieppe@mairie-dieppe.fr. Infos : page Facebook du Musée de Dieppe.
© Visuel : Ludwig Malbranque - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 13/10/23
Pont Colbert : des travaux préparatoires débutent ce lundi 16 octobre 2023
En amont du chantier de restauration du Pont Colbert qui devrait débuter en janvier 2024, la Ville de Dieppe et Ports de Normandie vont réaliser différents travaux préparatoires aux mises en place de déviations routières et piétonnes, à compter de ce lundi 16 octobre 2023.
1- La Ville de Dieppe va ainsi procéder à des aménagements de sécurité sur la route Départementale 1 (rues Joseph-Brunel, Maurice-Levasseur et Bonne Nouvelle). Ces premiers travaux, qui dureront quatre semaines (hors intempéries ou aléa de chantier), nécessitent de réguler la circulation routière.
Le chantier se fera par secteurs successifs et une circulation en alternat, ainsi qu'une interdiction de stationner en journée seront mises en place tout le long du chantier.
Objectifs :
- Sécuriser les cheminements piétons : renforcer ou créer des passages piétons sur tout le linéaire, mettre les traversées piétonnes aux normes PMR (Personnes à Mobilité Réduite), évacuer autant que possible le stationnement des trottoirs ;
- Ralentir les véhicules en ponctuant l’itinéraire avec des aménagements ralentisseurs (coussins et chicanes).
Retrouvez l'intégralité des séquences, ainsi que les plans de circulation, sur cette plaquette (une distribution va également effectuée dans les boîtes aux lettres des riverains).
2 - Parallèlement, Ports de Normandie va procéder à des aménagements du double rond-point du cour Bourbon afin de le sécuriser. Le propriétaire des infrastructures portuaires préparera dans le même temps les futurs travaux du pont avec la création d'une plateforme de stockage où sera installé le Pont Colbert après son enlèvement pour effectuer la restauration.
Les travaux sur le rond-point, prévus pour durer un mois (hors intempéries ou aléa de chantier), consisteront à :
- Procéder à une reprise de l’enrobé qui est assez endommagé et du réseau d’eaux usées et pluviales situé juste en dessous ;
- Réduire la circulation au sein du double-giratoire à 2 X 1 voie et en augmenter le diamètre ;
- Refaire le marquage au sol. En effet, ce double rond-point ne sera pas surélevé de manière à laisser la possibilité aux convois exceptionnels d’emprunter cet axe ;
- Il est à noter que les rails situés sur cette zone seront conservés afin de préserver la possibilité d’une desserte ferroviaire du port de Dieppe.
Retrouvez l'explicatif de ces travaux, ainsi que leur impact sur la circulation, sur le communiqué de presse de Ports de Normandie.
3 - Ports de Normandie va également effectuer des travaux de remise en état des maçonneries du quai de l'Yser, du lundi 16 octobre 2023 au vendredi 1er décembre 2023 inclus.
En l’occurrence, le stationnement de tout véhicule sera interdit quai de l'Yser, côté chenal, au niveau de l'intersection avec la rue Jean-Antoine Belleteste.
Lire l'arrêté municipal.Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe
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Actualité 11/10/23
Dieppe – Château-musée, un destin partagé : Le colloque
Le 21 octobre 2023, dans le cadre des 100 ans du Musée de Dieppe, la Ville de Dieppe et les Amys du Vieux-Dieppe organisent un colloque exceptionnel et invitent la direction du Musée, des spécialistes et étudiants ayant étudié l’histoire de Dieppe, du château et de ses collections muséales à présenter leurs dernières recherches.
Deux thèmes y seront évoqués : ''Le Château de Dieppe : Histoire et archéologie'', de 9 h 30 à 12 h 30, et ''Coexister : Un musée dans un château'', de 14 heures à 16 h 30.
Avec la présence de nombreux intervenants, dont Christophe Maneuvrier, enseignant-chercheur en Histoire médiévale, Philippe Lardin, historien professeur honoraire de l’Université de Rouen, Grégory Quiquempoix, étudiant chercheur en archéologie à l'Université de Rouen, Véronique Montembault, restauratrice, spécialiste des cuirs...
De 9 heures à 16 h 30 dans les salles du Conseil municipal, au 2e étage de l'hôtel de ville
GratuitProgramme complet (PDF)
Contact : accueil du Musée de Dieppe et 02 35 06 61 99Conception graphique : Ludwig Malbranque – Ville de Dieppe
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Actualité 02/10/23
7 et 8 octobre : coups d’œil dans le rétro
Les 7 et 8 octobre, le Rallye historique organise en parallèle le 1er Festi-vintage sur les pelouses.
Un nouveau virage. Au départ de la plage de Dieppe à 13h15 le 7 octobre et à 8 heures le 8 octobre, environ 80 véhicules de plus de 30 ans et véhicules d’exception de plus de 25 ans inscrits au 4e Dieppe Rallye historique traversent le Pays de Caux. Le principe ? Suivre un itinéraire à l’aide d’un road- book fléché et métré, tout en respectant des moyennes que l’organisateur a fixées. Les non respects des moyennes sont sanctionnées par des points de pénalité, les concurrents n’ayant pas connaissance du positionnement et du nombre de contrôles. Au final, ces pénalités permettent d’établir un classement dit “de régularité”. Cette épreuve propose aussi une catégorie “navigation découverte” (sans contrainte de moyenne) et un challenge Alpine pour les nouvelles A 110.
Camping, rock, pin-ups, tatouages…
Le 7 octobre, de 9 heures à 23 h 30, et le 8 octobre, de 9 heures à 18 heures, le Dieppe Festi-vintage prend ses quartiers sur les pelouses de front de mer. De nombreuses animations gratuites attendent le public : exposition d’anciens tracteurs, camions de pompiers et véhicules (motos, mobylettes, autos américaines...), installation d’un camping type années 60 et d’un camp militaire avec l’association 89e Dius, concerts rock (Cheap Sunglasses, Big Dood Hot Swingers, Route 590), cabaret et défilé de pin-ups avec Lady Beverly, danses avec Dieppe Country Liners, stands tatouage et barbier....
• Plus d'infos sur le site de Dieppe Rallye historique
© Photo d'illustration : Pascal Diologent
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Actualité 29/09/23
Grande collecte photos du sport dieppois
Vous êtes sportif ou ancien sportif, bénévole, supporter, photographe… ? Vous possédez dans vos archives des photographies anciennes et/ou récentes (en tirage papier ou en format numérique) de moments sportifs dieppois ? Alors prêtez-les nous !
À l’horizon des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le Fonds ancien et local, le service des Sports et le service Communication de la Ville de Dieppe veulent constituer un grand album photos de l’histoire du sport dieppois, qui sera exposé durant l’Olympiade.
Jusqu’à fin décembre 2023, venez déposer vos clichés dans un des lieux suivants :
- Médiathèque Jean-Renoir
- Hôtel de ville
- Maison des sports (centre-ville)
- Maison Jacques-Prévert (Janval)
- Pôle La Fontaine (Les Bruyères)
- Mairie annexe de Neuville
- Bib’-ludo du Drakkar (Neuville)
- Espace Camille-Claudel (Val Druel)
Chaque donateur doit signer un contrat de don de reproductions numériques de ses archives. Tous les sports, toutes les pratiques, y compris celles des loisirs hors des terrains de sport, sont les bienvenus à l’exception des photographies issues des réseaux sociaux ou de sport mécanique.
Un comité sera chargé de valider les photos les plus pertinentes. Les documents seront ensuite rassemblés et, le cas échéant, scannés par le service Communication, avant de faire l’objet d’une exposition grand public l’été prochain au cours d’un temps fort convivial.
Les clichés originaux seront restitués à leur propriétaire sous un délai d’un mois.
Contact : Fonds ancien et local au 02 35 06 63 35
Pour les photos numériques vous pouvez les envoyer aux formats Jpeg, Png et Tiff en précisant vos noms, prénoms et le contexte de la prise de vue à journaldebord@mairie-dieppe.fr.
Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe
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Actualité 11/09/23
16 et 17 septembre : le week-end du patrimoine
Pour les Journées européennes du patrimoine (JEP), les équipes de Dieppe Ville d’art et d’histoire, du Musée, du Fonds ancien et local et des partenaires culturels de la cité ont concocté un riche programme gratuit sous le thème du “Patrimoine vivant”.
•Télécharger le programme complet des JEP 2023 à Dieppe
Sont proposés : des visites guidées et des expos sur l’histoire de Dieppe (Dieppe au Moyen-Âge, Dieppe station balnéaire, Canot le Côte d’Albâtre, Dieppe et le Canada…), un pan sur la Seconde Guerre mondiale (ouverture du Mémorial du 19 août 1942, visite du Bunker de Puys, histoire du bombardier anglo-canadien Halifax...), l’accès libre aux lieux de culte, de culture (Estran-Cité de la mer) ou méconnus (serres municipales, fonds ancien, Les dentelles), un concert du Chœur Saint- Rémi à l’église Saint-Rémy, des Tribunes d’orgue et même du jeu avec l’asso Questions pour un champion.
Le château, édifice vivant
Il est ouvert et accessible gratuitement lors du week-end des JEP, les 16 et 17 septembre de 10h à 18h. La Cie du théâtre de la Bataille propose La vie de château !, pour partir à la rencontre de personnages qui ont marqué l’histoire de Dieppe (Jehan Ango, Duchesse de Berry, Camille Coche...) le temps d’une déambulation au sein même du château. Spectacles visibles samedi et dimanche à 10h10, 11h40, 14h30 et 16h15. Réservation obligatoire au 02 35 06 61 99.
Les Amys du Vieux-Dieppe propose une découverte ludique du patrimoine du Pollet sous forme de BD ainsi qu’une expo de photographes dieppois, à voir tout le week-end de 10h à 18h à la salle pédagogique. Par ailleurs, il est encore temps de plonger Sous les eaux, épaves de la côte d’albâtre, de10h à 18h. Des visites expresso (30 minutes) de l’expo temporaire du Musée ont lieu le samedi à14h et 15h, le dimanche à 11h,14h et 15h. De son côté, l’association Terres et Mers d’ivoire propose de (re)découvrir l’histoire des ivoires sculptés, tout le week-end de 10h à 18h à la salle des ivoires.
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Actualité 08/09/23
Participez à la Corrida et gagnez le droit de courir le Marathon pour tous de Paris 2024
Dans le cadre du label Terre de Jeux 2024, la Ville de Dieppe fait remporter quatre dossards pour participer au Marathon pour tous de Paris 2024 aux participants de la Corrida, le 23 septembre. Explications.
Pour la première fois de l’histoire, Paris 2024 propose aux spectateurs de se lever des gradins pour vivre l’expérience des Jeux dans la peau d’un athlète. Ainsi, le Marathon pour tous de Paris 2024 se déroulera sur le même parcours que la mythique course du Marathon Olympique, le 10 août, de nuit, entre Paris et Versailles. Une distance plus courte de 10 kilomètres sur ce même parcours sera également proposée pour permettre à chaque sportif – confirmé et débutant, jeune et moins jeune – de vivre une expérience unique pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024 Plus de 2 000 membres du Club Paris 2024 ont d’ores et déjà remporté leurs précieux sésames et seront présents sur la ligne de départ en clôture des Jeux.
La Ville de Dieppe, labellisée Terre de Jeux 2024, offre la possibilité pour les participants de la Corrida, organisée en partenariat avec le Stade Dieppois et qui sera courue le 23 septembre en cœur de ville, de remporter également leur dossard pour le Marathon Pour Tous.
Quatre dossards sont à gagner, soit deux femmes et deux hommes.
Pour tenter de les remporter, rien de plus simple :
1- Il faut tout d'abord, au préalable, s'inscrire à l'épreuve « adultes » (à partir de 16 ans) de 7 kilomètres de la Corrida (corridadedieppe.fr).
2- Le jour de la course, le 23 septembre, après avoir retiré son dossard pour la Corrida, sur le front de mer, il faudra ensuite se rendre sur le stand du service des sports (identifié avec des flammes Terre de Jeux), muni de son smartphone, où il sera proposé de s'inscrire au tirage au sort pour remporter son dossard pour le Marathon pour tous en scannant un QR code.
3- Pour être retenu pour le tirage au sort, il est impératif de franchir la ligne d'arrivée de la Corrida.
4- Après la course, le tirage au sort sera effectué pour désigner les quatre heureux participants qui pourront prendre le départ du 10 kilomètres du Marathon pour tous.
Pour celles et ceux qui n’ont pas encore obtenu leur dossard pour le Marathon Pour Tous, rendez-vous sur le site du Club Paris 2024 pour relever des défis et tenter de remporter un dossard.
© Photo d'archive : Erwan Lesné - Ville de Dieppe
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Actualité 07/09/23
François Morel : « Ce qui à première vue paraît inutile s'avère indispensable »
Sensibles et drôles, le comédien, humoriste, poète et chroniqueur de France Inter, François Morel, et son fils Valentin, auteur, forment un duo atypique qui se produira sur la scène du conservatoire Camille Saint-Saëns, vendredi 6 octobre à 20 heures dans le cadre du festival Terres de paroles. Ils se donnent ainsi la réplique dans le spectacle Le dictionnaire amoureux de l’inutile inspiré de l’ouvrage qu’ils ont rédigé à quatre mains. Interview.
Pour les Normands que vous êtes, jouer à Dieppe ça a une saveur particulière ?
François Morel : « Le normand que je suis me semble géographiquement assez éloigné du normand dieppois. Quand, enfant, j'allais à la mer, c'était plutôt du côté du Mont-Saint-Michel, de Port-en-Bessin ou de Luc-sur-Mer. Dieppe, c'était loin ! J'ai heureusement eu le bonheur en grandissant de mieux connaître ce qu'on appelait jadis la Haute-Normandie riche à mes yeux de paysages extraordinaires et d'amis précieux ! »Valentin Morel : « Né à Paris, je ne suis normand que d’origine, par mon père, ma mère et les étés d’enfance passés dans l’Orne chez mes grands-parents. Aujourd’hui, mon lien avec la Normandie est plus nostalgique que concret, fait de souvenirs lointains et ensoleillés. Ceci étant précisé, je n’éprouve, moi, aucune difficulté à m’accaparer le territoire dans son ensemble, de Vernon au Mont-Saint-Michel, et à me revendiquer normand quand je suis à Paris. Venir à Dieppe c’est donc comme jouer à la maison. »
Vous êtes les auteurs d’un dictionnaire amoureux de l’inutile que vous adaptez désormais à la scène. Pourquoi l’inutile ?
F.M. : « Ce n'est pas spécialement un livre consacré à l'absurde même si l'absurde y est parfois présent. Je crois que le point de départ, c'était l'idée des ricochets. Quand on est au bord de la mer et qu'on s'amuse à saisir un galet plat pour essayer de le faire rebondir sur l'eau, ce n'est pas un instant critique. On ne peut pas spécialement s'en prévaloir le soir en rentrant chez soi mais ça peut être un instant de vie irremplaçable pour peu que ce soit un jeu entre un adulte et un enfant, un joli moment de complicité et d'amusement. Alors, on a commencé comme ça, tenter de collectionner tout ce qui à première vue paraît inutile et cependant s'avère indispensable... »V.M. : « Et nous nous sommes rapidement rendus compte, à condition de trouver le bon angle, que ce thème de l’inutile était suffisamment large pour nous laisser la liberté de parler de quasiment tout ce que nous voudrions. Parce que tout peut être regardé, selon le point de vue, comme étant inutile. »
C’est d’abord un ouvrage. Qu’est-ce qui vous a amené à le présenter sur les planches ?
F. M. : « On n'aurait sans doute pas eu l'idée de faire une lecture-spectacle si on n'avait pas été sollicité. On s'est rendu compte que dire des extraits sur scène (parce qu'on ne peut pas tout lire : le livre est trop épais !) provoquait de jolis moments, parfois drôles, parfois émouvants, et nous permettait de voyager dans un imaginaire assez riche qui pouvait nous faire passer de l'évocation d'Intervilles à la baguette de Léonard Bernstein en passant par les canulars de Jean Carmet ou la disparition d'un animal familier... »V.M. : « Que les spectateurs ne s’inquiètent pas trop, si nous lisons effectivement nos textes, nous avons essayé de leur éviter au maximum l’ennui. Le rythme est enlevé, il y a un piano sur scène, de la musique, des projections vidéo, nous nous déplaçons dans l’espace, il y a même des effets lumière grandioses ! C’est pas de la comédie musicale, mais presque… »
Parlez-nous de cette relation père-fils. Qu’est-ce qui vous a amené à partager la scène ?
F.M. : D’abord, écrire un dictionnaire tout seul me semblait impossible. J'ai donc proposé à Valentin, dont je connaissais la plume et l'esprit, de le faire à deux. Quand il a été question d'en présenter une version scénique, c'était tout naturel qu'on poursuive l'entreprise à deux ! »
V.M. : « Plus jeune, j’aurais sûrement refusé de travailler avec mon père. Orgueilleux, je voulais me construire sans son aide, ne pas faire comme tous les fils de. Avec l’âge, ces barrières tombent: on se rend compte que le temps passe vite et qu’il faut profiter de ses parents. C’était aussi l’occasion, par le travail, de se découvrir l’un l’autre à travers un nouveau prisme. »
Valentin, cette expérience de la scène a-t-elle fait évoluer vos rapports à tous les deux ?
V.M. : « L’écriture, d’abord, a changé des choses. L’enjeu était de prouver, à moi d’abord puis à mon père, que je pouvais être à la hauteur. Mais même si le livre a été écrit à quatre mains, l’écriture reste un travail solitaire. On peut revoir des détails ensemble mais plus difficilement le fond. Sur les lectures il y a plus un travail de duo. N’ayant jamais fait de scène, ni pris de cours de théâtre, je me retrouve comme un étudiant, j’apprends de son expérience, j’essaie de suivre à la lettre les conseils de mon père. « Si tu dis ça comme ça, si tu prends un temps à ce moment-là, tu verras, les gens vont rire. » Jusqu’à maintenant il a toujours eu raison ! »
Vous prenez plaisir tous les deux à vivre cette expérience partagée ?
F. M. : « Oui, c'est naturellement parce qu'on prend du plaisir en le partageant avec le public qu'on vit cette expérience. Valentin apporte souvent une dimension personnelle, sensible, qui rend la soirée plus touchante que ce que l'on aurait pu imaginer au départ... »V.M. : « Un plaisir immense ! Celui de la découverte de la scène, de dépasser la peur du public, le plaisir de s’améliorer d’une représentation à l’autre, de rencontrer les spectateurs. Et de passer du temps avec mon père, ce qui n’est pas, pour le coup, inutile. »
Propos recueillis par Stéphane Canu
© Photo : Arnaud Journois
Bio express
François Morel
Né en 1959 à Flers (Orne). Acteur, metteur en scène, humoriste, essayiste, chanteur et chroniqueur à France Inter.
Valentin Morel
Né en 1989 à Paris. Auteur.
Le spectacle
Le dictionnaire amoureux de l'inutile
Adapté de l'ouvrage déjà écrit à quatre mains par François et Valentin Morel et publié chez Plon, il sera joué le vendredi 6 octobre à 19 heures au conservatoire Camille Saint-Saëns dans le cadre du festival Terres de paroles.
Complet. Se présenter 30 minutes avant le spectacle.
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Actualité 06/09/23
Action cœur de ville : 286 logements construits ou rénovés d'ici trois ans !
Plus de 17 millions d'euros pour accompagner les propriétaires ou les bailleurs dieppois dans leurs projets. C'est ce que va permettre la signature du nouvel avenant “immobilier” de la phase 2 du programme “Action cœur de ville”, qui a eu lieu hier à l'hôtel Mercure. Ainsi, entre 2023 et 2026, ce ne sont pas moins de 286 logements qui seront produits ou rénovés sur le périmètre (hyper-centre, Bout du quai, Le Pollet, quartiers Saint-Pierre, Pasteur et Dieppe Sud), avec, en particulier, des opérations importantes sur l'ex-site industriel Lebon Vinco et dans le centre-ville historique.
Inscrite depuis 2018 dans ce dispositif de l'État qui vise à soutenir financièrement les opération de redynamisation des centres urbains, la Ville de Dieppe a déjà bénéficié de 15 millions d'euros sur les cinq dernières années, ce qui a permis de construire ou rénover 256 logements en cœur de ville.
"Quand il y a moins à distribuer (NDLR : l'enveloppe "logement” d'Action cœur de ville sur le plan national passe de 1,4 milliards d'euros de 2018 à 2022 à 250 millions annuels entre 2023 et 2026), Dieppe arrive à en prendre plus !, note Alain Piquet, président du Comité régional d'Action logement Normandie, qui accompagne et finance les porteurs de projets Action cœur de ville. Dieppe est le champion d'Action cœur de ville en Normandie. Le processus d'Action cœur de ville fonctionne bien, car on a la mainmise sur les projets et les partenaires. Les projets sont de qualité. On repart sereins pour cette 2e phase !"
Signataire de cet avenant, aux côtés de Patrick Boulier, président de l'Agglo Dieppe-Maritime, d'Alain Piquet, Régis Bellencontre et Joël Le Ny d'Action logement Normandie, Nicolas Langlois se réjouit de ce nouvel élan porté au logement. "C'est du concret pour loger les salariés de notre territoire de vie, surtout en vue des projets industriels majeurs autour d'Alpine, du port de Dieppe ou des deux futurs réacteurs nucléaires, a déclaré le Maire de Dieppe. Pour faire face aux défis du logement, nous sommes fortement mobilisés, mais il faut évidemment aller beaucoup plus loin. Il faudra que l'État soit au rendez-vous, dans une situation où nationalement tous les signaux sont au rouge, avec une production de logements sociaux comme de logements privés catastrophique, ou encore le développement anarchique des locations Airbnb contre lequel il faut légiférer. À Dieppe, nous prenons et allons prendre dans les prochaines semaines de nouvelles initiatives pour le droit au logement pour toutes et tous."
© Photo : Pierre Leduc - service Communication de la Ville de Dieppe
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Actualité 05/09/23
Des chantiers pour “prendre soin des habitants”
La traditionnelle visite des chantiers par les élus du conseil municipal s'est déroulée le 25 août, en présence des techniciens de la Ville et de la presse locale. L'occasion de faire un tour d'horizon des chantiers achevés, en cours ou à venir cette année, comme le remplacement du pont parc François-Mitterrand, les aménagement de sécurisation routière et des espaces de jeux extérieurs aux Coteaux, la restructuration du gymnase Robert-Vain, le remplacement des éclairages sur le front de mer, la modernisation de la Maison des sports ou du gymnase de l'école Broglie, la création d'un terrain de pétanque au Val Druel, les travaux dans les écoles…
• Lire et/ou télécharger la plaquette de la visite des chantiers 2023 : https://vu.fr/VIWs
Des livraisons de chantiers à venir
Elles sont attendues dans les prochaines semaines, à commencer par celle du gymnase Robert-Vain (Anru 2, Neuville), totalement réhabilité. Aux Coteaux, si un terrain de pétanque a été créé et si un terrain de football a été engazonné, une nouvelle aire de jeux doit remplacer les installations existantes. D’autres travaux sont programmésd’icilafindel’année. À Janval,des jardins familiaux vont être construits à la Cité Million.
Sur le pôle Delaune, si le permis de construire du futur centre aquatique doit être déposé en septembre, les vestiaires du fitness vont être refaits au gymnase. Aux Bruyères, une clôture va être installée pour un espace d’écopâturage au niveau des jardins partagés. Parmi les travaux dans les écoles qui vont se finaliser lors des vacances d’octobre, à noter celui de la rénovation du hall d’entrée de l’école Jacques-Prévert (Neuville).
À la médiathèque Jean-Renoir, l’ascenseur va être remplacé. Sur le front de mer, un terrain de basket 3 contre 3 va être construit, avec, en parallèle, un marquage au sol “design actif” incitant à faire de l’exercice. Des modules de street workout (sportmêlantgymetmusculation)vont êtreaussiposés.
Des aménagementsde sécurité sont prévus au Pollet pour anticiper la hausse de trafic lors des travaux du pont Colbert, rues Joseph-Brunel, Maurice- Levasseur, de Bonne Nouvelle, ainsi que route de Bonne nouvelle. Trois consignes abritées et sécurisées pour le stationnement de vélos (6 places) vont s’implanter au Bout du quai, près de l’église Saint-Jacques et en face de la résidence autonomie Marcel-Paul.
© Photo : Erwan Lesné - Ville de Dieppe
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Actualité 31/08/23
Une rentrée soigneusement préparée
Les élèves de maternelle et d'élémentaire reprennent ce lundi le chemin des écoles. Une rentrée préparée méticuleusement par les services municipaux, en lien avec les équipes éducatives, et placée sous le signe des solidarités concrètes.
Les effectifs
2202 élèves font leur rentrée ce lundi 4 septembre dans les 20 écoles de la ville, soit 795 en maternelle et 1407 en élémentaire.
Les enfants accueillis dès 2 ans
Particulièrement bénéfique à l'éveil et au développement des enfants, l'accueil dès deux ans s'est développé aux sein de l'ensemble des écoles maternelles de la ville avec près de 80 enfants pris en charge. Des dispositifs spécifiques ont même été créés au sein des écoles Feldman, Delaunay et Langevin.
Le service public municipal engagé
126 agents municipaux du service Education de la Ville de Dieppe veillent au quotidien à assurer l'accueil des enfants et à fournir des conditions d'enseignement adaptés, en lien avec les enseignants. Les missions sont diversifiées avec 42 Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles), 41 agents de mixité, 18 responsables d'office, 3 gardiens d'école, 3 agents de maîtrise et 19 agents horaire.
Du mouvement chez les enseignants
Plusieurs écoles ont connu des changements au sein de leur direction.
- Maternelle :
- départ de Mr Charpentier Philippe, directeur de l’école maternelle Louis de Broglie (retraite), remplacé par Mr Jacquot Xavier (mouvement),
- départ Mme Duhamel Françoise, enseignante (retraite).
- Élémentaire :
- départ de Mr Wallaert Thomas, directeur de l’école élémentaire Louis de Broglie (retraite), remplacé par Mme Pellerin Cécile (mouvement),
- départ de Mr Jacquot Xavier, directeur de l’école élémentaire Paul Langevin (mouvement), remplacé par Mme Vain Aurélie,
- départ de Mr Allaire Sébastien, directeur de l’école Pierre Curie (mouvement), remplacé par Mr Million-Brodaz,
- départ de Mr Belletre Laurent, enseignant (retraite).
De nombreux travaux dans les écoles
Une vingtaine de chantiers et plus d'1,5 million d'euros d'investissement. La Ville de Dieppe a poursuivi encore durant l'été son programme d'entretien et de modernisation des écoles. Retrouvez le détail au sein de la plaquette consacrée aux chantiers de la Ville de Dieppe en cliquant ici.
Des moyens contre l'échec scolaire
Le Programme de Réussite Éducative (PRE) et le Programme Éducatif Local (PEL) ont pour but de favoriser l’égalité des chances pour tous les enfants, en accompagnant dès le plus jeune âge les plus fragiles et en les soutenant dans leurs apprentissages.
Le nombre d’ateliers évolue en fonction des besoins d’une année sur l’autre. Ainsi, en 2022/2023, 21 ateliers ont été mis en place, encadrés par 22 intervenants, qui ont accueilli une centaine d’enfants répartis entre la moyenne section de maternelle et le CM2.
Un éveil à la culture
Depuis 2021, la Ville de Dieppe propose des parcours culturels aux élèves de maternelle et d'élémentaire. Ainsi, pour l’année scolaire 2022 – 2023 il a été proposé aux écoles 2 parcours courts et 18 parcours longs créés par des artistes du territoire. Les écoles ont largement investi le dispositif. L'année passée, 575 élèves ont participé, soit 32 classes provenant de 12 écoles.
Pour l’année 2023/2024 le dispositif est renouvelé.
La Ville finance les fournitures
Cette année encore, la Ville attribue une dotation à chaque école et pour chaque élève (40 € en élémentaire et 24 € en maternelle ou encore respectivement 45 et 50 € par élève dans les classes Ulis — Unités localisées pour l'inclusion scolaire — en maternelle et en élémentaire) permettant de prendre en charge les fournitures scolaires et évitant ainsi ces dépenses à l'ensemble des familles.
Des tarifs de cantine en baisse
C'est le geste fort de la rentrée. Malgré l'inflation et sans diminuer la qualité des repas servis, la municipalité a décidé de baisser les tarifs de la restauration scolaire pour l'immense majorité des familles facturées. Pour en savoir plus, cliquez ici. Les élèves de maternelle prennent par ailleurs chaque jour un petit déjeuner préparé par L'assiette dieppoise.
Une aide à la rentrée
Afin de permettre aux familles en difficulté de préparer plus sereinement la rentrée scolaire, une aide, soumise à conditions de ressources, est proposée aux familles dieppoises et neuvillaises par le Centre communal d'action sociale. Elle se présente sous la forme d'un chéquier comprenant quatre chèques de 10 € à utiliser pour les fournitures scolaires, l’habillement et les loisirs. Les chéquiers seront disponibles du 18 septembre au 20 octobre 2023. Le calcul est effectué selon le revenu fiscal de référence. Informations auprès du CCAS au 02 35 06 62 00.
Un coup de pouce aux loisirs
Cette aide de la Ville peut aller jusqu’à 120 € sur le montant de l'adhésion à une association ou d'une licence au sein d'un club sportif mais aussi de l’achat d’un équipement. Pour l’obtenir, il faut avoir entre 3 et 19 ans, résider à Dieppe, disposer d’un quotient familial inférieur ou égal à 800 €. Contact: 02 32 14 55 78 ou anne.blondel@mairie-dieppe.fr.
P'tits explorateurs et école municipale des sports
Les mercredis, six centres de loisirs fonctionnent : 3 pour les maternelles et 3 pour les élémentaires.
Dans ce cadre, l'école municipale des sports animé par le service des sports de la Ville de Dieppe propose de nombreuses activités complétées par l'apprentissage de la voile avec le Cercle de Voile de Dieppe, et de la natation.
Les accueils de loisirs
Trois centres de loisirs fonctionnent durant les petites et grandes vacances et sont uniquement réservés aux élèves scolarisés en maternelles. Les élémentaires sont pris en charge par des associations de l’éducation populaire.
L’équipe d’animation construit, en lien avec les deux coordinateurs et le responsable de service, les
programmes des animations qui sont différents pour chaque structure. Ainsi, tous les centres de loisirs fonctionnent indépendamment les uns des autres. Il arrive cependant qu’ils se regroupent pour partager une activité ou un temps fort (pique-nique, village des sports…).
L'année passée, la fréquentation sur les temps du mercredi et sur les vacances scolaires a augmenté.
Le Conseil des enfants…
De nouveaux volontaires siègeront cette année. Sur la période 2022-2023, deux assemblées plénières se sont tenues. Les enfants ont travaillé, en lien avec leur école et les animateurs référents sur les projets suivants : fresque dans les préaux des écoles, jardinage et potager dans les écoles, boum solidaire, réalisation d’affiches sur les déchets. Les enfants ont participé le samedi 8 avril au « Temps d’échange – Temps de restauration » et ont eu l’occasion de s’exprimer à la fois sur les menus et les activités proposées sur les temps du midi. Une visite à l’Assemblée Nationale s’est déroulée le 3 mai 2023 où tous les enfants étaient présents.
… et le Conseil des ados
Le jeunes de 11 à 15 ans ont désormais aussi leur instance. Pour participer au Conseil des ados et prendre part à la vie de la ville, apporter ses idées ou organiser des projets collectifs, contacter le service Jeunesse au 02 35 06 63 50 ou à dieppejeunesse@mairiedieppe.fr.
Les étudiants soutenus
Une aide financière peut être octroyée dans le cadre d’études hors Dieppe. Ce soutien financier peut concerner l’inscription, la mobilité, le logement, l’achat d’un ordinateur… Plus d’infos : service jeunesse au 02 35 06 63 50.
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Actualité 31/08/23
Des repas ''Moins cher et aussi bon'' à la rentrée
Vous avez peut-être remarqué cette campagne d'affiches dans la cité d'Ango. En cette rentrée 2023, alors que flambent les prix des denrées, la Ville de Dieppe a pris la décision inédite de diminuer les tarifs de la restauration scolaire dans les écoles maternelles et primaires.
Concrètement, un repas sera facturé entre 15 centimes, tarif le plus bas hors gratuité, et 4, 98 euros, tarif maximum, en fonction des revenus du foyer, avec un gel du tarif sur les dernières tranches. Un effort de justice sociale qui se chiffre à 300 000 euros pour la commune, le coût unitaire d’un repas représentant 12,5 euros, entre sa confection et la prise en charge de l’enfant sur la pause méridienne, avec 169 agents municipaux mobilisés dans 19 restaurants scolaires.
Cet effort ne se fait pas au détriment de la qualité, car, plus que jamais, la qualité et l’équilibre des assiettes demeurent les objectifs de l’Assiette dieppoise, qui privilégie circuits courts et produits frais, avec près de 50 % de produits biologiques ou issus de filières labellisées qualité.
Lire le communiqué de presse (PDF)
Un dossier à lire dans le Journal de bord de septembre (PDF)Conception graphique : Samuel Gros - Ville de Dieppe
Photos : Erwan Lesné / Pascal Diologent - Ville de Dieppe -
Actualité 31/08/23
Le permis de louer entre en vigueur ce 1er septembre
À compter du vendredi 1er septembre 2023 le permis de louer entre en vigueur sur une partie du quartier du Pollet.
Ce dispositif créé par la loi ALUR (pour l'Accès au Logement et l'Urbanisme Rénové) poursuit trois grands objectifs :
- Assurer un logement digne aux locataires ;
- Améliorer le patrimoine et l'attractivité résidentielle du territoire ;
- Lutter contre les marchands de sommeil.
"L’autorisation préalable de mise en location", dit permis de louer, s'adresse aux propriétaires bailleurs du parc privé souhaitant mettre à la location leur bien destiné à l'habitation principale, meublé ou non meublé, au sein du périmètre concerné (cliquer pour agrandir). Elle permet de garantir aux locataires un bien conforme aux normes de sécurité et d'habitabilité.
Ainsi, à compter du 1er septembre 2023, les propriétaires concernés doivent obligatoirement obtenir une autorisation de la commune avant toute conclusion d'un nouveau contrat de location.
- Retrouvez le guide complet du permis de louer expliquant l’ensemble des démarches (PDF) ;
- Retrouvez toutes les informaions sur la page dédiée.
Pour plus d'informations sur les démarches vous pouvez contacter le Service de Lutte contre l'Habitat indigne par téléphone au 02 35 06 63 58 ou par courriel à l'adresse suivante permisdelouer@mairie-dieppe.fr.
Photo : Euclyd Eurotop / Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe
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Actualité 30/08/23
La fête des associations et du sport, le rendez-vous des activités en cette rentrée
C’est le rendez-vous incontournable de cette rentrée : dimanche 3 septembre, associations et clubs sont conviés à la Fête des associations et du sport dans le parc François-Mitterrand. Près de 140 associations y participent.
« Chaque année, la fête des associations et du sport, dont c’est la 9e édition, prend une ampleur supplémentaire, se félicitent les adjoint(e)s Laetitia Legrand et Luc Desmarest. C’est en effet une vitrine pour les activités proposées par le mouvement associatif et sportif local sur Dieppe. Le temps d’ouverture avec les nouveaux habitants leur permet, qui plus est, de prendre connaissance de la grande diversité du tissu local dieppois ».
Qu’on en juge : près de 140 associations d’ores et déjà présentes ce jour avec une très grande diversité, un espace bien-être, des démonstrations et des animations sur les différents planchers…. Un grand plan permet à chacun de se repérer sur la fête. Un QR Code renvoie à la brochure de la Maison des associations.
La fête s’ouvre à 10 heures, elle se clôture à 17 h 30 à l’auditorium.
Dès 10 h 30, est organisée la cérémonie d’accueil des nouveaux habitants à l’auditorium, un temps destiné à faciliter leur installation et leurs démarches. Toute la journée durant, démos et animations se succèdent. Au détour de votre passage à la Fête des associations et du sport, vous pouvez, par exemple, chiner à la foire à tout organisée par l’Amicale des employés municipaux, sur le parking derrière la mairie.
À noter la présence du stand coopératif La Petite Conserverie Projet coopératif des centres sociaux du territoire, elle a pour objectif l’accès à une nourriture saine et locale. Le surplus des agriculteurs et autres partenaires est cuisiné, mis en conserve et distribué avec un véhicule adapté. Espace animé et piloté par la MJP, l’Archipel et son équipe de bénévoles et professionnels, la Micro-Folie Dieppe présentera sa version mobile avec son musée numérique, son espace VR et son espace de jeux vidéo.ZONE - PLANCHER
- 10 heures - 10 h 45 : Zanshin Budo Kaï
- 11 heures - 11 h 45 : Acro’ sport 76
- 14 heures - 14 h 45 : Club Municipal de gymnastique
- 15 heures - 15 h 45 : Aïkido club dieppois
- 16 heures - 16 h 45 : Cercle de lutte dieppois
Vous pourrez également découvrir et pratiquer les disciplines suivantes : savate française, hockey sur glace, chessboxing, baseball, golf, sport adapté (rugby), escrime et tennis de table.
ZONE - AUDITORIUM
- 10 h 30 - 12 heures : accueil des nouveaux habitants
- 14 heures - 14 h 30 : Accordéon club dieppois
- 14 h 30 - 15 heures : Signe sans frontière + Amies et amis de la Commune de Paris 1871
- 15 heures - 15 h 30 : Afrika music
- 15 h 30 - 16 h 15 : Amal’gamme
- 16 h 30 - 16 h 45 : Osons l’Opéra
- 17 h 45 : Tour d’Ivoire (chorale)
ZONE - CASCADE
- 10 heures - 11 heures : Énergie Association (yoga)
- 11 heures - 12 heures : Amicale Laïque de Neuville-lès-Dieppe (fit’stick et stretching)
- 12 heures - 13 heures : Cascades (qi-gong)
- 13 heures - 14 heures : Leslie sophro (sophrologie)
Places limitées. Les initiations sont sur inscription à l’espace Bien-être (cascade)
17 h 30 : Clôture de la fête
Télécharger / Consulter le programme complet et le plan (PDF) -
Actualité 10/08/23
« Un lieu pour les musiques actuelles »
Né il y a sept mois, le collectif La Machine prépare un projet novateur. Porté par Olga Giardelli (musicienne et professeure de musique) et Jimmy Fauvel (programmateur culturel), il a vocation à créer un lieu dédié aux musiques actuelles et notamment aux musiques alternatives et à organiser des événements à l'image du festival La Machine à boujoux qui se déroulera les 23 et 24 septembre. Entretien.
Comment est né votre projet de créer une salle de musiques actuelles ?
Jimmy Fauvel : "A Dieppe, il manque un lieu dédié uniquement aux musiques actuelles pour que les groupes émergeants puissent se produire. Ce serait un lieu ressource où les musiciens pourraient se rencontrer et avoir des outils à disposition, de la documentation, un accès à des intervenants qui les encadreraient dans le développement de leur carrière. Où ils pourraient répéter et s'installer en résidence. Avant de s'exporter hors région, il faut avoir un set musical qui tienne la route. Il y a un potentiel et il y a une attente très forte."Olga Giardelli : "Il y a clairement un besoin. Au-delà de la salle de concert, d'un lieu ressource pour les artistes, la Machine est un lieu qui va appartenir à ses adhérents. L'idée est, qu'en plus des concerts qui sont le centre névralgique du projet, la Machine soit accessible tous les vendredis et samedis soirs même s'il n'y a pas de concert programmé. Les adhérents pourront y passer de la musique. Ce sera un lieu de vie. Le mercredi et le samedi après-midi, ce sera pour les enfants et les ados."
Où se situera cette salle ?
Olga Giardelli : "On a un lieu. Il se trouve au 132 bis avenue de la République à Neuville. C'était impératif pour nous d'être au cœur d'un quartier. On va pouvoir travailler avec les habitants et les associations. Nous allons mener une étude acoustique. Les voisins s'inquiètent et c'est normal. Il y a des lois qui sont très strictes et que nous allons évidemment respecter. Cela conduira à des préconisations sur les matériaux à utiliser pour qu'il n'y ait pas de nuisances. Il n'est pas question d'ouvrir et que cela embête les voisins. On les associera et on sera complètement transparents avec eux. Nous avons donc des travaux d'aménagement à réaliser et nous espérons une ouverture de la salle en 2024."Jimmy Fauvel : "on ne va pas bosser tout seul dans notre coin. On veut mettre en place un projet collectif qui s'inscrira dans le cadre de l'éducation populaire. Il sera ouvert à tous parce que nous souhaitons que ce lieu permette à toutes et tous d'accéder à la culture. Cela passe par le prix. On ne veut pas imposer un tarif parce que quand on impose un tarif pour un concert, souvent il est dans un moyenne trop haute pour des gens qui ont peu de moyens. C'est un frein alors que tout le monde a droit à la culture."
Votre démarche autour des tarifs pour accéder aux concerts est assez novatrice elle aussi…
Olga Giardelli : "Quand un prix est imposé, les gens ne viennent en général voir que ce qu'ils connaissent déjà et ne vont pas prendre le risque de la découverte. Ils vont venir consommer des spectacles. Ce qu'on attend dans ce lieu, c'est que ses occupants en soient les acteurs. En mettant en place un concept d'adhésion pour une période de trois mois, les gens pourront venir quand ils le souhaitent et ils viendront découvrir également. L'abonnement est à prix libre, avec un tarif conseillé de 50 euros pour un trimestre, ce qui nous permet d'être à l'équilibre. Mais chacun paye en fonction de ses ressources et de ses envies. Nous sommes aujourd'hui déjà 160 adhérents. Ce montre qu'il y a un intérêt fort et cela prend de belles proportions."Jimmy Fauvel : "Il y a un engouement du public dieppois et plus largement. Dieppe est une ville en plein boom. Alors il faut offrir aux gens qui vivent ici, qui viennent s'y installer, qui y viennent en vacances, des opportunités de sortie."
Quel type de programmation proposerez-vous ?
Olga Giardelli : "Il y a plein d'endroits qui ont une âme et proposent déjà des programmations. Nous avons envie de compléter l'offre. Les musiques actuelles, ce sont toutes les musiques amplifiées de 1950 à aujourd'hui. Certaines formes de jazz, la chanson française entrent aussi dans le cahier des charges des musiques actuelles. Dans notre programmation, nous allons le respecter ce cahier des charges avec des groupes locaux, régionaux et émergeants, des groupes britanniques également. On a fait un premier concert, hors les murs, au Domaine des Roches qui s'est super bien passé. C'était un concert de post-punk psyché (Mickle Muckle), de la musique alternative que le public n'avait jamais vraiment pu entendre avant à Dieppe. Le jazz, la chanson française, les groupes de reprise ont déjà une place à Dieppe. En revanche, les groupes de musique alternative n'ont que peu d'espace. Nous avons déjà été sollicités depuis six mois par une bonne soixantaine de groupes. C'est dire l'intérêt que notre démarche suscite."Vous organisez un festival les 23 et 24 septembre 2023 sous le chapiteau des Saltimbanques de l'Impossible dans le parc paysager de Neuville. C'est une façon d'amorcer votre projet ?
Olga Giardelli : "Complètement. Pour être honnête, on a fait fort. Entre le moment où on s'est lancé le défi de faire un festival, deux mois après tout était calé, avec une programmation complète. Avec ce festival, ça devient concret et cela montre le panel de programmation de la Machine avec une affiche très éclectique. Il y a des grosses pépites."Jimmy Fauvel : "Ca nous ancre sur le territoire. C'est d'ailleurs ce qui a conduit au choix du nom. On voulait un nom « terroir » bien implanté avec une identité forte."
Textes : Stéphane Canu; Photo : Pascal Diologent
Le festival La Machine à Boujoux
Le collectif La Machine organise son premier festival de musiques actuelles, samedi 23 et dimanche 24 septembre 2023 sous le chapiteau des Saltimbanques de l'Impossible (Neuville).
Au programme, Moo Box, un trio de rock extraverti venu de Rouen, Kaask, un groupe havrais qui mêle les influences rock, noise et rap, Baasta, du post punk qui nage entre histoires de charbon, ciels gris, Barbes D, compositeur, riddim maker et guitariste, réel activiste du reggae dub, DJ XYZ, DJ, beat maker, créateur de soirées mix pointues du Hip Hop, spectacle jeune public avec Les Lardons et bal musette le dimanche après midi.
Infos pratiques :
Samedi :
Ouvertures des portes à 18 h 30
Tarif : prix libre (conseillé 15€)Dimanche :
Spectacle jeune public à 11 heures (durée 1 heure)
Tarif : prix libre (conseillé 5€ par enfant, gratuit pour les accompagnant.e.s)
Bal musette à 15 heures (gratuit)Restauration sur place
Vous pouvez réserver dès maintenant vos places ici.
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Actualité 25/07/23
À vous la vie de château !
Les festivités du centenaire du Château-Musée se poursuivent avec un programme estival étoffé.
L’expo Sous les eaux fait surface. Objets de vie, de navigation ou d’armements, récits de naufragés,
carte animée des épaves, exploration de celles-ci via des films, des enregistrements sonores ou des casques de réalité virtuelle... Produite par le Musée, le Grieme et le Drassm, Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre à voir jusqu’au 17 septembre, du mercredi au dimanche de 10 heures à 18 heures.À visiter avec un guide. Découvrez l’expo temporaire d’archéologie sous-marine le 23 août, à 15 heures. Les 16 et 26 août à 15 heures, partez À l’assaut du château afin de replonger dans l’histoire et les évolutions de l’édifice médiéval.
Du modélisme naval en démo. Le 17 août, de 10 heures à 17h30, le Club de modélisme naval de Haute-Normandie expose ses navires de guerre miniatures. Le public pourra prendre les commandes d’une maquette et la faire voguer sur un bassin. Gratuit.
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Actualité 25/07/23
Foire d'été : le sens de la fête
Elle est attendue chaque année par les habitants avec impatience. La Fête foraine de Dieppe s’installe sur les pelouses du front de mer du 11 au 27 août. Les forains débarquent avec leur bonne humeur contagieuse et proposent plus de 120 attractions pour petits et grands. Les grands manèges à sensation seront bien présents pour faire le plein d’adrénaline tout comme les traditionnelles auto-tamponneuses, la pêche aux canards, le tir à la carabine ou encore l’indémodable chamboule-tout.
De quoi se forger de beaux souvenirs en famille ou entre amis, mais aussi l’assurance de partager un moment de pur plaisir en profitant également des nombreux stands de restauration. La fête et aussi du grand spectacle puisque les industriels forains proposeront à nouveau des feux d’artifice les samedis, mais aussi le 15 août.
• Foire d'été du 11 au 27 août, pelouses du front de mer. Plus d'infos sur le groupe Facebook Foire de Dieppe - Officiel.
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Actualité 18/07/23
Imen Es et Franglish en concert le 29 juillet, du bon son tout l'été !
L’été sera rythmé. De nombreux rendez-vous musicaux sont proposés durant La Belle saison. Le Casino, qui fête son 50e anniversaire, organise un concert gratuit sur les pelouses du front de mer le 29 juillet, dès 21 heures, avec deux têtes d’affiche : la chanteuse Imen Es et le rappeur Franglish (photo), dont la popularité continue de grimper, se partageront la scène.
Enfin, le 15 août, l’agglomération Dieppe-Maritime proposera également un événement sur le front de mer pour célébrer les 20 ans de sa création avec les For The Hackers.
De nombreuses autres dates sont au programme à l’image de celles de la Cie Le temps de chanter dans les quartiers (21, 28 juillet et 25 août). Les bars dieppois, particulièrement dynamiques, continueront de proposer des concerts (programme à retrouver chaque semaine, vendredi à midi, dans le Coin des bars sur la page Facebook de la Ville de Dieppe).
Mais ce n’est pas tout, l’association J’aime le Bout du quai organise à nouveau les Jeudis du quai. Des groupes locaux se succéderont sur les terrasses du quai Henri IV :
• Jeudi 20 juillet
18 heures - Bandou style
19 heures - Alain de Nardis, Touche manouche
20 heures - Los Desperados band
21 heures - Chepakois
• Jeudi 27 juillet
17 heures - Joris Bonvalet
18 heures - Blague à part
19 heures - Joséphine Blanc
20 heures - Didier Baiet
21 heures - Midnight storm
• Jeudi 3 août
18 heures - Stefano Maghenzani
19 heures - Aural, Penny
20 heures - Mr et Mrs Lago
• Jeudi 10 août
17 heures - Florence Lacaille
18 heures - Route 590
19 heures - Guitario
20 heures - Stinky hammers
21 heures - Goss
Jeudi 17 août
18 heures - Marcel Cloques
19 heures - Courvite Isabelle, Neo and the Winks
20 heures - Cafe’ In
21 heures - Éric Hallavant
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Actualité 06/07/23
Anru 2 : des fermetures de rues cet été à Neuville
En raison de travaux de rénovation urbaine (Anru 2) sur le secteur Bel Air/Coty, les rues de la Victoire, Aristide-Briand et du Marché seront barrées du 10 juillet au 30 août.
• Consulter la carte en ligne : https://vu.fr/sUWS.
Seuls les riverains pourront accéder, entre 17 heures et 8 heures, à leurs propriétés. À noter que, durant cette même période, les rues Mme René-Coty et Aspirant Bizien sont mises en impasse.
Des panneaux de signalisation seront installés sur place afin d’indiquer les déviations temporaires de circulation.
© Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe
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Actualité 05/07/23
Le graffiti se greffe aux cabines du front de mer les 15 et 16 juillet
Vous allez en prendre plein la vue ! Une quinzaine d’artistes de street art sera au rendez-vous de la 6e édition du festival Spray, sur le front de mer, les 15 et 16 juillet. Le public pourra assister en temps réel à des performances de graffiti sur d’anciennes cabines de plage. « La culture hip hop s’implante ainsi par le biais d’œuvres picturales en milieu urbain, souligne le graffeur dieppois Konu, président de l’association Ex-Spray. C’est une façon de sensibiliser tous les publics confondus à cette culture moderne et riche. »
Des concerts seront également proposés sur le front de mer dans le cadre du festival, mais aussi des coloriages géants pour per- mettre aux petits et même aux plus grands de participer à l’événement. Et pour prolonger le plaisir, utilisez l’application mobile St’art et suivez les équipes de Dieppe Ville d’art et d’histoire en ville, à la découverte de nombreuses pépites de l’art urbain. « Ce festival attire des publics de tous horizons, assure Konu. La qualité des artistes invités contribue à promouvoir cette culture, à faire rayonner sur le territoire régional un mouvement riche et en pleine émergence. »
Gratuit.
• Lire/télécharger le programme du festival Spray
© Photo d'archive : Erwan Lesné
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Actualité 05/07/23
Festival de BD : entrez dans la bulle les 22 et 23 juillet
35 auteurs sont réunis sur le front de mer les 22 et 23 juillet L’association ANBD a encore fait très fort à l’occasion de la 21e édition de son Festival de bandes dessinées avec un plateau exceptionnel. Le romancier Michel Bussi sera présent pour présenter la BD Cinq Avril qu’il a signée avec Fred Duval et Noë Monin. Il participera même à une table ronde intitulée Du roman à la bande dessinée, de la bande dessinée au cinéma : l’art de l’adaptation est-il l’art de la trahison ?.
D’autres créateurs de renom ont également répondu à l’invitation à l’image de Marie Bardiaux-Vaïente (auteure de L’Abolition - Le Combat de Robert Badinter), Didier Cassegrain (auteur de la récente adaptation du roman de Michel Bussi Ne lâche pas ma main), Jérôme Félix, Milan Jovanovic (auteur de Les sept vies de l’épervier) ou encore Matz (auteur de la série Le tueur qui va être adaptée par David Fincher pour Netflix).
Le public pourra ainsi faire dédicacer des ouvrages, échanger avec les auteurs et même s’offrir des albums, puisque des libraires de neuf et d’occasion ainsi que des éditeurs tiendront des stands.
Gratuit.
• Lire / télécharger le programme du Festival de BD
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Actualité 05/07/23
10 au 28 juillet : le goût de l'effort au Village des sports
Et si vous vous organisiez des vacances sportives ? Les pelouses du front de mer se métamorphosent en stade géant du 10 au 28 juillet. Le service municipal des Sports et plusieurs clubs ont concocté un programme qui permettra au public de pratiquer et même de découvrir de nombreuses disciplines.
• Lire/télécharger le programme complet des trois semaines du Village des sports
Un rendez-vous aux couleurs de l’olympisme qui s’inscrit dans le cadre du label Terre de Jeux 2024, à un an de l’ouverture à Paris de la plus grande des compétitions mondiales. « Dieppe est une ville de sport et le Village des sports, qui permet d’accéder à une pratique libre, reflète ce dynamisme, souligne Luc Desmarest, adjoint aux Sports. Et comme c’est bon pour la santé, il est également possible de profiter, naturellement, des espaces publics pour se dépenser avec les parcours d’Urban training proposés, en autonomie, depuis le parvis de l’hôtel de ville ou encore, bien sûr, le Point plage, sur le front de mer, qui donne accès à de nombreuses activités nautiques, comme le paddle ou la voile. »
© Photo d'archive : Pascal Diologent
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Actualité 05/07/23
8/9 juillet : fantastique week-end au château !
« Il était une fois, dans une ville appelée Dieppe, un grand château planté en haut des falaises... » L’accroche est mystérieuse. Elle donne aussi très envie d’entrer dans l’aventure et de faire un grand bond dans le temps et dans l’imaginaire de l’association Ante Mortem. Le festival Mer et mondes fantastiques investit, à nouveau, le vieux château et y recrée une ambiance médiévale et féerique, les 8 et 9 juillet. « Après avoir bravé bien des tempêtes, tué la reine et vaincu la peste », les organisateurs reviennent pour la troisième édition d’un événement culturel atypique, qui avait séduit un large public lors des premiers rendez-vous.
Des concerts, des spectacles vivants, des lectures de contes, des campements, des rencontres avec des auteurs et même un marché médiéval. Le programme est riche et garantit aux visiteurs une évasion hors norme dans un cadre exceptionnel. Le public, invité à venir déguisé, y rencontrera des personnages plus fantastiques les uns que les autres. Il y aura également la possibilité d’accéder aux collections du Musée.
Gratuit.
• Télécharger le programme complet du week-end
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Actualité 28/06/23
Stationnement : Un parking-relais et une navette mis en place tous les week-ends de juillet et août
Du samedi 1er juillet au dimanche 27 août 2023, le boulevard Foch sera réservé aux promeneurs et aux sportifs qui pourront profiter de 15 hectares de nature sur le front de mer, le temps du week-end, du samedi à 7 heures au lundi à 7 heures.
Pour permettre aux visiteurs d'accéder au front de mer sans encombre et sans s'engouffrer en centre-ville, le parking Alpine, situé avenue Vauban, sera ouvert les samedis et dimanches, ainsi que les jours fériés (14 juillet et 15 août), de 9 h 30 à 20 heures.
Une navette, mise en place par l'agglomération Dieppe-Maritime, assurera, de 10 heures à 12 heures et de 13 heures à 19 heures (toutes les 30 minutes), la liaison jusqu'au pont Ango. Ces navettes seront accessibles avec un titre de transport du réseau Deep Mob (vente à bord, Ticket SMS - "T1" au 93 007 - et application Android et iOS M-ticket).
Visuel : Deep Mob
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Actualité 23/06/23
La flamme olympique passera par Dieppe le 5 juillet 2024 !
C'est officiel ! La flamme olympique arrivera en France à Marseille le 8 mai 2024 et parcourra tout le pays jusqu'à la cérémonie d'ouverture des jeux de Paris 2024 le 26 juillet. Elle passera par Dieppe le vendredi 5 juillet en fin de matinée.
Une vingtaine de relayeurs se transmettront le flambeau en ville sur une distance de 4 kilomètres. Dieppe fait partie des 7 villes de Seine-Maritime où passera la flamme avec Rouen, Yvetot, Jumiège, Étretat, Mirville (château du baron Pierre de Coubertin, inventeur des JO modernes) et Le Havre.
En lien avec le Département de Seine-Maritime, qui finance intégralement l'accueil de la flamme olympique, la Ville va mettre en place un comité territorial d'engagement afin de fédérer tous les partenaires souhaitant animer le passage de la flamme dans la cité des quatre ports.
© Conception graphique : Samuel Gros - Ville de Dieppe
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Actualité 23/06/23
La Belle saison pour tous les goûts
Un riche programme d’animations en tout genre vous attend en juillet et en août. Suivez le guide !
Le soleil, la plage... Et avant tout, une nuée d’occasions de se retrouver, de se rencontrer, de partager des instants inoubliables. Certes, Dieppe a le vent en poupe et attire de plus en plus de visiteurs. Néanmoins, la programmation estivale, construite en partenariat étroit avec l’ensemble des acteurs associatifs dont les quatre centres sociaux, répond à un enjeu majeur : proposer des vacances pour tous les habitants, pour tous les âges et quelles que soient les ressources. Grands concerts, Village des sports, marchés nocturnes, Foire d’été... De nombreux rendez-vous, petits et grands, jalonneront l’été sur le front de mer mais aussi dans l’ensemble des quartiers.
« C’est la marque de fabrique de notre ville vivante et solidaire, souligne le maire Nicolas Langlois. Il se passe toujours quelque chose à Dieppe. C’est le reflet d’un dynamisme associatif exceptionnel mais aussi un choix fort qui mobilise l’ensemble du service public communal. Les habitants subissent de plein fouet la crise du pouvoir d’achat. Beaucoup de familles n’auront pas les moyens de partir en vacances. Elles trouveront dans leur ville toutes les opportunités de respirer, de s’évader, de se ressourcer. C’est aussi cela la solidarité. »
• Lire/télécharger le programme des animations : https://vu.fr/lfRdh.
© Conception graphique : Samuel Gros
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Actualité 23/06/23
Face à la pénurie de maîtres-nageurs sauveteurs, Dieppe s’organise et exige un grand plan national de formation
La pénurie de maîtres-nageurs sauveteurs (MNS) impacte toutes les piscines de France. Il en manque aujourd'hui près de 5000 dans tout le pays, selon la Fédération des maîtres-nageurs sauveteurs et la Fédération française de sauvetage et de secourisme, et de nombreuses communes, comme Cluses en Haute-Savoie ou encore Chinon, ont été contraintes de fermer leurs piscines faute de personnel en nombre suffisant permettant d’assurer des baignades surveillées.
Dieppe n'est pas épargnée par ce problème qui a des conséquences sur les créneaux d'ouverture et les activités des piscines mais fait en sorte de maintenir l’ouverture des piscines des Bains et Coubertin en juillet.
« Indispensable de savoir nager »
A Dieppe, la Ville est très engagée sur la question du « savoir nager » avec des stages organisés à chaque vacance scolaire et l’accès donné aux piscines à l’ensemble des écoles du territoire pour des sessions d’apprentissage.
Cela suppose une présence en nombre suffisant, un par bassin, de MNS.
Et même si le Gouvernement a récemment, à travers un décret, accordé plus d'autonomie aux titulaires d'un brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA), le compte n'y est pas. D'autant que ces professionnels peuvent, certes, assurer la surveillance mais pas dispenser de cours.
« Dans des villes comme Dieppe, les habitants vivent avec la mer. Il est indispensable de savoir nager et de mettre en place tous les dispositifs de sécurité possibles pour éviter des accidents encore trop fréquents — on compte 1000 décès chaque année dont la moitié survient pendant l'été, souligne le député Sébastien Jumel. Or, la pénurie de MNS vient mettre dangereusement en question cette problématique de sécurité publique. C'est pourquoi, nous en appelons au Gouvernement pour qu'il prenne des mesures incitatives fortes pour attirer les jeunes vers les formations à ces beaux et indispensables métiers qui méritent d'être mieux reconnus et mieux valorisés. Suite à des Etats généraux de l'encadrement et de la surveillance dans la filière aquatique, qui se sont tenus en octobre dernier, la Ministre des sports a assuré avoir conscience du sujet. C'est bien, mais il y a maintenant urgence à prendre des décisions pour résoudre le problème. Il faut un grand plan de formation. »
« A presqu’un an du début des Jeux olympiques à Paris, on ne peut pas accepter que, faute d'un nombre suffisant de maîtres-nageurs sauveteurs (MNS), des enfants risquent de ne plus accéder à l'apprentissage de la natation ces prochains mois et ces prochaines années en France », ajoute Nicolas Langlois, maire de Dieppe. Il précise que « des opérations de découverte du métier de MNS, pour inciter des jeunes à s'engager dans ces formations, vont être mises en place. Par ailleurs, la Ville prévoit de recruter sur ces métiers des jeunes en contrat d'apprentissage à travers le BPJEPS - AAN (brevet professionnel de la Jeunesse, de l'Éducation populaire et du Sport - Activités aquatiques de la natation). »
Fermetures et réduction des activités
« Face à cette situation de pénurie particulièrement grave, la Ville de Dieppe a tout mis en œuvre pour préserver un accès aux piscines, souligne Nicolas Langlois. D’abord, nous continuons à lancer des avis de recrutement de MNS et BNSSA, avec possibilité de logement, pour espérer pouvoir compléter les plannings. En juillet, nous maintenons les Bains et la piscine Coubertin, piscine de proximité à Neuville, ouverts pour satisfaire à la fois les habitants et les touristes. Avec des choix assumés, en lien avec un personnel très engagé dans ses missions, qui sont de privilégier, aux Bains, l’ouverture des bassins extérieurs cet été et de garantir, dans ces deux piscines, des créneaux pour l’ensemble des usagers en maintenant des activités comme l’aquagym ou les séances bébés-nageurs par exemple. »
En pratique :
Le bassin extérieur des Bains reste ouvert de 7h30 ou 9h à 18h ou 20h tous les jours.
Le bassin ludique extérieur des Bains sera ouvert à partir de 13h en juillet et une solution est toujours recherchée pour en permettre l’ouverture en août.
Les cours de l'école de natation des Bains s’interrompent deux semaines avant la date initialement prévue.
La piscine Pierre de Coubertin proposera en juillet des créneaux tout public sur le temps du midi, et des activités telles que le savoir nager et l’aquagym qui accueillent un public d’habitués fidèle.
En août, pour garantir des congés aux personnels dont les plannings sont très chargés durant toute l’année avec la poursuite de l'apprentissage de la natation en direction des scolaires et pour permettre d'assurer le nécessaire et obligatoire arrêt technique des piscines Coubertin et Delaune utilisées durant toute l'année également, seule la piscine des Bains sera ouverte.
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Actualité 13/06/23
Un Village olympique sur les pelouses
La Journée olympique et paralympique anime le front de mer le 21 juin.
Répétition générale du Village des sports avant son installation du 10 au 28 juillet, cette journée marque la dernière étape des Anim’mercredis dans les quartiers. De 10 heures à 18 heures, les pelouses du front de mer se transforment en stade olympique. Dans le cadre de son label Terre de jeux Paris 2024, la Ville et son service des Sports rassemblent ainsi la communauté sportive locale pour qu’elle fasse la promotion de ses disciplines : athlétisme, foot, aviron, rugby, handball, volley-ball, bras de fer, foot américain, chess-boxing, savate boxe française, sport adapté...
Cette journée met en exergue les valeurs olympiques sur la base des trois piliers : bouger, apprendre et découvrir. Si la matinée est en partie réservée aux jeunes des centres sociaux et accueils de loisirs, l’après-midi est accessible à toutes celles et ceux qui veulent s’amuser ou tester de nouvelles pratiques sportives.
Le 23 juin, date officielle de la Journée olympique et paralympique, le service des Sports organise une grande marche intergénérationnelle. Par ailleurs, la Ville va appeler, prochainement, à une grande collecte de photographies du sport dieppois, de toutes les époques et tous sports confondus. Les participants pourront déposer leurs clichés dans plusieurs points de collecte. Le but sera de créer un fonds d’archives et une exposition numérique Les Dieppois et le sport, en vue des prochains JO de Paris.
• Plus d'infos sur la page d'infos sur la page Facebook @dieppesports ou au 02 35 06 60 28.
© Photo : Pierre Leduc
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Actualité 01/06/23
De vieux gréements en escale
Pour les 70 ans du Côte d’Albâtre, la Ville organise le festival Les Vieilles voiles les 10 et 11 juin.
De véritables petits joyaux des mers et un léger parfum d’Armada. Sept voiliers sont amarrés au ponton Cousin, à hauteur de La Dunette du quai Henri IV, les 10 et 11 juin. La Ville de Dieppe organise pour la toute première fois le festival Les Vieilles voiles et célèbre à l’occasion le 70e anniversaire du Côte d’Albâtre. Propriété de la Ville de Dieppe, le canot de pêche traditionnelle du Pollet a repris la mer ces derniers mois après une longue et minutieuse restauration sur un chantier naval spécialisé à Saint-Vaast-la-Hougue.
Le Mutin invité
Construit en 1953 sur le chantier dieppois Bocquet, le bourcet-malet, classé monument historique en 1998, va recevoir la bénédiction par le diacre Dominique Lesueur lors de ce rendez-vous. Désormais entretenu par l’association La Dieppoise, le Côte d’Albâtre lèvera, à nouveau l’ancre, ces prochains mois, pour embarquer un public curieux de mieux connaître encore son histoire maritime.
Le gréement dieppois partage la vedette avec le Marie-Fernand (construit en 1894), le Veulais (1967), le Man’Villais (1965), le Marie-Madeleine (1919), le Val’riquais (1964) et le Professeur Gosset (1935). Alors que dix-sept stands accueillant des structures et associations liées au monde maritime vont former un grand village d’animation sur le quai, le bateau école de la Marine nationale, Le Mutin, va créer lui aussi l’événement en faisant son entrée dans le port de Dieppe dès le 9 juin au soir. Un grand rendez-vous à ne surtout pas manquer qui fera date dans le calendrier maritime dieppois.
Le programme
Ouverture du village de 9h30 à 18h le 10 juin et de 10h à 18h le 11 juin. Sur les stands, sont présents : les sauveteurs en mer de la SNSM, l’Admmac, le Cercle maritime Mers & Marine, Terre Neuve, le Cercle de la voile de Dieppe, Voiles et Falaises, la Confrérie du hareng et de la coquille Saint-Jacques, l’Estran-Cité de la mer, les Amys du Vieux-Dieppe, le Tourist club, Dieppe Navals, QG Nautic, l’Agglo Dieppe-Maritime, la Ville de Dieppe et La Dieppoise.
Une exposition sur la restauration du canot Côte d’Albâtre est à découvrir sur le stand de la Ville et de La Dieppoise. Des dégustations de produits de la mer sont proposées par Crustafrais. L’inauguration est prévue le 10 juin à 10h45 (bénédiction du Côte d’Albâtre visible depuis La Dunette, prise de paroles des officiels
et remise de la croix de chevalier du mérite maritime à Bruno Thériez sur la zone technique face à la Tour aux crabes).Le groupe folklorique des Polletais assure l’animation le 10 juin et le groupe Tribal Jâze durant tout le week- end. Les peintres Béatrice Dagan, Pierre Larchevèque et Michel Godefroy sont présents les 10 et 11 juin après-midi au niveau de La Dunette et du ponton Cousin.
© Photo : Pascal Diologent
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Actualité 01/06/23
La facture de cantine va baisser
En pleine crise du pouvoir d’achat et de l’inflation des prix, la Ville vient de décider de baisser les tarifs dès septembre prochain pour la plupart des familles.
C’est un choix particulièrement fort. En fonction du revenu des familles, le prix du repas par enfant baissera de 10 centimes à plus de 1 € dès la rentrée de septembre 2023. Le coût réel du repas qui s’élève aujourd’hui à 12,50 € pour la Ville n’était déjà facturé que 5 € au maximum aux familles. « Pour la Ville, le coût de fabri- cation et de service par repas a augmenté d’1 € avec l’inflation des prix des produits alimentaires, rappelle le maire de Dieppe Nicolas Langlois. Ce surcoût, non seulement nous ne l’appliquons pas aux familles, mais en plus nous baissons les tarifs, pour que chaque enfant puisse continuer à bien manger dans nos restaurants scolaires. »
La plupart des familles concernée
Un choix validé en conseil municipal, le 25 mai, et qui consolide le soutien à l’ensemble des habitants, majoritairement percutés par la crise du pouvoir d’achat. « À Dieppe, c’est la force du service public, que de mettre tous les enfants à la même table, et que chacun ait accès à un service de qualité, quels que soient ses revenus, explique Nicolas Langlois. Chacun est accompagné à proportion de ses moyens et de ses capacités. À Dieppe, nous faisons un choix de justice sociale pour toutes les familles qui ont du mal à boucler les fins de mois parce qu’elles gagnent des salaires insuffisants, parce qu’elles perçoivent de faibles revenus et que flambent, notamment, les prix de l’alimentation. »
1 700 enfants sont inscrits à la cantine, soit 80 % des élèves de maternelle et élémentaire. 35 % des familles avec les plus bas revenus bénéficient de la gratuité. Les baisses de tarifs s’appliqueront à 62 % des familles, mais concerneront plus fortement celles aux revenus modestes et moyens. « Les tarifs de cantines sont déjà très bas. Cela fait plusieurs années que nous avons mis en place une tarification sociale et solidaire, souligne Marie-Luce Buiche, adjointe au Maire en charge des Solidarités. À la rentrée, nous irons plus loin. La baisse des tarifs concernera l’immense majorité des familles, mais nous faisons un effort plus particulier pour toutes celles dont le ou les parents travaille(nt), mais n’arrivent plus à joindre les deux bouts quand tout augmente sauf les salaires. Ce sont les familles qui ont parfois le senti- ment de n’avoir droit à rien, et qui se sentent oubliés. »
Aux petits soins des enfants
Cette baisse des tarifs n’implique pas de renoncer à la qualité des repas, fabriqués par les agents du service public municipal à l’Assiette dieppoise. Les menus intègrent d’ailleurs presque 50 % de produits biologiques ou issus de filières labellisées qualité. « Quand beaucoup de collectivités ont fait le choix de passer par des centrales privées, nous préférons maîtriser de bout en bout ce qu’il y a dans l’assiette de nos enfants, avec une cuisine centrale en régie publique et leurs agents, qui fabriquent chaque jour des repas de qualité », confirme Florent Bussy, conseiller municipal délégué et président de l’Assiette dieppoise. Chaque midi, ce sont 169 agents municipaux qui sont mobilisés dans les 18 restaurants scolaires, pour le service et l’animation du temps du midi, avec des actions pédagogiques autour de l’alimentation et du bien manger. « Les agents municipaux du service éducation, sont aux petits soins de nos enfants, assure Emmanuelle Caru-Charreton, adjointe à l’Éducation. Pour les accompagner dans ce temps de midi, qui est un véritable temps éducatif. On ne fait pas que manger dans nos restaurants scolaires, on apprend à bien manger, à goûter, à découvrir. Pour beaucoup de familles, ce repas du midi est très important. Ils sont équilibrés avec une recherche sur la diversité des goûts parce que c’est aussi une manière de sensibiliser les enfants. »
La répartition de la nouvelle tarification
• 36 % des familles bénéficient de la gratuité
• 53 % des familles paieront de 15 centimes à 3,95 euros le repas (soit une baisse moyenne de 25 % du tarif actuel)
• 9 % des familles paieront de 3,95 à 4,83 euros le repas (soit une baisse moyenne de5%).
• 2 % des familles paieront 4,98 € (gel du tarif actuel).
• Majoration de 20 % sur le montant du quotient familial pour les résidents hors commune, à l’exception des enfants scolarisés en Ulis (unité localisée pour l’inclusion scolaire) ou en unité d’enseignement spécialisé, ou bénéficiant d’un projet d’accueil individualisé.La cantine en chiffres
• 1 700 repas servis en moyenne chaque jour dans les écoles
• 18 restaurants scolaires
• 169 agents municipaux mobilisés sur les temps du midi
• 48 % de produits bios et de qualité
• 80 % des enfants demi-pensionnairesLe calcul du tarif dans le détail
Il existe 8 tranches de facturation, en fonction du quotient familial (revenus annuels de la famille divisés par le nombre d’enfants, parts fiscales ; les familles monoparentales bénéficient d’une part fiscale supplémentaire). Chaque famille paie, selon ses revenus et sa composition, un tarif adapté, de 15 centimes le repas à 4,98 euros. Par exemple, pour les familles dont les revenus mensuels sont compris entre 1 et 2 Smic (salaire minimum de croissance fixéau1ermaià1383,08€ nets) par mois, les tarifs baisseront en moyenne de 25 % par enfant et par repas. Pour les familles dont les revenus sont compris entre 3 et 4 Smic, les tarifs baisseront en moyenne de 5%.
© Photo : Erwan Lesné
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Actualité 29/04/23
Musée : plongez dans les secrets de la Côte d’Albâtre
Dès le 27 mai, le Musée abrite une exposition d’archéologie sous-marine, Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre. Pour une exploration inédite de l’histoire maritime locale qui ouvre les festivités du centenaire du château-Musée. (télécharger le dossier de presse de l'exposition).
Terre-neuvas, marine marchande, navires de guerre et bateaux réquisitionnés pendant la Première et la Seconde Guerre mondiales, les eaux de la Côte d’Albâtre regorgent d’épaves, témoins de l’histoire récente. Aujourd’hui, une large part de l’histoire locale se trouve cachée au fond de la mer. Jusqu’alors inaccessible, elle fait l’objet d’une redécouverte active depuis quelques années.
Produite par le Musée de Dieppe en partenariat avec le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm, ministère de la Culture) et le Groupe de recherche et d’identification des épaves de Manche Est (Grieme, associé au ministère de la Culture dans la surveillance des épaves), l’exposition Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre retrace l’histoire de bateaux qui ont coulé du XIXe siècle à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. « Le Musée est tourné vers la mer, observe Pauline Le Jossic, directrice adjointe du Musée et responsable de l’accueil des publics. Ses collections et cette exposition affirment cette identité maritime. »
Elle présente pour la première fois les collections d’archéologie sous-marine remontées du fond des eaux par le Grieme et appartenant au Drassm. Déposées en 2017 au Musée, ces collections sont composées d’objets extraits d’épaves gisant sous les eaux entre Le Tréport et Le Havre.
« En général, ce n’est pas nous qui trouvons les épaves, explique Pierre-Yves Lepage. La première source, ce sont les pêcheurs qui nous disent “à tel endroit, on pense qu’il y a quelque chose”. On cherche à confirmer ou à infirmer des identifications faites par d’autres personnes. » Le président et responsable des opérations scientifiques du Grieme poursuit : « Sur chaque pièce remontée, on cherche des indices révélateurs. Parfois, les objets n’indiquent rien, parfois, c’est une machine à indices. Il peut n’y avoir qu’un seul indice, mais qui est une porte ouverte de compréhension. Si on rate ces indices, on peut passer à côté d’un pan de l’histoire. »
Jamais encore exposés au public, de nombreux vestiges tirés des eaux sont à découvrir: objets de vie à bord (médicaments, cadenas, tasses, carrelages, vais- selles...), objets de navigation (batteries, hublots, transmetteurs d’ordre de passerelle...) ou objets d’armement (lunettes de calibrage d’obus, munitions...).
« L’exposition a voulu faire une part à des témoignages humains, au-delà de l’histoire des bateaux, indique Bertrand Ducourau, en charge de la valorisation des biens culturels maritimes au sein du Drassm. Ces objets ont une charge émotionnelle très différente. On a parfois à faire à des objets d’usage intime. Tout ça permet de reconstituer l’existence de la vie à bord. »Du matériel, mais surtout de l’humain
Aux côtés de ces objets, des prêts de collectionneurs privés, du Musée de la Céramique de Desvres et du Musée des Pêcheries de Fécamp ainsi que des pièces des collections et archives du Grieme (maquettes, films, photographies, journaux...) documentent l’histoire de ces bateaux et leur fin tragique. Au sein de l’expo, il est possible d’écouter des récits des naufragés, de découvrir une carte animée de 61 épaves ou encore d’explorer les épaves à travers des films, des enregistrements sonores et des casques de réalité virtuelle.
Et Bertrand Ducourau de conclure: « Il n’y a pas que des bateaux qui ont coulé en période de guerre, il y a aussi des navires qui se sont percutés. Ces échecs de navigation auraient pu, pour certains, être évitables. Au cœur de ces naufrages, on touche quelque chose de sensible et d’humain. »
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Exposition à voir du 27 mai au 17 septembre
Les 27 et 31 mai, de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 17 heures. Les 28 et 29 mai, de 10 heures à 12 heures, puis de 14 heures à 18 heures. Du 1er juin au 17 septembre, du mercredi au dimanche de 10 heures à 18 heures.
Autour de l’expo
Tous les mercredis, samedis et dimanches, de 14 heures à 17 h 30, le documentaire Chasseur d’épaves Le Daffodil réalisé par Laurent Mathieu et produit par Mil Sabords est diffusé au Musée. Deux visites guidées de l’exposition ont lieu le 27 mai à 15 heures par Pauline Le Jossic (Musée) et 29 mai à 15 heures, par Pierre-Yves Lepage (Grieme). Ce dernier est présent les 26, 27 et 28 mai pour d’autres visites de l’exposition.
Le 28 mai à 15 heures, Cécile Sauvage et Nathalie Huet, conservatrices au Drassm animent une conférence, gratuite, sur le Drassm et ses missions. Lila Reboul du Drassm tient une conférence gratuite le 31 mai à 18 heures à la Salle des congrès pour présenter le programme SOS du Drassm.© Photo : Ludovic Madelaine (Grieme)
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Actualité 29/04/23
Le front de mer bleu Alpine
Pour célébrer le 50e anniversaire du titre de champion du monde des rallyes remporté par Alpine en 1973, un nouveau grand rassemblement consacré à la marque automobile dieppoise est organisé par Idéa (https://idea-alpine.jimdofree.com) du 19 au 21 mai. Le programme complet sur le site www.1973alpinedieppe2023.com.
50e anniversaire
Nicolas, Andruet, Thérier, Piot et Darniche. Surnommés les Mousquetaires, l’équipe de pilotes d’Alpine réussit l’exploit en 1973 de devenir championne du monde des rallyes dès la création de la compétition. Nous célébrons cette année le 50e anniversaire de ce sacre qui a marqué les esprits et permis d’écrire l’une des plus belles lignes de l’histoire de la marque au A fléché. Après l’inoubliable rassemblement organisé à l’occasion du centenaire de Jean Rédélé l’année dernière, Idéa (Initiative Dieppe événements Alpine), qui compte notamment dans ses rangs l’Amicale des anciens d’Alpine, remet le couvert.
Arrêt au stand
Retour vers le futur. Les organisateurs ont eu la bonne idée de reconstituer un stand de mécanique en invitant les mécaniciens qui ont contribué à l’obtention du titre en 1973. Ils sont accompagnés d’élèves du lycée L’Émulation dieppoise pour effectuer des démonstrations.
Un musée
En préfiguration de la création d’un musée Alpine, Idéa installe un musée éphémère sous l’un des chapiteaux. Y seront notamment exposés des véhicules de rallye d’Alpine. Par ailleurs, un village d’exposants est également mis en place réunissant une cinquantaine d’artistes, de boutiques Alpine et de collectionneurs.
Le rendez-vous des collectionneurs
Considérée comme une exception française et l’un des grands symboles du Made in France, la marque Alpine a vu sortir de ses chaînes des dizaines de modèles depuis sa création à Dieppe, il y a soixante-huit ans, par Jean Rédélé. Des collectionneurs venus de toute la France, parfois même de l’étranger, ont répondu à l’invitation d’Idéa pour exposer sur les pelouses du front de mer leur véhicule. Plus de 700 voitures sont attendues. Elles commenceront à s’installer dès le 18 mai.
« Biche », la marraine
Cette nouvelle édition prendra un fort accent féminin. Symboliquement, c’est Michèle Espinosi-Petit, surnommée Biche, qui est la marraine de l’événement. Elle était, notamment, copilote en 1972 et en 1973 lors de plusieurs rallyes à bord de l’Alpine A 110 1800. Pour rappel, l’usine Alpine compte plus de 15 % de femmes parmi ses salariés et est désormais dirigée depuis quelques mois par Anne-Catherine Basset.
Slalom sur le boulevard Foch
C’est l’un des grands temps forts du week-end. L’an dernier, la présence de la Formule 1 avait défrayé la chronique et attiré la foule des grands jours. Cette fois, le samedi après-midi, vers 15 heures, des pilotes de haut niveau sont au volant de véhicules de rallye d’Alpine pour proposer au public des démonstrations de slalom sur le boulevard du Maréchal Foch, entièrement sécurisé pour l’occasion. Sensations fortes garanties !
L’usine à l’honneur
S’il est presque impossible de la visiter (secret industriel oblige), la Manufacture Alpine Jean Rédélé est bien de la partie. Sous un chapiteau de près de 200 m2, les salariés présentent leur savoir-faire et livrent au grand public quelques facettes du processus de fabrication des Alpine A110.
Rallye historique et parades
Des « Alpinistes » prennent la route le vendredi pour un rallye historique au départ de Dieppe en direction de Neufchâtel et de Bully, d’où était originaire le regretté ancien pilote Jean- Luc Thérier. Par ailleurs, le dimanche matin, à partir de 9 heures, les véhicules paradent dans les rues de la ville. Deux cortèges sont formés, l’un sur Janval, l’autre sur Neuville.
Stationnement
Deux parkings gratuits sont mis à disposition. À l’hippodrome qui accueille les camping-cars et les véhicules légers et sur le parking de la Manufacture Alpine qui n’accueille que des véhicules légers. Des navettes sont mises en place pour rallier le front de mer.
© Photo d'archive (rassemblement Alpine 2022) : Pascal Diologent
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Actualité 29/04/23
Prenez-vous aux jeux le 18 mai !
À vous de jouer se tient le jeudi de l’Ascension, 18 mai, de 10 heures à 18 heures, au parc François-Mitterrand.
• Télécharger le programme complet de l'éditio 2023 de À vous de jouer.
Des espaces jeux
Le réseau D’Lire vous propose différents espaces ludiques : petite enfance (jeux de manipulation, de construc- tion, encastrables, balancelles, Légo géant...) ; jeux de société (de dés, de cartes, de hasard, de stratégie, d’ambiance, d’aventure...) ; jeux en tête-à-tête, jeux traditionnels et d’adresse (billard japonais, quilles, tennis hockey...); Micro-Folie (musée numérique, espace de réalité virtuelle, jeux vidéo) ; quiz ludique Questions pour un Dieppois par Dieppe Ville d’art et d’histoire.
Un château gonflable est implanté pour les plus jeunes, tout comme un stand de tir à l’arc ou à l’arbalète. À noter aussi la présence du Centre Kapla de Paris pour la construction participative d’un kapla géant ains que celles des clubs de jeux dieppois (Échiquier dieppois, Scrabble club de Dieppe, Questions pour un champion, Amical bridge club dieppois) et du Plumier (vente de jeux).
De la déambulation
Des Soldats jouets, taquins et chamailleurs, vont faire leur apparition toute la journée sur site. Cette déambulation spectaculaire est proposée par la Cie Acidu. Elle est menée par Capucine, une petite fille qui mène par le petit doigt des soldats-jouets, qui alternent posi- tions martiales et burlesques.
Des marches familiales
700 randonneurs sont attendus. Trois marches sont proposées au départ d’Hautot-sur-Mer : marche sportive (16 km) à 9 h 15, marche découverte (11 km) à 10 h 05 et marche familiale (5 km) à 10 h 35. Chaque randonneur doit s’inscrire trente minutes avant son départ en car, depuis le boulevard de Gaulle. Le retour est prévu entre 12 heures et 12 h 30 au parc Francois-Mitterrand où un pot de l’amitié est offert par la Ville.
© Photo d'archive (À vous de jouer 2022) : Erwan Lesné
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Actualité 29/04/23
Festival “Les bon(s) jour(s)” : la nature en ville revient au galop !
Le festival de nature en ville Les Bon(s) jour(s) de Dieppe a lieu du 4 mai au 4 juin. De nombreux temps forts ponctuent le mois d'animation en faveur du développement durable :
• 21e Fête des fleurs le 8 mai au parc François-Mitterrand
• Déjeuner insolite à la terrasse du château le 6 mai
• Lectures à voix vertes le 10 mai au parc Mitterrand
• Jungle urbaine et Papouasie le 13 mai à DSN (cinéma et rencontre avec Mundiya Kepanga, chef Huli, engagé dans la défense des forêts primaires et de Marc Dozier réalisateur de films documentaires nature)
• Journée de la Biodiversité et de la nature le 25 mai au lycée Jehan-Ango
• visite guidée La faune et le patrimoine portuaire le 27 mai par Dieppe Ville dart et d'histoire
• Zen au parc (bois de Rosendal) le 4 juin
D'autres animations sont aussi prévues : expositions de Margherita Mariano (Végétale et Les Belles rebelles), atelier Plan faune sauvage avec Biodiversit'UP, Olympiades naturelles au parc paysager de Neuville, visites guidées, nettoyages de rue, troc aux plantes et bouture à la bib’-ludo Claudel du 30 mai au 3 juin, stand d’infos sur le vélo, yoga sur la plage de Puys, ateliers (plantations, créa-récup, abreuvoirs pour oiseaux, fabrication de maisons à insectes) ; marches nordiques et randonnées…
"L’écologie est un combat pour préserver les ressources naturelles et la biodiversité ; un combat pour promouvoir des pratiques respectueuses de la Terre et des droits humains, indique le maire Nicolas Langlois. Dans la course engagée contre les effets du réchauffement, les villes et les territoires sont une bonne échelle pour agir. Cette 3e édition des Bon(s) jour(s) de Dieppe est une vitrine des bons gestes pour la planète."
• Télécharger le programme complet du festival Les Bon(s) jour(s) de Dieppe
• Télécharger le programme de la 21e Fête des fleurs (8 mai)
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Actualité 07/04/23
La Geek convention sort le grand jeu les 15 et 16 avril
Jeux vidéo, manga, cosplay... La pop culture s’invite au gymnase Léon-Rogé les 15 et 16 avril.
« Quoi de neuf Docteur ? » Qui n’a jamais entendu la célèbre phrase de Bugs Bunny ? L’homme qui fait sa voix française est l’invité spécial de la Geek Convention, qui fait escale pour la première fois à Dieppe. Outre le célèbre lapin de la Warner, Gérard Surugue a également fait les voix de Droopy, Garfield, Joe Dalton, Raditz (Dragon Ball Z), Grognon et Bestiole (Les Bisounours)... Il est présent tout le week-end pour des dédicaces.
Une fête pour les 7 à 77 ans
Le gymnase janvalais se transforme en grande salle de jeu avec plus de 40 consoles de jeux vidéo et bornes d’arcade, des années 80 à la dernière PlayStation 5. Deux tournois sur le jeu Super Smash bros sur console Switch sont organisés. Des jeux de société, des quiz, des blind test ou une initiation à l’aïkido vont offrir
d’autres moments ludiques au public. Des stands de vente sont aussi érigés: bandes dessinées, mangas, pixel art, figurines (Marvel, DC Comics). Par ailleurs, un défilé cosplay et une chanteuse de musique japonaise se succèdent sur scène. À voir, par exemple, des R2D2 grandeur nature !« C’est un rendez-vous intergénérationnel qui va plaire aussi bien aux enfants de 5 ans qu’à leurs grands-parents, indique Jean-Paul Mrozinski, président depuis 2017 de NormanGeek, association qui sauvegarde les jeux video et qui organise des conven- tions en Normandie (Montivilliers, Bernay, Gruchet- le-Valasse, Barentin). Le prix d’entrée (NDLR: lire ci-dessous) n’est pas très élevé. On espère attirer le plus de familles possibles pour une belle fête ! » À vous de jouer !
• Dieppe Geek convention les 15 et 16 avril, de 10 heures à 18 heures au gymnase Léon-Rogé. Tarif : 3 €. Gratuit pour les moins de 6 ans.